La maladie blanche (préface d'Alain van Crugten)

Traduction ALAIN VAN CRUGTEN  - Langue d'origine : TCHEQUE

À propos

«?Je ne suis pas un homme politique, mais en tant que médecin, j'ai le devoir de me battre pour chaque vie humaine, n'est-ce pas?? C'est simplement le devoir de tout médecin d'empêcher la guerre?!?» Un nouveau virus, venu de Chine, frappe mortellement les plus de quarante ans. Jusqu'à ce qu'un modeste médecin mette au point un traitement contre cette terrible «?maladie blanche?». Sa seule condition pour dévoiler sa découverte?: que toutes les nations s'engagent à ne plus faire la guerre. Mais les puissants sont-ils prêts à abandonner leurs rêves de gloire et de richesse pour rester en vie??
Critique fervente du totalitarisme, La Maladie blanche, écrite en 1937, confirme une nouvelle fois l'intuition géniale et l'extraordinaire don d'anticipation de Karel Capek.

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Karel Capek

  • Traducteur

    ALAIN VAN CRUGTEN

  • Éditeur

    Editions Du Sonneur

  • Distributeur

    Interforum

  • Date de parution

    17/03/2022

  • Collection

    La Grande Collection

  • EAN

    9782373852578

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    144 Pages

  • Longueur

    21.1 cm

  • Largeur

    14.1 cm

  • Épaisseur

    1.4 cm

  • Poids

    209 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Karel Capek

  • Naissance : 1-1-1890
  • Décès :1-1-1938 (Mort il y a 85 ans à l'âge de 48 ans)

Après des études à Hradec Kralové, Brno, Berlin et Paris, Karel Capek (1890-1938) obtient son doctorat de philosophie à Prague en 1915. Auteur et metteur en scène pour le théâtre municipal de Prague-Vinohrady, Capek compose ses premiers recueils de récits avec son frère Josef. En 1920, il écrit R.U.R , - Rossum's Universal Robots. C'est dans ce titre que le monde voit pour la première fois apparaître le mot robot (« travailleur » en tchèque). En 1922, c'est La fabrique d'absolu, qui annonce presque simultanément avec H.G. Wells - qui signait, quelques années plus tôt : La destruction libératrice - l'invention de l'énergie atomique. Son oeuvre brillante et plurielle, souvent fantaisiste, mêle la finesse philosophique au bon sens populaire, le sérieux à l'humour, l'humanisme au catastrophisme. Sa maîtrise narrative, son humour, son érudition, sa fine connaissance des hommes et de ses profondeurs troubles le rapprochent notamment de Chesterton.

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