La nuit de Maritzburg ; l'éternel amour de Gandhi

À propos

La nuit de Maritzburg En 1893, une entreprise indienne propose à Mohandas Karamchand Gandhi, tout jeune avocat, de se rendre en Afrique du Sud pour y défendre ses intérêts. Gandhi accepte. Il ne le sait pas encore, mais c'est le tournant de sa vie. Il découvre l'apartheid, l'humiliation, et se lance dans un combat acharné contre la discrimination dont sont victimes ses compatriotes indiens. C'est là qu'il expérimentera pour la première fois une arme redoutable : la résistance passive. Jour après jour, le petit avocat timide et si british, va se métamorphoser jusqu'à devenir le Mahatma, la Grande Âme. C'est aussi sur cette terre de violences qu'il rencontre Hermann Kallenbach, un architecte juif allemand, avec lequel s'instaure une relation hors du commun. Une intimité précieuse, intense, forte comme une passion, digne d'un amour... vrai.

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Gilbert Sinoué

  • Éditeur

    Flammarion

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    19/03/2014

  • Collection

    Fiction Francaise

  • EAN

    9782081268791

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    462 Pages

  • Longueur

    21 cm

  • Largeur

    13.5 cm

  • Épaisseur

    3 cm

  • Poids

    570 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Gilbert Sinoué

Gilbert Sinoué quitte l'Égype à l'âge de dix-neuf ans pour suivre des études à Paris, à l'École normale de musique. Ses débuts parisiens sont difficiles : il compose et se produit dans des boîtes de nuit. Et puis une première chanson est choisie par Isabelle Aubret, d'autres ensuite par Claude François, Dalida, Marie Laforêt... Un jour, à l'approche de la quarantaine, il arrête tout pour se consacrer à l'écriture. Son premier roman est publié par Olivier Orban. Il devient alors romancier à temps plein, auteur de plusieurs gros succès comme Le Livre de saphir (Denoël), L'Enfant de Bruges (Gallimard) ou L'Égyptienne (Denoël) suivie de La Fille du Nil (Denoël).Denis Dailleux pratique une photographie apparemment calme, incroyablement exigeante. Sa passion pour les autres l'a naturellement amené à développer le portrait comme mode de figuration privilégié de ceux dont il avait l'envie, le désir d'approcher davantage ce qu'ils étaient. Cela fait maintenant quinze ans qu'il construit patiemment un portrait inédit de l'Égypte, avec laquelle il entretient une relation amoureuse.

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