L'Egyptienne

À propos

Août 1790... «La terre vibrait sous elle comme un être assoupi, nourri d'on ne sait quel rêve. Cette terre d'Égypte dont Schéhérazade, treize ans, savait toutes les senteurs, les moindres frémissements...» Schéhérazade c'est l'Égyptienne. Autour d'elle tente de survivre une Égypte exsangue, province ottomane que se déchirent depuis des siècles les pachas turcs et les beys mamelouks. Juillet 1798... Un certain général Bonaparte, aveuglé par son «rêve oriental», débarque à Alexandrie à la tête de quarante mille hommes. Dès lors, Schéhérazade et les siens sont pris dans un tourbillon meurtrier tandis qu'agonise l'Expédition française dans des bains de sang qui souilleront le sable du désert et les flots majestueux du Nil. C'est une prodigieuse fresque qui défile sous nos yeux, avec les espoirs, les passions, les tourments d'une femme, d'une famille, et, à travers eux, le destin de l'un des plus vieux peuples du monde.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Gilbert Sinoué

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    02/04/1993

  • Collection

    Folio

  • EAN

    9782070387281

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    688 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    3 cm

  • Poids

    339 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Gilbert Sinoué

Gilbert Sinoué quitte l'Égype à l'âge de dix-neuf ans pour suivre des études à Paris, à l'École normale de musique. Ses débuts parisiens sont difficiles : il compose et se produit dans des boîtes de nuit. Et puis une première chanson est choisie par Isabelle Aubret, d'autres ensuite par Claude François, Dalida, Marie Laforêt... Un jour, à l'approche de la quarantaine, il arrête tout pour se consacrer à l'écriture. Son premier roman est publié par Olivier Orban. Il devient alors romancier à temps plein, auteur de plusieurs gros succès comme Le Livre de saphir (Denoël), L'Enfant de Bruges (Gallimard) ou L'Égyptienne (Denoël) suivie de La Fille du Nil (Denoël).Denis Dailleux pratique une photographie apparemment calme, incroyablement exigeante. Sa passion pour les autres l'a naturellement amené à développer le portrait comme mode de figuration privilégié de ceux dont il avait l'envie, le désir d'approcher davantage ce qu'ils étaient. Cela fait maintenant quinze ans qu'il construit patiemment un portrait inédit de l'Égypte, avec laquelle il entretient une relation amoureuse.

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