Félicité (1 cd mp3 ; 7h23 ; lu par Anne Consigny)

 (Lu par Anne Consigny)

Traduit par J-G DELAMAIN

À propos

Contes du quotidien, les quatorze histoires réunies dans cet écrin conjuguent reviviscences d'enfance en Nouvelle-Zélande, échappées oniriques, portraits saisissants, émotions brutes et découverte de la mort et de ses avatars. Dans « Prélude », « Félicité », ou encore « Je ne parle pas français », le ressenti prend le pas sur l'action et se mettent à nu d'inquiétants rapports de force au sein même des relations les plus familières. Ce recueil a assis la réputation de Katherine Mansfield comme la plus grande virtuose de la nouvelle moderniste.
« Que pouvez-vous faire, si vous avez trente ans, et qu'en tournant l'angle de votre propre rue, vous vous sentez envahie, soudain, par une sensation de félicité, d'absolue félicité ? Comme si vous veniez tout à coup d'avaler un morceau brillant de ce tardif soleil d'après- midi, qui continuerait à brûler dans votre poitrine, envoyant de petites fusées d'étincelles dans chaque parcelle de votre être, dans chaque doigt et chaque orteil ?... » K. M.
Musique : Sonate pour violoncelle seul, opus 28, d'Eugène Ysaÿe, exécuté par Ole-Eirik Ree, Naxos


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles > Nouvelles


  • Auteur(s)

    Katherine Mansfield

  • Traducteur

    J-G DELAMAIN

  • Éditeur

    Des femmes

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    11/03/2021

  • EAN

    3328140024388

  • Disponibilité

    Disponible

  • Longueur

    18.8 cm

  • Largeur

    13.7 cm

  • Épaisseur

    0.8 cm

  • Poids

    84 g

  • Support principal

    CD Audio

Infos supplémentaires : Livre lu  

Katherine Mansfield

Née à Wellington (Nouvelle-Zélande), le 14 octobre 1888, morte à Fontainebleau le 9 janvier 1923, Katherine Mansfield (pseudo de Kathleen Beauchamp-Murry) a illuminé la littérature britannique du début du XXe siècle. Elle publia ses premières nouvelles en 1909, mais c'est avec Pension allemande en 1911 qu'elle connut le succès, manifestant une personnalité complexe et un style original qui trahit toutefois l'influence de Tchekov. Ses recueils suivants, Félicité (1920), La Garden-Party et La Maison de poupée (1922), Le Nid de colombes (1923), l'imposèrent comme un des grands écrivains de l'époque. Ses Lettres et son Journal, publiés après sa mort, révèlent un être où la femme vivant chaque instant avec intensité le dispute à l'écrivain passionnément attachée à la recherche esthétique.

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