En 327 propos éclairant le sens et la valeur de la vie, Patrice Franceschi compose un système éthique original dans le prolongement de la pensée stoïcienne grecque couplée à l'esprit samouraï japonais.
Un ouvrage de philosophie pratique qui appelle l'homme moderne à une nouvelle forme d'accord intérieur avec lui-même pour s'opposer à la guerre de tous contre tous et à la fin des libertés.
Dans ce recueil de textes issus de conférences, Krishnamurti questionne le rôle de l'autorité et son influence trompeuse, négative, sur nos manières d'être au monde, de le penser et de s'y connecter. Pourquoi et comment, lors de moments de doute, de découragement ou de tristesse, en vient-on à accorder un pouvoir sur nos vies à des maîtres à penser, des guides, au lieu de se fier à soi-même ?
Qu'il soit extérieur ou issu de notre propre expérience, le principe d'autorité nous conduit à confier et déléguer le sens de notre vie à tout ce qui est connu, établi et stable - la tradition passée, la croyance, les structures de pensée, les émotions ou l'ego - plutôt que de chercher à comprendre par soi-même le monde et la dynamique de la vie.
En cultivant un regard critique radical à l'égard de l'autorité, Krishnamurti nous invite à accéder à une transformation en profondeur tant au niveau de l'individu que de la société dans son ensemble.
L'enseignement de Krishnamurti repose sur la conviction que les transformations de la société ne peuvent se faire qu'au terme d'une transformation des individus. Critique vis-à-vis des religions et des sectes, Krishnamurti n'aura de cesse de répéter que le bonheur passe par le refus de tout type d'autorité. C'est le sens des multiples conférences qu'il a données pendant des dizaines d'années, partout dans le monde.
« Dès l'instant où vous suivez quelqu'un, vous cessez de suivre la Vérité. » Le Sens du bonheur - un best-seller mondial - nous permet de voir le monde autrement. Sans parti pris, universelle, la parole de Krishnamurti nous fait découvrir les racines mêmes de nos problèmes personnels et de ceux de la société qui nous entoure. Il nous apprend l'art de voir et d'écouter avec notre coeur. Et à découvrir la Vérité qui est en nous.
Krishnamurti (1895-1986) Grand philosophe et sage indien du XXe siècle.
Traduit de l'anglais par Colette Joyeux
« Le révérend Rahula a reçu selon toutes les règles la formation traditionnelle d'un moine bouddhiste à Ceylan et revêtu d'éminentes fonctions dans un des principaux instituts conventuels (Pirivena) de cette île où la Bonne Loi fleurit depuis le temps d'Asoka et a conservé jusqu'à nos jours toute sa vitalité. [...] Le livre qu'il a bien voulu me demander de présenter au public occidental est un exposé lumineux et accessible à tous, des principes fondamentaux de la doctrine bouddhique, tels qu'on les trouve dans les textes les plus anciens, ceux qu'on appelle en sanscrit «la Tradition» (Agama) et en pali «le Corpus canonique» (Nikaya), et auxquels le révérend Rahula, qui en possède une connaissance incomparable, se réfère constamment et à peu près exclusivement. » Paul Demiéville
Confucius n'explique rien, ne sous-entend rien, ne fait aucun mystère ; il remet simplement les choses à leur place. Sa pensée est le rappel d'un ordre très ancien et pourtant très proche, mais dont l'évidence est telle qu'il passe inaperçu. Il concerne la manière dont l'homme doit se tenir pour faire apparaître le miracle de son humanité. Or, lorsque l'homme devient humain, le monde lui-même peut à son tour apparaître dans sa forme et sa vérité natives. La langue chinoise le dit à même les signes de son vocabulaire : l'homme, lorsqu'il se tient debout, c'est-à-dire en homme, joint la terre au ciel. L'ordonnancement harmonieux des éléments et des êtres le monde et la vérité de l'humanité se font écho. Ils se soutiennent et se détruisent l'un l'autre. Le pourquoi est un mystère que Confucius ne cherche pas à mettre au jour. Seul le comment l'occupe. Comment habiter le monde comme on habite sa propre humanité ? Telle est la voie royale et nécessaire qu'ouvre le geste confucéen.
Ce livre est un manuel pratique d'audace et de sagesse, il propose pour chaque jour une authentique citation de Swami Prajnanpad, ce maître indien confidentiel qui recevait ses disciples un par un, dans un endroit reculé de la campagne bengalie.
Swami Prajnanpad est véritablement le maître du Oui. En prenant ce Oui pour compagnon de route, le lecteur pourra aller aussi loin que possible dans la découverte de soi et des autres, devenir un être humain meilleur et plus heureux.
Swami Prajnanpad (1891-1974) est un maître spirituel accompli. Son enseignement, connu sous le nom d'Adhyatma yoga, propose, entre travail sur l'inconscient et Vedânta, une voie originale vers la liberté.
« Un certain nombre de voies de traverse conduisent à une version distordue, égocentrique, de la vie spirituelle. Nous pouvons nous illusionner en pensant que nous développons spirituellement, alors qu'en fait nous usons de techniques spirituelles pour renforcer notre ego. Cette distorsion fondamentale mérite le nom de matérialisme spirituel. » Chögyam Trungpa Ces enseignements ont fait connaître Chögyam Trungpa à l'Occident. Ils n'ont rien perdu de leur force d'attaque et de leur clarté dans l'exposition des principes de la voie bouddhiste. Le style pédagogique de l'auteur, inimitable et emprunt d'humour, a révolutionné la transmission du dharma.
Les conférences de Chögyam Trungpa réunies dans cet ouvrage présentent la notion de liberté dans le bouddhisme tibétain. Trungpa montre comment nos attentes, nos attachements, nos projections de toutes sortes, nos idées préconçues du bonheur et de la liberté, et même notre pratique spirituelle, peuvent nous enchaîner aux schémas répétitifs de la frustration, du désespoir, et plus généralement de la souffrance. Mais il explique également comment la méditation peut permettre à ces énergies négatives de nous aider à progresser en direction de la véritable liberté : lorsque tout ce qui survient, plaisir et douleur, est expérimenté dans sa pleine saveur, sans interférence.
« L'idéal du yoga, l'état de jîvanmukta, est de vivre dans un «éternel» présent, en dehors du temps. Le «libéré dans la vie» ne jouit plus d'une conscience personnelle, mais d'une conscience-témoin, qui est lucidité et spontanéité pure... Le yoga s'intègre dans une tradition universelle de l'histoire religieuse de l'humanité : celle qui consiste à anticiper la mort pour s'assurer la renaissance dans une vie sanctifiée, c'est-à-dire rendue réelle par l'incorporation du sacré. Mais l'Inde s'est aventurée particulièrement loin sur ce plan traditionnel. La renaissance initiatique se traduit pour le yoga par l'obtention de l'immortalité ou la liberté absolue ».
Dans ce livre, Mircea Eliade revient à la discipline spirituelle que signifie le yoga, trop souvent ramené aujourd'hui à des techniques psycho-corporelles de relaxation. Et il montre que Patañjali, auteur d'un traité fondateur intitulé Yoga-Sutra, fut un véritable maître spirituel.
Depuis vingt-cinq siècles, l'Occident est hanté par le fantôme du prophète mystérieux Zarathustra. C'est lui qui, évoqué par Nietzsche, lui permit d'exprimer avec lyrisme à la fois son pessimisme et son désir que s'ouvre une nouvelle époque pour les « valeurs ». De Platon et Origène à Goethe et Rameau, d'Erasme à Shelley, philosophes et poètes de l'Europe ont évoqué le visage secret de celui qui était considéré comme l'inventeur d'une doctrine occulte mais visionnaire.
Jean Varenne reconstitue ici l'histoire de cette énigme qui commence au début du second millénaire avant notre ère, en Iran, avant de continuer en Inde et de se poursuivre, avec la naissance de Zarathustra, vers 680 av. J.-C.,. dans la région qui englobe l'Iran, l'Irak et la Syrie actuels, pour aboutir à la région mazdéenne, dont quelques communautés en Iran, ainsi que les Parsis de l'Inde, représentent aujourd'hui la mémoire vivante.
En Occident, on dit facilement d'un tel qu'"il est trop poli pour être honnête". En Chine, on préfère penser qu'"on ne vous en voudra jamais d'être trop poli". Là-bas, les maximes délivrant une règle de conduite, les préceptes destinés à fixer le cours des choses, les sentences qui impliquent un jugement - bref, les proverbes - constituent à leur manière un vade-mecum mental, quasi inconscient, des mentalités et des comportements sociaux depuis les temps les plus reculés.
L'art du discours en Chine s'est toujours plu à recourir aux maximes et aux sentences, et Mao Tse-toung lui-même n'a pas manqué de recourir à cet héritage proverbial très populaire. Il est vrai, selon un sage récent, qu'"il n'y a pas de proverbes creux dans l'Antiquité"... Et il ne faut pas oublier, en méditant les quelque quinze cents proverbes présentés ici par thèmes, que "sur dix proverbes, cinq sont vrais".
À la lumière d'écrits de maîtres zen tels que Takuan et Shôsan, ou de samouraïs comme Musashi et Munemori, cet essai dense et clair introduit le lecteur au coeur de la psychologie et de la technique de la voie du guerrier : bushidô. L'éthique du combat et les modèles stratégiques qui s'en dégagent fournissent des clefs comportementales utiles à toutes les disciplines de l'action. Éclairant également ces pratiques au regard de l'histoire militaire du Japon et de la naissance de la caste des samouraïs, ce livre opère une véritable transmission de l'esprit du sabre, voie ultime et secrète de l'enseignement du zen.
Vipassana est l'une des plus anciennes techniques de méditation de l'Inde. Il y a 2 500 ans, elle fut redécouverte par le Bouddha, qui l'enseigna en remède aux maux universels. Cette technique fleurit d'abord en Inde, mais s'y dégrada et disparut. La Birmanie conserva heureusement la forme originelle de Vipassana au fil des millénaires. Depuis 1969, elle a été réintroduite en Inde.
Vipassana est un terme pali signifiant « vision pénétrante » : voir les choses telles qu'elles sont. Le but de cette méthode de méditation, accessible à tous, est de purifier l'esprit, d'éliminer les tensions et la négativité. Elle a été enseignée par Shri Satya Narayan Goenka (1924-2013) et ses assistants dans de nombreux pays, et continue de l'être aujourd'hui.
Cet ouvrage est le premier qui décrit ce trésor spirituel de l'Inde.
Avec Lin-tsi, son fils spirituel, et Ma Tsou, l'ancêtre de sa lignée spirituelle, Houang-po ( ?-850) est, sans doute possible, un des plus remarquables représentants de la mystique tch'an dite de Hong-tcheou.
Le Tch'an (de Hong-tcheou) se caractérise par sa réalité absolue, que Houang-po nomme esprit un. " Cet esprit, jamais venu à l'existence, n'a jamais cessé d'exister. Illimité et insondable, on dirait l'espace vide. " Son discours non duel, basé essentiellement sur la contradiction, fait écho aux préoccupations, de son auditoire de chercheurs spirituels. " Hors l'Eveil, il n'est aucune Réalité, et si l'Eveil avait une quelconque réalité, ce ne serait pas l'Eveil ", répète-t-il inlassablement, à la suite du Bouddha.
Houang-po niant toute transmission de son Eveil, car dans l'Eveil il n'est aucun autre susceptible de recevoir quoi que ce soit, comment l'Eveil se transmet-il ? Aucun être se prenant pour tel ne peut le dire ou le penser. Une silencieuse coïncidence seule ouvre l'accès à la Voie où l'esprit se dissout et s'affine au fil de sa pureté primordiale.
Passe-sans-porte, Wumen guan en chinois, est à la fois le titre de l'ouvrage et le surnom de son auteur, un maître zen chinois du XIIIe siècle, qui recueillit dans ce texte majeur de la littérature zen 48 koans des maîtres les plus appréciés du bouddhisme. Les koans sont de courts enseignements constitués d'anecdotes ou de dialogues édifiants entre maître et disciple, que le candidat à l'éveil prend comme support dans son cheminement. Brefs et incisifs, provocateurs et déstabilisants, souvent paradoxaux et ironiques, ils ont pour but de faire disparaître tout point d'appui, de déloger le disciple des habitudes duelles de la pensée afin qu'il accède à la compréhension de la véritable nature des choses : la vacuité, c'est-à-dire l'absence de caractéristiques qu'elles quelles soient.
Parmi les recueils chinois et japonais de koans, la Passe-sans-porte, par son choix et sa sobriété, est sans nul doute le plus beau. Il est riche en allusions aux principales notions du bouddhisme, et empreint de la richesse culturelle et poétique des maîtres de jadis. Depuis près de sept siècles, dans nombre de monastères zen au Japon, il sert de support pour les moines qui, lors de leurs pratiques méditatives et dans leur vie quotidienne, se concentrent sur un koan et ne le lâchent pas jusqu'à l'avoir résolu, c'est-à-dire jusqu'à leur éveil.
Le terme de « mandala » est entré dans le langage courant. Principe clef du bouddhisme, il permet de décrire l'unité du monde, où l'homme et la nature sont dans une harmonie native.
Le terme de « mandala » est entré dans le langage courant. Les textes publiés sur le thème, sans que sa véritable portée en soit comprise, sont légion.
Mais, hormis l'ouvrage ardu de Giuseppe Tucci publié il y a 30 ans et aujourd'hui daté, aucune présentation claire n'existe de ce principe pourtant si fondamental.
Le mandala est un principe clef du bouddhisme qui permet de décrire l'unité du monde, où l'homme et la nature sont dans une harmonie native. Il est un principe qui nous invite à questionner notre rapport à nous-mêmes et à ce qui nous entoure - sans instaurer de distance avec le réel , démarche que l'on retrouve aussi bien dans la science, la psychanalyse, la philosophie que dans l'art moderne.
Fabrice Midal, est l'un des chef de file du bouddhisme occidental, disciple de Chogyam Trungpa et fondateur de l'Ecole occidentale de méditation. Il est notamment directeur de la collection Evolution chez Pocket, et d'Esprit d'ouverture chez Belfond.
- Préface d'Éric Rommeluère" Votre culture est basée sur l'idée de progrès personnel. (...) Vous essayez toujours d'améliorer quelque chose. Peut-être la plupart d'entre vous s'assoient-ils pour améliorer leur zazen, mais les bouddhistes ne font pas grand cas de l'idée de progrès. En pratiquant zazen dans le but de vous améliorer, vous tentez peut-être de vous connaître d'un point de vue psychologique. (...) dans le zen, nous comprenons le moi d'une manière bien différente. "Avec la simplicité, l'humour et le bon sens qui ont fait le succès de Esprit zen, esprit neuf (où Shunryû Suzuki présentait le bouddhisme zen, son histoire, ses grandes notions et sa pratique), les causeries réunies dans cet ouvrage exposent et approfondissent la méditation zen, son but, ses exigences, ses difficultés et sa richesse. Aussi éclairantes pour les novices que pour les maîtres, elles ne sont jamais directives ni dogmatiques : pédagogue exceptionnel, Suzuki s'attarde sur l'expérience, dédramatise les obstacles, sans jamais réduire la pratique méditative à des techniques. Son enseignement encourage à faire l'expérience de sa propre vérité, à simplement être soi et à l'exprimer pleinement. Mieux qu'une mère ou un père nous prenant la main, il nous appelle avec tendresse et fermeté à trouver notre voie. Sage et inspirant, ce livre est un guide formidable pour qui cherche la plénitude spirituelle.
Avec une compétence et une clarté remarquables, ce petit livre retrace la vie et l'enseignement de Râmakrisna, sage au rayonnement mystique si exceptionnel que les hindouistes le considèrent comme une incarnation de Krishna. Parce qu'il fut une des plus pures réalisations de l'idéal védique, Solange Lemaître ne se contente pas de mettre en valeur le rôle considérable que le saint joua dans l'hindouisme moderne ou de nous présenter ses disciples et ses contacts avec d'autres religions. Elle expose, dans des pages lumineuses, les racines védiques de sa pensée, offrant également un excellent abrégé de l'histoire de la pensée indienne des antiques Veda jusqu'au XIXe siècle. S'y exprime son admiration pour le mystique, dépourvue de tout sectarisme, et à ce titre conforme à la pensée si large de Râmakrishna.
Selon le principe du mandala, trait distinctif du bouddhisme tantrique (ou vajrayana), tous les phénomènes font partie d'une seule et même réalité. Que les expériences que nous faisons soient bonnes ou mauvaises, heureuses ou tristes, claires ou obscures, elles s'inscrivent toutes dans une même totalité et la reflètent. Comme l'explique Chôgyam Trungpa dans ce livre, selon la perspective du mandala, l'existence est un chaos ordonné. Le chaos et la confusion se produisent parce que les choses surgissent d'elles-mêmes, sans principe externe qui vienne y mettre de l'ordre ; en même temps, tout ce qui surgit est une expression d'ordre et d'intelligence, d'énergie éveillée et de précision. Les pratiques méditatives associées au principe du mandala nous font découvrir que les pôles de notre expérience - confusion et éveil, chaos et ordre, douleur et plaisir - ne sont que des éléments inséparables d'une vision totale de la réalité.
Percutant, intransigeant, Jiddu Krishnamurti (1895-1986) est la figure même du sage révolutionnaire. Sa parole est fondée sur la conviction qu'un véritable changement dans la société ne peut émerger que d'un bouleversement radical de l'individu. Car la vraie liberté passe par une profonde mutation intérieure que ni les religions, ni l'athéisme, ni les idéologies ne sont capables de produire.
Ayant rejeté les différents conditionnements où il fut lui-même pris, Krishnamurti nous exhorte à penser par nous-mêmes avec indépendance et clarté, à nous libérer des « cages » qui nous contiennent et des filtres qui déforment notre vision de la réalité, afin de tracer notre propre sillage plutôt que de suivre celui d'autrui, qu'il soit maître à penser ou gourou. « La vérité est un pays sans chemin. »
La Voie du Bouddha constitue à la fois une introduction générale au cheminement spirituel et une collection d'enseignements didactiques pour les étudiants et les pratiquants du bouddhisme. C'est un ouvrage de référence donnant une vue globale de la tradition orale du bouddhisme tibétain.
L'ouverture, la profondeur et la clarté des enseignements qu'il contient sont une source d'inspiration unique pour tous ceux qui sont à la recherche d'une spiritualité complète et vivante pouvant être pratiquée aujourd'hui.
« Le bön est la plus ancienne tradition spirituelle du Tibet et, comme source indigène de la culture tibétaine, il a joué un rôle significatif en façonnant l'identité unique du Tibet.
Avec l'invasion chinoise de notre patrie, le bön, tout comme les autres traditions spirituelles du Tibet, dut faire face à d'irréparables pertes. Cependant, grâce aux efforts de la communauté bönpo en exil, plusieurs monastères bön ont été rétablis en Inde et au Népal.
Ce livre sera d'une grande aide aux lecteurs souhaitant trouver une explication claire de la tradition du bön, particulièrement grâce à la présentation des enseignements dzogchen qu'il nous offre [...] ».
S. S. le Dalaï Lama