Après des années d'attente, Florence et Meddy vont enfin devenir parents ! C'est un immense bonheur pour eux, d'autant qu'ils attendent des jumeaux. Un rêve devenu réalité !L'accouchement est prévu en janvier. Pourtant, c'est en octobre, trois mois avant la date prévue, que Simon et Martin arriveront précipitamment au monde.Quand naissances riment avec souffrances, ce sont des mois de vicissitudes qu'aura à affronter cette famille, où joies et victoires s'entremêleront au deuil et au désespoir.Laissez-vous porter par ce témoignage bouleversant et émouvant, décrivant le quotidien de Martin né grand prématuré. Il aura à mener un combat de longue haleine pour rester en vie et ses parents devront désormais concilier la vie et la mort, deux mots qui n'auraient jamais dû se côtoyer...
« J'ai pris contact avec mon confrère qui m'a expliqué vos antécédentset les morts subites dans votre entourage familial plus ou moins proche.Vous semblez avoir une cardiomyopathie congénitale. »Après le décès brutal de sa mère, Nicolas apprend qu'il a hérité d'une maladie orpheline. Malgré cette épée de Damoclès, il mène une vie normale... jusqu'au jour où il est à son tour victime d'un arrêt cardiaque. À seulement quarante et un ans, Nicolas est ramené de justesse à la vie. Équipé d'un défibrillateur placé sous sa peau, il entame une longue et difficile convalescence. Alors que les champs magnétiques, ondes radioélectriques et autres vibrations sont devenus un danger pour lui, Nicolas parviendra-t-il à se réapproprier sa vie et ce nouveau coeur de titane ? Dans ce témoignage poignant, Nicolas Desroches nous livre une leçon de vie qui nous touche en plein coeur !
Ce récit de vie aux allures de conte initiatique raconte les pérégrinations d'une famille ordinaire, dont le père, sorte de Don Quichotte désespéré, s'est laissé ensorceler par Dame Alzheimer. Entre la mémoire paternelle qui s'effiloche et les liens familiaux qui se déchirent, c'est la descente aux enfers. Comment se réinventer quand tout est abîmé ? La Grande Faucheuse va venir chambouler les perspectives et apporter un tour inattendu à l'aventure de cette famille, subitement projetée dans une odyssée improbable aux confins de la Vie.
À la suite d'une expérience spirituelle forte au chevet de son père mourant, Isabelle Foulon, romaniste de formation, se sent appelée à écrire l'histoire des siens. L'auteure belge signe un texte puissant, autant intimiste qu'universel, révélant que rien n'est jamais perdu et que la maladie comme la mort ne sont pas ce qu'elles paraissent. Un partage lumineux, empreint de poésie, qui s'interroge sur notre condition humaine et donne envie de croire en l'Invisible. Étrangement d'actualité. Bouleversant !
Alors que Frédéric coulait des jours heureux avec Pauline et leurs deux enfants, sa vie s'arrête net : on lui diagnostique un cancer. Très vite, il comprend qu'il n'a quasiment aucune chance de s'en sortir.Ce récit, c'est avant tout l'histoire d'un combat ; non pas un combat contre la maladie, mais un combat contre le temps, un combat pour l'amour. Témoignage intime d'une vie de famille chamboulée, C'est une nuit à foutre la nuit dehors nous ébranle et nous emporte par son style à fleur de peau.
À travers son journal de bord, Margot nous invite à une réflexion sur notre société à la fois lucide, précise et sans détour, et aussi pleine de douceur et de poésie. Avocate d'une voie nouvelle : celle de la nuance, elle nous laisse entrevoir l'espoir d'un monde meilleur, où l'intelligence collective et l'ouverture aux autres auront toute leur place. Margot s'empare de sa voix de médecin anesthésiste-réanimatrice, au coeur de la crise Covid, pour nous livrer ici un véritable manifeste politique et philosophique, comme un éloge à la grâce de l'humain inscrite en chacun de nous.
...mais je vais guérir docteur ? Ce livre est l'histoire du médecin, du malade et du cancer. Une épopée de cinquante années de batailles incessantes menées à la frontière entre la vie et la mort, dans un no man's land où les mots pour dire la désespérance venaient souvent à manquer.Il n'y avait alors pas de guérison possible et parler de traitement nous ramenait sans cesse à l'image de la mort. Elle flottait autour de nous cherchant à s'immiscer en permanence dans la conversation. Le malade sait-il ? Veut-il savoir ? Dois-je le lui dire ? Maintenant ? Fallait-il tout révéler de la maladie alors que la seule solution envisageable consistait en un traitement expérimental, l'identification d'un médicament potentiellement actif qui n'avait pas encore été testé chez l'homme ? Comment intégrer, assimiler les conséquences d'une maladie toujours perçue comme mortelle et l'utilisation de traitements dont on ne savait encore rien ? Jusqu'au jour où, enfin, apparurent les premières victoires... Mais qu'il fut long le chemin !
C'est l'histoire d'un jeune garçon qui pourrait être un ado de votre famille, votre neveu, votre cousin, votre meilleur pote, votre petit-fils... Il va vous faire découvrir un univers fabuleux que vous n'auriez jamais pensé réel : un monde parallèle, le monde de l'invisible. Le récit que vous allez lire est une histoire vraie, qui, je l'espère, vous apportera du réconfort, si tant est que vous acceptiez que l'on vous propose une version particulière que vous ignorez sans doute de l'après-vie.
Plantation de décor littéraire. Je pensais que ma traversée de la marée noire de l'âme était finie. Oui, je le croyais. J'avais perdu les êtres qui m'étaient les plus chers. Fermé mon entreprise pour éviter ce burn-out qui aurait eu raison de moi. Déménagé de cette ville que je détestais tant, pour me retrouver enfin face à moi-même et mes rêves de gosse. J'ai même osé imaginer que l'écriture de ce premier livre m'avait suffisamment servi d'exutoire. C'est vrai, que c'était trompeur. À lui seul, il balayait d'un coup d'un seul : ma dépression infantile, mon oedipe, mes troubles d'hypersensibilité en tant qu'HPI et les pardons que je tardais à donner. Alors oui, je pensais que j'en avais fini de cette longue traversée. Vieux réflexes égotiques sûrement. Ce même ego qui me pousse bêtement à fouiller l'iPhone de l'homme que j'aimais pour découvrir ce que je savais déjà : j'étais la plus grande coiffée 2.0 du sud de la France. En vingt minutes, tout mon cheminement personnel tombait à zéro.
Au départ, je suis une femme qui se croit libre, comme tant d'autres. Et puis un soir de mai, à la veille de mes 25 ans, ma route croise celle d'un monstre qui me viole et me fracasse. Je m'en sors, vivante, mais malgré ma carcasse toujours présente, je suis bien morte ce soir-là et une nouvelle jeune femme a vu le jour. Voici le récit de mon histoire, mais aussi de celle des femmes. En dix ans, depuis ce soir de mai 2012, j'ai ouvert les yeux sur la réalité masquée du vécu des femmes, sur le fonctionnement de notre société patriarcale, sur ses mécanismes, ses constructions, et j'ai ouvert les yeux sur mon passé. De découvertes en compréhensions, je n'ai fait que dégringoler et j'ai eu besoin de partager, ce que j'observe désormais de notre monde cloisonné, normé, qui violente et opprime la moitié de l'humanité. Dans ce monde de femmes et d'hommes, construit.e.s de toutes pièces, des genres qui s'échappent de la binarité et des humains sans étiquettes tentent toutefois d'inventer des façons nouvelles et plus libres d'exister. Ce livre est une invitation à plonger dans les profondeurs de nos vies, de nos histoires, à observer et à questionner les schémas qui nous dirigent et entraînent tant d'injustices, d'inégalités, de violences dans la vie des femmes.Je livre ici mon témoignage, mes souffrances, mon regard, mes explorations et apprentissages dans l'espoir d'offrir à chacun.e des clés pour ouvrir ses propres portes, et que nous puissions cheminer, grandir, évoluer ensemble.
Chris Cavier est danseur de formation, professeur de danse classique, néo-classique et chorégraphe. À 49 ans, il a envie de transmettre son expérience et de poser un regard sur sa formation, l'Opéra, la vie de troupe, les ballets, la blessure, la reconversion... les joies et les difficultés d'une carrière d'artiste. Dans ce livre, il a souhaité partager sa passion pour la danse, qui au delà du rêve est une école de la discipline, qui engendre des écueils et parfois des changements de caps puis un jour ou l'autre, une reconversion. Car lorsqu'on se voue à un art, il faut s'attendre à une vie mouvementée qui ne correspond pas toujours au parcours que l'on s'était fixé. C'est un métier qui vous absorbe, une passion vouée à un art qui demande des sacrifices. Ce livre propose également une quinzaine de témoignages de danseu(r)ses, offrant des parcours différents qui montrent toutes les dimensions d'une carrière permettant de comprendre ce que représente devenir et être danseu(r)se. Et dans ces parcours semés d'embûches, de surprises et d'aventures, tous les choix sont possibles. Enfin, Chris évoque son expérience de professeur, l'évolution de l'enseignement dans ce domaine et les différentes structures. C'est pourquoi ce livre s'adresse aussi bien aux jeunes et futur(e)s danseur(se)s, qu'à des professionnels, ainsi qu'à tous lecteurs s'intéressant au milieu de la danse. Danse ta vie peut être un ouvrage de référence pour les danseur(se)s en devenir.
« L'Alsace est opulence : fleurs en guirlandes aux balcons, lumière dorée sur les grappes sucrées, friandises à la cannelle, Noël toute l'année. Mais l'Alsace est une blessure insondable, une guerre fratricide, un élan lancinant qui me fend la poitrine. En moi, elle a laissé son empreinte. J'en viens, j'en suis, je ne peux lutter. L'Alsace me hante, me ronge et me réjouit à la fois. Je voudrais savoir pourquoi, je voudrais comprendre, chercher mes racines, puiser à la source.La mère de la mère de ma mère était alsacienne. Elle s'appelait Jeanne. » L'Histoire impose-t-elle des choix insoutenables ? Les liens tissés de génération en génération portent-ils autant de boue que d'eau claire ? Jeanne, née allemande en 1880, a traversé deux guerres et enduré maintes peines. Son histoire dévoile celle de l'Alsace tiraillée entre deux pays, celle d'une famille héritière de la source pétillante de Soultzmatt, celle des secrets de famille qui, de cachoteries en tabous, éclaboussent la descendance. Le récit dont Jeanne est le coeur s'étend sur sept générations, de mères en filles. C'est une véritable enquête généalogique pour mettre à jour des vérités tapies dans l'inconscient. C'est aussi un parcours expérimental qui corrobore les théories de psychogénéalogie et de mémoire corporelle. C'est surtout une soif à assouvir, un transport d'amour, un retour aux sources. Une invitation à découvrir que chacun porte en soi l'élan pour surmonter ses faiblesses. Une démarche originale et puissante.
Papa a un cancer.Papa a un cancer et tout le monde se doute de la fin. De toute façon me direz-vous, il n'y a qu'une fin. Et à la fin, on meurt. Papa a un cancer et c'est comme si j'écrivais : Papa va mourir. Quand ? Bientôt ?Papa a un cancer et c'est comme si j'écrivais « Papa est mort. » Déjà. Ce livre n'est pas un roman. Il n'y a aucun suspense. Au début, vous connaissez déjà la fin.
À Montréal en 1989, c'est la guerre : la ville est divisée entre les punks et les skinheads, les anarchistes et les néo nazis. Junior, un étudiant à la fac le jour qui aime trainer dans les bars la nuit, ne supporte plus le racisme ambiant. Il décide de réagir et de créer, avec quelques amis, la Ligue Antifasciste de Montréal, la L.A.M. Junior et sa bande vont organiser des concerts, participer à des manifestations et faire des graffitis pour tenter de changer les mentalités et mettre fin à cette menace.
Jusqu'où ce jeune métis sera-t-il prêt à aller ? Quelle sera l'issue de ce combat acharné ?
Basé sur une histoire vraie, ce récit retrace les aventures rocambolesques d'un groupe de jeunes aficionados de « Bérurier Noir » et nous immerge dans une « idéologie punk » où le pouvoir est à celui qui contrôle la rue !
Ce récit romancé raconte en chapitres courts mon vécu, de l'enfance à ce jour. Fils d'un cultivateur (ancien combattant de la guerre 14-18) du nord de la France, au sein d'une famille nombreuse. Il commence en 1939 au début de la Seconde Guerre mondiale, se poursuit par la guerre d'Algérie à laquelle j'ai participé. J'essaie de m'intégrer à la vie active dans la peau d'un homme ordinaire, rencontre ma future femme et fonde un foyer. Ce récit est surtout un retour vers les membres de ma famille et de ma belle-famille, au travers d'événements inattendus. En retraite en Haute Provence je retrouve mon passé, mon identité et la foi de mes ancêtres.
Le plus beau cadeau dans la vie d'une femme est de devenir maman. La naissance d'un enfant reste un moment inoubliable. Mais Carole et son bébé vivent dans un cadre familial destructeur ; elle se promet alors de toujours protéger son petit Julien. Peu à peu, ce fils tant aimé va perdre pieds face à un monde hostile à ses yeux. Et malgré l'amour de sa mère, il se sent seul et incompris, meurtri par une vie qui ne veut pas de lui. Son existence aura été un combat de tous les jours contre cette société qu'il ne comprend pas et qui l'abandonne, lui qui est resté « enfermé depuis tout petit ». Cette histoire bouleversante est la sienne.
Le dimanche 25 janvier 2015, j'avais rendez-vous avec mon frère, mes parents et ma soeur, pour fêter mes trente-cinq ans chez elle. Lorsque nous avons pu ouvrir la porte de son appartement, nous l'avons trouvée inanimée sur son lit. À ce moment-là de ma vie, ma soeur était la personne qui m'était la plus intimement proche. La veille, nous étions allées courir au parc des Buttes-Chaumont, comme nous le faisions tous les samedis. Nos derniers mots, en nous quittant, avaient été « À demain ! ».
Comme de nombreuses femmes, Bénédicte Marchand attend un heureux événement : l'arrivée d'un premier enfant. Elle a hâte que sa petite fille, Charlotte, les rejoigne ; pouvoir la tenir dans ses bras, la couvrir de baisers... Mais ce beau rêve vole en éclats : lors de l'échographie du cinquième mois, le médecin devient brutalement silencieux. Quelque chose ne va pas. Le coeur de Charlotte est malformé, elle est atteinte de la tétralogie de Fallot. Si la grossesse arrive à son terme sans problème, il faudra enchaîner les opérations pour assurer sa survie sitôt le bébé né. Bénédicte devra attendre encore avant de la tenir dans ses bras, car elle ignore si Charlotte guérira. Un témoignage poignant porté par une double naissance : celle d'une enfant malade et celle d'une mère déterminée. Une véritable leçon de force et de résilience qui en inspirera plus d'un.
Ce livre n'existerait pas si un cataclysme n'était survenu dans ma vie. Ce jour-là j'ai senti le sol s'ouvrir sous mes pieds et tout s'écroulait devant moi. Mille mains se sont tendues et m'ont agrippée au bord du gouffre. Ces mains bienveillantes m'ont réconfortée et incitée à écrire pendant ce voyage singulier. Je souhaite que ce livre écrit au jour le jour pour les remercier, puisse encourager tous ceux qui le liront à ne pas céder à la peur et à accueillir la Vie.
« Au-delà des nuages, le soleil brille toujours. » Colonel E. M. Blanché Au fil d'un témoignage intime et plein d'espoir sur le handicap, la différence, la féminité et l'identité, Florence Alix-Gravellier retrace les chemins de sa vie, de l'hôpital Trousseau au Louis Armstrong Stadium de Flushing Meadows. Certains échecs n'en sont pas vraiment, certaines douleurs sont la porte de rêves extraordinaires. Ce récit est un cheminement dans les méandres de la vie, à la rencontre de rêves juste frôlés et de douleurs entremêlées, avec pour bagage la force d'une devise familiale gravée au revers d'une médaille : au-delà des nuages, le soleil brille toujours.
Tout est parti d'une blague, d'un jeu, comme cette fameuse citation : « Le premier qui tombe amoureux a perdu. » Sauf que mon amoureux voulait juste me faire perdre la raison, le goût de vivre, et moi je ne comprenais pas. Amoureuse et aveugle, j'ai pris ses mensonges pour des vérités et je suis tombée dans le piège d'un pervers narcissique manipulateur. Il me faudra un an et demi pour comprendre et une chute sans fin vers les ténèbres pendant laquelle je perdrai presque tout. Moi qui vivais dans l'optimisme et la vérité, je vais presque mourir d'avoir aimé.
Comment une prof d'histoire du lycée Voltaire à Paris se retrouve à Diên Biên Phù interrogeant le général Giap et Pham Van Dong ? Réponse à H comme Hanoï et à V comme Vietnam. Comment une jeune fille blanche de dix-huit ans qui « ignore la peur du corps noir » découvre la réalité du ghetto ? Réponse à H comme Harlem. Danièle Rousselier voit le jour l'année de la bombe atomique américaine sur l'atoll de Bikini et de l'invention du maillot du même nom, véritable « bombe anatomique ». C'est déjà dire l'amplitude des oscillations dans ce livre qui adopte la forme de l'abécédaire pour, en toute liberté, sauter d'un sujet à l'autre. Entrelaçant mémoire individuelle et mémoire collective, dans une extrême diversité de tons et de thèmes, l'écrivaine stimule sans cesse l'attention et donne des coups de flash sur le siècle d'hier accouchant d'aujourd'hui.A comme Amandier, P comme Pizza, S comme Spoutnik ou Suicide... Bikini navigue de la légèreté au tragique, de l'intime à l'abominable. De Constantine à Chicago, de Naples à Fukushima ou Tombouctou, depuis tous les pays où elle vécut, Danièle Rousselier saisit le monde comme il va et le restitue en assemblant les pièces d'un vaste puzzle. D'un grand jeu bigarré et profond, celui d'une vie mêlée à l'histoire. Et ces courtes nouvelles - de trois lignes à deux pages - finissent par former le portrait intellectuel d'une femme engagée dans son temps.
Lorsque le SIDA a surgi en 1982, nous ne pouvions pas y croire. Nous étions une troupe de jeunes serveurs, joyeux de vivre au travail une homosexualité fraîchement libérée. Chaque service était pour nous l'occasion d'échanges animés dans cette brasserie branchée, une adresse de ces années où se croisaient tout style de clients. L'un d'entre nous a été touché et rapidement un autre a suivi. Nous pouvions tous faire partie de la liste. Le déni, la peur, les secrets difficiles à partager sont devenus notre quotidien. J'ai toujours su qu'un jour je devrais raconter ce que nous avions vécu au cours de cette décennie peu témoignée. Le plus fidèlement possible, je partage ici des moments où se sont mêlés rires, tragédie et amitiés. Ce livre est un hommage à ces garçons qui m'ont beaucoup appris de la vie.
Personne n'aurait jamais dû le dire, Personne n'aurait jamais dû y être, Personne n'aurait jamais dû le vivre, Personne n'aurait jamais dû le taire. C'est l'histoire de deux filles, deux mères, deux soeurs, Meurtries, mutilées, massacrées C'est juste une scène de crime, Transposée dans un livreIl était une fois, Ce qui n'aurait jamais dû commencer CECI EST UNE HISTOIRE VRAIE, MALHEUREUSEMENT...
Marie Grosset est Agent Territorial Spécialisé en École Maternelle (ATSEM). De sa plume sincère et touchante, elle raconte à travers le prisme de témoignages saisissants, la souffrance de ses collègues. Elle explique sans complaisance le pouvoir de leurs différentes hiérarchies qui souvent, les abîme, les maltraite, et les conduit parfois au pire. Avec toute sa sensibilité, elle évoque ses propres expériences, celle d'une maman essayant de protéger son fils contre la folie d'une enseignante, mais aussi, son parcours professionnel qui l'a emmenée un jour aux portes de la mort. Avec franchise et sans détour, elle décrit l'univers impitoyable dans lequel évoluent des petits enfants, dénonçant sans ambages les comportements inappropriés de certain(e)s enseignant(e)s à leur égard, leur manque de respect et les dérives journalières dont ils sont victimes. Il vous appartient de connaître la vérité sur leurs premières années de vie, même si l'Éducation Nationale couvre et protège trop souvent son élite. Marie prend à témoin chaque lecteur pour faire changer le monde : « Si je suis moi aussi un petit colibri de la légende, que dois-je encore accomplir pour avoir la certitude d'avoir fait ma part ? Je veux bien m'agenouiller devant vous et vous supplier de faire la vôtre ». Pour Marie et pour vous, rien ne pourra plus être comme avant, rien ne devra plus être comme avant, car après avoir lu ce livre bouleversant, vous saurez... L'auteure a décidé de briser l'Omerta.