Découvrez le parcours d'un jeune portugais qui quitte le Portugal rural des années soixante pour rejoindre une France qu'il va découvrir avec ses yeux d'enfant. Un nouveau pays, une nouvelle culture auxquels il va devoir s'adapter.Suivez-le depuis les bancs de l'école primaire jusqu'à la vie d'adulte en passant par l'adolescence à travers un récit sincère, vivant et tendre, prenant le lecteur à témoin, dans un récit intimiste.À la manière d'un essai, sont également évoquées les grandes mutations politiques, sociologiques et économiques qui ont affecté les deux pays et, au-delà, façonné les individus telles que la révolution des OEillets d'avril 1974 au Portugal, l'élection de François Mitterrand en 1981 en France jusqu'à la financiarisation de l'économie et la société digitale.Armindo de Oliveira est né au Portugal, dans la région de Leiria, au centre du pays. Il est arrivé en France en 1965, à l'âge de 10 ans. Il a exercé sa carrière professionnelle dans le milieu de la banque portugaise en France. Il présente ici son premier ouvrage.
Bientôt 41 ans et j'habite à nouveau chez mon papa. Ma chambre louée à l'étage devenue l'antre de la bête est mon ultime refuge. Mon alcoolodépendance m'a dépossédé, ridiculisé et réduit à l'âge du collège. Des années d'alcoolisation exponentielle m'ont rendu maître de la Pillav'. Je ne respire plus, je bois?! Devenu tonneau, je gis dans la cale d'un vaisseau fantôme qui souhaite sombrer.
Seulement, une main s'est tendue. Un être supérieur, une marraine, preuve vivante que c'est possible. La suivre par-delà les étoiles jusqu'au matin ou saborder ce qui reste de vivant en moi?? Jeter l'éponge ou renaître de mes cendres?? Je me suis consumé. De mauvais choix m'ont conduit en enfer et plus rien n'a de sens. Je ne sais même pas qui je suis, ce que je vaux à jeun. Sortir du cocon et voir ce que mes battements sûrs d'ailes sobres engendreront...
J'ai choisi de raconter pourquoi et comment j'ai vaincu l'appétence à l'alcool?; mes combats, mes échecs, mes avis. Je ne donne ni leçon ni recette car, humains, nous sommes tous uniques et particuliers. Je témoigne juste à travers mon récit de la férocité de ce fléau que devient l'alcool quand on ne tient pas ses distances ou qu'on perd le contrôle. Renoncer. Y renoncer par choix. Tout choix est un renoncement, mais quand il s'agit de renoncer à l'enfer, n'est-ce pas pour choisir de vivre??
Combien de personnes sont-elles touchées par le burn-out aujourd'hui en France?? Le nombre de demandes de reconnaissance de maladies psychiques pour burn-out est passé de deux cents cas en 2012 à plus de onze cents cas en 2016.
À la fois passionnant et incroyablement poignant, ce livre dépeint avec précision le chemin, la chute dans laquelle cette pathologie nous entraîne inévitablement, d'autant plus lorsque l'on ne sait ni la repérer ni la prévenir. Il révèle la personnalité attachante de son auteure, son dynamisme, son jusqu'au-boutisme, son optimisme malgré la maladie. Cet ouvrage m'évoque la fin du Titanic, le célèbre film de James Cameron, qui décrit son naufrage après avoir heurté un iceberg. Propos recueillis auprès du Dr Olivier Dubois, Président du Directoire des Thermes de Saujon L'auteure espère que son témoignage aidera ceux et celles qui, comme elle, sont perfectionnistes et très impliqués(es) dans leur job au point de s'oublier. Le burn-out peut être évité grâce à la prévention.
Dans ce récit, Elisabeth, infirmière, raconte le lent cheminement qui l'a poussée à casser ses chaînes jusqu'à partir pour un road-trip en van au travers de la vieille Europe en pleine pandémie.Elle mêle à son récit ses impressions et sentiments sur notre monde malmené, avec en toile de fond, un message pour tous ceux qui veulent mais n'osent pas dépasser leurs limites afin de vivre enfin leurs rêves.Née le 29 octobre 1964, Elisabeth VEILLON devient infirmière en 1991. Après deux années en salariat durant lesquelles elle se marie et met au monde sa fille, elle s'installe à son compte dans la cité de l'Ariane, un des quartiers populaires de Nice. Elle publie ici son premier livre.
« C'est par écrit que j'ai repris contact avec Vincent. Nous nous étions perdus de vue depuis bien trop longtemps. Il m'a raconté sa vie, sa maladie, ses états d'âmes... L'écriture d'un livre était déjà très présente dans son esprit dès le début de notre correspondance. Ces échanges épistolaires, sincères, réfléchis, ont retissé des liens. Des réflexions riches et bénéfiques pour l'un comme pour l'autre. Un jour, j'ai reçu quelques feuillets à lire, puis 30, et enfin 50 ! Deux années pour démêler l'écheveau de sa vie. Au fil des mots et des maux, j'ai découvert la complexité de cette maladie et son évolution qui transforme et bouleverse l'être humain. » Marie-Claire Pinson
L'auteure, blessée et meurtrie par un manque d'amour maternel, tente un ultime rapprochement avec sa mère. Elle s'adresse à elle...
Bien qu'elles soient toutes deux à l'automne de leurs vies, elle veut y croire encore !
Un récit autobiographique et familial, où se mêlent passions, peines, chagrins, regrets et désespoirs ; amours et haines... Mais surtout l'espoir...
D'abord se posent toujours les questions.
Arriverai-je à dire ? À tout dire ? Avec quels mots ? En creusant quels silences ? En bravant quels interdits ?
Et les autres, arriveront-ils à comprendre ? Pourront-ils entendre ? Du moins arriverai-je à me faire entendre, à défaut de réussir à révéler la face cachée de l'âme ?
Et, surtout, la parole sera-t-elle bénéfique ? Pourra-t-elle, à défaut de guérir, aider à mieux tolérer ?
« La petite fille gambadait sur la Lande.
C'est une belle image mais elle n'est pas vraie. Elle ne gambadait pas sur la Lande, mais elle avançait peu à peu dans un sous-bois, sous des châtaigniers, sur une terre moussue, dans les herbes sauvages. Un plafond de feuilles vertes frémissantes dans un vent léger, le tout dans un air parfumé.
Elle avançait sautant d'une patte sur l'autre, comme quand elle était seule et qu'elle était contente avec un peu d'appréhension tout de même, parce que pas tout à fait innocente, elle savait que de sales bonhommes existaient, qu'ils pouvaient se cacher quelque part. Elle avait un peu peur c'était presque délicieux cette sensation de liberté.
Ses parents étaient en bas dans la petite ferme pour y chercher des oeufs, du lait, du beurre.
1941 c'est la guerre avec ses restrictions, on fait des kilomètres pour trouver de quoi améliorer l'ordinaire, et puis ça fait une promenade. »
Peu d'hommes ont connu un destin aussi extraordinaire qu'Édouard Corniglion-Molinier?: combattant audacieux pendant les deux conflits mondiaux du XXe siècle et engagé auprès du général de Gaulle dès le 18 juin 1940, il tient une place importante dans les origines françaises de l'aviation et du cinéma - ce qui explique l'amitié qui le lie à André Malraux, à la fois pour l'exploration du royaume de la légendaire reine de Saba et pour sa participation à la guerre d'Espagne de 1936-1939 aux côtés des républicains. Personnalité politique remarquée pour son engagement en faveur d'une Europe unie, il fut l'objet d'une grande admiration à Nice, sa ville natale. Ajoutons qu'il fut un être heureux, amical, spirituel, auprès duquel on ne s'ennuyait jamais et qui transmettait sa joie de vivre autour de lui. Son existence fut une vie d'aventures, une vie d'engagements, de courage et d'énergie.
Un hymne aux facettes nouvelles et passionnantes du génie humain.
1945, c'est la fin de la guerre. Après avoir été cachée dans des familles d'accueil à la campagne, je retourne enfin vivre avec les miens.J'ai quatre ans. Ma mère a perdu la capacité de m'aimer et mon père a « disparu » ; il a été remplacé par un homme que je dois appeler « Papa ». Ma famille est hantée par les fantômes des absents, rongée par les non-dits et les traumatismes des survivants. Moi, je suis déjà cette rebelle et cette insoumise qui dérange, cette révoltée, porteuse du souffle qui la sauve.Comme un tison sauvé du feu raconte « l'après » de l'enfance, la lutte pour la vie en refusant le statut de victime. À travers mon histoire, ce récit fait la description de stratégies pour vivre pleinement plutôt que se contenter de survivre.C'est en Israël, à Jérusalem, capitale plurimillénaire de ma Terre, au sein de mon Peuple et de ma Nation retrouvés, que ce récit de mes combats perdus ou gagnés a pu être conté.Comme un tison sauvé du feu est une ode à la vie.« L'illustration de couverture représente une sorte de retour à la vie. Une lumière d'optimisme dans un monde perturbé, l'arbre de la vie unit en son sein tous les aspects : Les Êtres retrouvés, les fruits du bonheur, les colombes de la plénitude, la puissance et la fragilité sensible. Une fenêtre ouverte sur des lendemains qui chantent. »Yoël Benharrouche - Artiste peintre
Roger et Simone ont choisi le difficile et passionnant métier d'agriculteurs. Un choix qui les a conduits à aller chercher loin de leurs bases, une « terre promise ». Avec d'autres jeunes des campagnes, ils étaient les migrants de leur époque. Une volonté farouche de gagner leur pari les a fait surmonter les obstacles d'une installation périlleuse, faute de moyens financiers conséquents.Ce livre relate leur parcours professionnel, leurs aventures de jeunes parents, leur intégration progressive dans leur nouveau milieu de vie et les engagements qui ont sollicité leur sens de l'action sociale collective.Toute leur vie, une boussole les a guidés ; un humanisme teinté des valeurs chrétiennes qui appellent à l'amour fraternel et universel.À l'âge du bilan, ils pensent qu'une conception faussée de la modernité, idolâtre de l'argent et des pouvoirs met en péril le petit vaisseau spatial qu'habite l'humanité.Ils croient qu'un avenir reste ouvert aux acteurs d'une future civilisation régénérée, écoutant les leçons de la nature, pour sauvegarder la maison commune.
Pourquoi ai-je, un jour, tant désiré mettre à la portée de tous, et surtout des plus fragiles, un art d'excellence, l'alphabet de la danse comme on l'appelle?? Cet univers de rêve devenu réalité car rendu accessible en méprisant la prouesse technique, l'esprit de compétition, l'élitisme, et en permettant même à des danseuses en fauteuil d'aller toucher l'étoile??
Ce livre est, sans aucun doute, la plus belle de mes réponses?! Forte de mon enfance, de mes passions, de mes épreuves certes, mais aussi de toutes les rencontres qui m'ont menée jusqu'à ce merveilleux dénouement, je lève un peu le voile sur ma bonne étoile, qui n'est autre que la danse classique.
Grâce mais aussi résilience sont les deux fondements de ce récit hors normes, axé sur le beau et le vrai [...] Bienvenue donc dans mon univers, celui des étoiles qui ne brillent que la nuit...
L'auteur, Jean Lacombe n'a pas seulement l'ambition d'écrire ses mémoires. En analysant les évènements qu'il a vécus, les personnalités qu'il a rencontrées, il veut se révolter contre le déclin de toutes les valeurs qui ont fait la France. Ses mémoires seront une leçon de choses pour les apprenties de la politique. Sa formation, puis son métier d'éducateur l'ont confronté très tôt aux inégalités sociales. Adolescent, au cours de ses voyages en Espagne franquiste, il a pris conscience des conséquences du fascisme. Au fil des années, il était devenu l'un des élus de la République le mieux informé des pays d'Amérique latine, notamment en Amérique centrale où il fut témoin de la guerre et de la paix. La vie politique n'étant pas une fin en soi, il mit sa compétence et son expérience au service des PME, confrontées au marché unique européen et à la libéralisation des échanges. Ses mémoires rappelleront aussi aux Sétois et aux autres riverains de la Méditerranée ce qu'ils doivent au travail du « député de la mer ». « La loi littorale » dont il fut le rapporteur, reste une oeuvre majeure dans la protection de l'environnement.Jean Lacombe, né à Sète, le 16 avril 1943, après des études secondaires au collège Paul Valéry, est admis en 1960 à l'École Normale d'Instituteurs à Montpellier, puis en 1964, au Centre National de pédagogie spéciale pour suivre une formation d'éducateur, métier qu'il exerce jusqu'en 1981, date de son élection à l'Assemblée Nationale. Élu local à Sète de 1971 à 1993, conseiller régional du Languedoc-Roussillon de 1979 à 1986. Battu aux élections de 1993, il exerce dans le privé en qualité de secrétaire général du « syndicat national du commerce extérieur des produits surgelés ».
Être victime d'inceste tout en étant sous l'emprise de son bourreau devient vite un véritable enfer.C'est ce que va vous révéler ce livre au fil des pages où des vies vont basculer : celle de l'auteure mais aussi celle de sa mère qui, après avoir vécu l'horreur de l'inceste dans sa jeunesse, va aussi vivre un véritable calvaire auprès d'un mari violent qui abusera de leur propre fille. Elle aura essayé, malgré tout, à plusieurs reprises, d'aller chercher de l'aide auprès de ses proches, en vain. Personne n'aura eu le courage de dénoncer ces horreurs, peut-être par peur de représailles, laissant ce monstre agir sans impunité et faire vivre cet enfer inimaginable à son épouse et sa fille qui se devaient de faire bonne figure devant les autres.Simone REMY vous livre ici un témoignage poignant qui ne vous laissera pas indifférents...Âgée de 64 ans, Simone REMY publie son témoignage, celui d'une femme qui, après de très courtes études, un travail de bûcheron à 16 ans puis un mariage et une vie d'agricultrice, continua de subir l'horreur de l'inceste même mariée. Aujourd'hui, elle dit survivre grâce à sa psychologue Audrey, ses trois petits-enfants et son très proche entourage.
Jeanne est une maman qui ferait tout pour sa fille.Dans ce journal, elle nous retrace le combat qu'elle mène depuis près de douze ans pour son enfant mais aussi pour vivre en paix tout simplement.Cette thérapie par l'écriture lui permit de s'exprimer sans être jugée sur la triste réalité d'une situation angoissante, bouleversante, menée dans la solitude qui lui causa une perte de confiance.Il fallait retrouver cette confiance en soi. Mais ce travail, aussi colossal qu'il puisse être, demande force et courage : affronter ses peurs, et oser en parler !Par cet ouvrage, elle souhaite transmettre un message fort : « il ne faut pas utiliser les sentiments ou même la haine pour détruire, mais il faut s'en servir pour grandir et se libérer de ce qui nous empêche de respirer ».Vous découvrirez donc un témoignage tant expressif que poignant et tragique, mêlant à la fois émotions et l'amour pur et infini qu'elle porte à son enfant.Jeanne-Camille de Jadin est née en 1977 dans une petite région campagnarde de Belgique. Maman d'une petite fille issue d'une séparation il y a une dizaine d'années, elle se marie en 2015 avec son âme soeur Hervé, avec lequel elle file le parfait amour. Passionnée du grand air mais également d'aviation, Jeanne aime pratiquer l'équitation.
Travaillant depuis de nombreuses années dans le domaine immobilier, je suis constamment confrontée à différents maux de la société : stress, anxiété, pression, jalousie, vie à 100 à l'heure, manque de temps pour décompresser... Confrontée à la maladie, j'ai dû m'adapter à un nouveau mode de vie en me recentrant sur moi-même grâce à la méditation, la relaxation, les pensées positives ou encore la nature. Cette nouvelle façon de vivre s'est répercutée positivement sur mon entourage, ma vision et ma perception de la vie ainsi que sur mes rencontres.Je me suis rendu compte qu'il suffisait de peu de choses pour rendre ma vie meilleure et pour me reconnecter à moi-même. Alors désormais, je pense à moi et prends soin de moi.Au travers de ce recueil de mots et d'expressions que j'ai découverts au cours de ce processus, je souhaite partager les techniques, pratiques, rites et rituels que j'ai mis en place afin de vivre pleinement en harmonie.Grâce à mon expérience, j'espère vous aider à prendre conscience de certaines choses et à évoluer dans le domaine spirituel afin d'avoir la vie heureuse et épanouie dont vous rêvez.
La vie n'a pas épargné Nsungu. Sa mère perd la vie en lui donnant naissance. Son père sombre alors dans l'alcool et l'accuse d'être le responsable de cette mort tragique. Il grandit avec ce poids sur les épaules jusqu'à la mort de son père. À l'âge de deux ans, c'est le décès brutal de sa marraine qui le bouleverse à nouveau. Dès lors, commencent les vicissitudes qui vont traumatiser son enfance et celle de sa soeur. Livré à lui-même, Nsungu doit se battre pour survivre.À l'âge de cinq ans, bien qu'il se passionne pour l'éducation, il ne peut pas se scolariser. Déterminé, il prend son courage à deux mains et va voir le directeur d'une école primaire de Mwenda Mukuma à Bukunga, un village situé au centre de Buluba - Nation, et lui propose de payer sa scolarité en troc.S'ensuit un cursus secondaire en littérature. Tantôt hébergé, tantôt enfant de la rue, Nsungu réussit à survivre et se lance dans un périple durant lequel il va traverser une quinzaine de pays africains. Il atteint le Maroc en 2014 alors âgé de seize ans. Il trouve une école, le Petit Collège, où il termine ses études lycéennes et accède en 2018 à l'université Mohammed V de Rabat où il étudie le droit public et obtient sa licence, option science politique et relations internationales.Un récit de vie rempli d'espoir.Kabwende Nsungu Gori est né en 1998 à Bukunga, un village situé au centre de Buluba et au sud-est de la République démocratique du Congo. Orphelin à cinq ans, il est le benjamin d'une fratrie de six enfants de la famille royale de Bene-Ilunga du Royaume de Kabongo. Titulaire d'une licence en droit public, c'est un jeune visionnaire, pragmatique et courageux dans la poursuite de ses rêves. Il est polyglotte : il parle français, anglais, espagnol, russe, swahili, lingala et kiluba.
L'anorexie est une maladie difficile à comprendre. À la manière d'un journal intime, aujourd'hui, je témoigne et vous invite à découvrir mon histoire... Celle d'une jeune femme âgée de 20 ans qui sombre dans l'anorexie. Je me mets à nu en vous racontant les moments difficiles de ma vie qui m'ont fait plonger dans cet enfer dont je suis prise au piège.Dans ce témoignage, vous allez retrouver différents sujets qui touchent notre quotidien que ce soit la confiance en soi, les relations ou le harcèlement. Vous découvrirez et comprendrez comment je me bats chaque jour pour sortir de ce piège infernal.Vous y trouverez également quelques petits exercices thérapeutiques qui peuvent aider les personnes atteintes d'anorexie. J'espère ainsi pouvoir leur apporter mon aide et réussir à lever le voile sur cette maladie.Née en 2001 à Cholet, Louise Blot vient d'être diplômée d'un BTS NDRC (négociation digitalisation de la relation client). Aujourd'hui, elle débute ses écrits avec ce témoignage sur l'anorexie.
Dans cet ouvrage, l'auteur dénonce les agissements des autorités tunisiennes. Tout commence en 2012, en Turquie où il fait la rencontre d'un groupe d'étudiants tunisiens qui lui demandent de l'aide pour mener à bien leur projet : ouvrir une maison estudiantine. Après quatre années de travail, les autorités tunisiennes stoppent tout et les arrêtent.Le projet est laissé à l'abandon. Accusé de s'être immiscé dans le pays, Christian Bourguignon doit détruire les deux DVD-photos qu'il avait réalisés sur la beauté de la Tunisie.À travers son parcours et cette aventure, il retrace l'histoire de la Tunisie, en abordant différents thèmes sociétaux tels que la culture, la liberté d'expression, les droits de l'homme, la politique, les révolutions, mais aussi les relations franco-tunisiennes.
Père de famille, banquier, sportif, Rémy vit une vie socialement réussie. C'est sans compter sur ses démons intérieurs : à trente-six ans, il contracte une maladie auto-immune qui l'oblige à revoir complètement les fondements de son existence.Ce récit est le témoignage d'une douloureuse et libératrice transformation. En s'appuyant sur les dernières connaissances scientifiques, Rémy nous fait voyager dans la pratique du jeûne et de la pleine conscience et se pose des questions essentielles : Qu'est-ce que le bonheur ? Qui suis-je ? Quel sens donner à sa vie ? Qu'est-ce que l'amour ?Rémy Segretain guide des séjours jeûne et pleine conscience. Il instruit également la pleine conscience, à des adultes et des enfants. Marié et père de trois enfants, il vit à Budapest.
Il est ambitieux de relater sa vie, son enfance afin de répondre aux quêtes d'identité, d'amour, d'équilibre et de confiance.Certes, nous savons qu'aucun parcours de vie n'est linéaire ou exemplaire. Le nôtre s'est inscrit dans une constance lancinante de la douleur et de choix de vie construits sur le seul exemple masculin, toxique...Cet environnement malsain a profondément meurtri nos corps et nos esprits. Toutefois, comme de véritables guerrières, nous avons choisi d'écrire nos histoires et de partager nos vécus à travers cet ouvrage. Malgré des marques indélébiles, notre ambition commune a toujours été de vaincre la médiocrité.Nous sommes deux soeurs, avec deux histoires à la fois distinctes par nos âges mais étroitement liées par notre vécu. Nous souhaitons partager avec chacun de vous les méandres de notre vie, nos tourments, nos drames mais aussi quelques fragments heureux qui ont induit notre résilience conjointe et nous ont donné la force et le courage d'écrire ce livre.
Plus de cent ans après la loi de 1905 de séparation de l'Église et de l'État, on pourrait croire qu'en France, être athée est facile et bien accepté. Les attentats terroristes de 2015 et l'attitude ambiguë de certains intellectuels indulgents vis-à-vis de ces terroristes ont montré que la pression religieuse restait très prégnante sur l'ensemble de la société. Bertrand Cadiot décrit, en racontant, dans cette «?confession d'un catholique zombie?», son expérience d'enfant élevé dans un catholicisme exclusif et son chemin de Sisyphe, pierre après pierre, colline après colline, pour s'en extraire à l'adolescence, l'effort qu'un tel chemin représente, un chemin qu'il est presqu'impossible de parcourir seul. Cinquante ans plus tard, dans ce qui est son premier ouvrage, il ouvre à nouveau les textes sacrés, la Bible, l'Évangile et le Coran et en entame une lecture profane, à la recherche de quelques vérités cachées et que les connaissances actuelles, tant historiques que géographiques permettent de mieux appréhender. Le récit nouveau de l'Histoire de l'univers, du vivant et de l'humanité que la science écrit depuis près de deux cents ans vaut tous les mythes religieux et propose une nouvelle morale, une morale laïque qui intègre et dépasse les morales traditionnelles.
Roger promène un regard aigu et singulier sur son enfance chaotique. Dans une France meurtrie d'après-guerre, il nous partage avec émotion, tendresse et humour ses mésaventures, nous raconte la rue, l'absence de ses parents, sa scolarité désordonnée, allant de pensions en orphelinats et ses rencontres, bonnes et moins bonnes.
Ancien athlète junior de haut niveau, Roger Duvauchelle a toujours organisé sa vie professionnelle autour du sport. Kinésithérapeute de formation, il dirige une chaîne régionale de clubs de fitness qu'il a créée et a enseigné l'anatomie et la biomécanique au Creps de Reims dans le cadre d'une formation pour éducateurs sportifs. Arbitre national de golf, il vit aujourd'hui retiré en Bretagne. Il signe ici son premier ouvrage.