Les journalistes le savent : si ça saigne, l'info se vend. Et l'explosion d'une bombe au collège Albert Macready est du pain bénit dans le monde des news en continu. Holly Gibney, de l'agence de détectives Finders Keepers, travaille sur sa dernière enquête lorsqu'elle apprend l'effroyable nouvelle en allumant la télévision. Elle ne sait pas pourquoi, mais le journaliste qui couvre les événements attire son attention...
Quatre nouvelles magistrales, dont cette suite inédite au thriller L'Outsider, qui illustrent une fois de plus l'étendue du talent de Stephen King.L'auteur reste un grand conteur. Il a l'art de développer chaque personnage, chaque vie humaine, même la plus ordinaire, jusqu'à en faire un monde. Cécile Mury, Télérama.On retrouve sa plume inégalable. Hubert Artus, Le Parisien week-end.Dans ce récit palpitant, Stephen King réussit à nouveau la prouesse de faire passer du frisson au rire, de l'attendrissement à la colère. Jérémie Laurent-Kaysen, France Info.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean Esch.
Situé dans les montagnes Rocheuses, l'Overlook Palace passe pour être l'un des plus beaux lieux du monde. Confort, luxe, volupté...
L'hiver, l'hôtel est fermé.
Coupé du monde par le froid et la neige. Alors, seul l'habite un gardien.
Celui qui a été engagé cet hiver-là s'appelle Jack Torrance: c'est un alcoolique, un écrivain raté, qui tente d'échapper au désespoir. Avec lui vivent sa femme, Wendy, et leur enfant, Danny.
Danny qui possède le don de voir, de ressusciter les choses et les êtres que l'on croit disparus.
Ce qu'il sent, lui, dans les cent dix chambres vides de l'Overlook Palace, c'est la présence du démon. Cauchemar ou réalité, le corps de cette femme assassinée? ces bruits de fête qui dérivent dans les couloirs ? cette vie si étrange qui anime l'hôtel?
Un récit envoûtant immortalisé à l'écran par Stanley Kubrick.
Enfants, dans leur petite ville de Derry, Ben, Eddie, Richie et la petite bande du « Club des ratés », comme ils se désignaient, ont été confrontés à l'horreur absolue : ça, cette chose épouvantable, tapie dans les égouts et capable de déchiqueter vif un garçonnet de six ans...
Vingt-sept ans plus tard, l'appel de l'un d'entre eux les réunit sur les lieux de leur enfance. Car l'horreur, de nouveau, se déchaîne, comme si elle devait de façon cyclique et régulière frapper la petite cité.
Entre le passé et le présent, l'enfance et l'âge adulte, l'oubli des terreurs et leur insoutenable retour, l'auteur de Sac d'os nous convie à un fascinant voyage vers le Mal, avec une de ses oeuvres les plus amples et les plus fortes.
En pleine nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent dans la maison de Luke Ellis, un surdoué de douze ans, tuent ses parents et le kidnappent. Quand le jeune garçon se réveille, à l'Institut, la chambre où il se trouve est semblable à la sienne - si ce n'est l'absence de fenêtre. Dans le couloir, d'autres portes cachent d'autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques. Que font-ils là ? Qu'attend-on d'eux ? Et pourquoi ne cherchent-ils pas à s'enfuir ?
L'Institut nous entraîne dans un monde totalitaire... qui ressemble étrangement au nôtre.Le lecteur se retrouve pris au piège de cet établissement diabolique, avec la désagréable sensation que, pour une fois, l'affrontement entre le bien et mal pourrait ne pas avoir la bonne issue. Léonard Desbrières, Lire.Stephen King trouve désormais dans le monde réel ce qu'il allait chercher chez les monstres. De là surgit la véritable terreur. Clémentine Goldszal, Elle.Un magnifique thriller humaniste. Michel Schneider, Le Point.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean Esch.
De retour, après vingt-sept années, dans leur petite ville de Derry, les membres du « Club des ratés » (ainsi se nommaient-ils eux-mêmes sur les bancs de l'école) doivent affronter leurs plus terrifiants souvenirs, brutalement ressurgis.
ça : nul ne sait nommer autrement la chose inconnue qui semble devoir se réveiller cycliquement dans les entrailles de la ville, pour semer la mort et l'épouvante.
Roman de l'enfance, tableau saisissant de la vie américaine, cette oeuvre ambitieuse est une parabole du Mal enfoui, refoulé, et de la violence de ses réapparitions. C'est enfin, et surtout, une des plus grandes oeuvres de Stephen King, un festival de terreur.
« Salem est l'un de mes meilleurs romans, l'un des plus effrayants aussi. Alors, éteignez la télévision, et parlons vampires dans la pénombre, je pense pouvoir vous faire croire en leur existence. » Stephen King, juin 2005.
Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem et s'installe à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-cinq ans auparavant. Mais, très vite, il doit se rendre à l'évidence : il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît, et l'horreur s'infiltre, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem.
En bonus : Deux nouvelles inédites sur le village de Salem. De nombreuses scènes coupées que Stephen King souhaitait faire découvrir à son public.
Stephen King Misery Misery, c'est le nom de l'héroïne populaire qui a rapporté des millions de dollars au romancier Paul Sheldon. Après quoi il en a eu assez : il a fait mourir Misery pour écrire enfin le « vrai » roman dont il rêvait.
Et puis il a suffi de quelques verres de trop et d'une route enneigée, dans un coin perdu... Lorsqu'il reprend conscience, il est allongé sur un lit, les jambes broyées dans l'accident. Sauvé par une femme, Annie. Une admiratrice fervente.
Qui ne lui pardonne pas d'avoir tué Misery.
Et le supplice va commencer.
Sans monstres ni fantômes, un Stephen King au sommet de sa puissance nous enferme ici dans le plus terrifiant huis clos qu'on puisse imaginer.
Vous aimez Scream ? Vous aimez It ? Vous êtes au bon endroit.
Kettle Springs, patelin du Missouri perdu au milieu des champs de maïs, est en proie à un véritable conflit de générations. D'un côté, des adultes qui ne supportent pas de voir bafouer leur ville et ses traditions. De l'autre, des teenagers qui ne pensent qu'à dénigrer ce trou paumé. C'est alors que Frendo, un mystérieux clown, décide de se joindre à l'affrontement en séparant leurs têtes de leurs troncs. Ce qui est très mal. Mais très agréable.
L'écriture ciselée d'Adam Cesare fait mouche et propulse cette histoire sur les rails d'un teen movie particulièrement jouissif. Très vite, le lecteur n'a plus qu'une envie : mettre la main dans un seau de pop corn et observer à quelle vitesse cette histoire va dégénérer.
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'état de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Ce garçon beau comme un dieu et qui lui sauve la vie plusieurs fois a selon les Indiens le sang froid... Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : quand Isabella admet que Edward est un vampire, il est déjà trop tard.
Jonathan Harker, jeune et brillant clerc de notaire, se rend pour affaires dans les Carpates, où réside son client, le comte Dracula. Celui-ci se révèle un hôte chaleureux et prévenant, mais la curiosité incite Jonathan à pousser son exploration de l'immense château toujours un peu plus loin. À travers les lettres qu'il lui envoie presque chaque jour, Mina, sa jeune épouse restée à Londres, découvre qu'une effroyable réalité se tapit dans l'ombre de la légende...
Des loups-garous dans les tranchées... Vous en rêviez ? Tarn Richardson l'a fait !
Arras, 1914. Sur la ligne de front, le lieutenant Henry Frost donne l'assaut. À sa grande surprise, sa troupe ne rencontre aucune résistance. Dans la tranchée adverse, les soldats allemands ont été tués, leurs corps atrocement déchiquetés. Au même moment, le père Andreas est retrouvé sauvagement assassiné dans la cathédrale. Le Vatican décide d'envoyer l'inquisiteur Poldek Tacit. Sa mission : protéger l'Église de ceux qui cherchent à lui nuire. À n'importe quel prix.
Avec ce premier roman, Tarn Richardson nous offre une intrigue palpitante, à la construction éblouissante. Mieux qu'un hommage réjouissant aux séries Z, il donne à ses personnages une vraie profondeur humaine... ou inhumaine selon les cas.
Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu'elle le maîtrise encore avec diffi culté... Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l'aimer, l'invite au bal de printemps de l'école. Une marque d'attention qu'elle n'aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d'un renouveau !
Louis Creed, un jeune médecin de Chicago, vient s'installer avec sa famille à Ludlow, petite bourgade du Maine. Leur voisin, le vieux Jud Crandall, les emmène visiter le pittoresque « simetierre » où des générations d'enfants ont enterré leurs animaux familiers. Mais, au-delà de ce « simetierre », tout au fond de la forêt, se trouvent les terres sacrées des Indiens, lieu interdit qui séduit pourtant par ses monstrueuses promesses.
Un drame atroce va bientôt déchirer l'existence des Creed, et l'on se trouve happé dans un suspense cauchemardesque...
Simetierre, classé au premier rang des best-sellers mondiaux, avant ça ou Misery, a été adapté au cinéma par Stephen King lui-même et réalisé par Mary Lambert.
Le corps martyrisé d'un garçon de onze ans est retrouvé dans le parc de Flint City. Témoins et empreintes digitales désignent aussitôt le coupable : Terry Maitland, l'un des habitants les plus respectés de la ville, entraîneur de l'équipe locale de baseball, professeur d'anglais, marié et père de deux fillettes. Et les résultats des analyses ADN ne laissent aucune place au doute. Pourtant, malgré l'évidence, Terry Maitland affirme qu'il est innocent. Et si c'était vrai ?À travers cette enquête impossible, Stephen King explore le mal contemporain et universel. Cécile Mury, Télérama.Un suspense insoutenable. Ça se dévore. Renaud Baronian, Le Parisien.Ce nouveau roman est une touche supplémentaire au portrait de l'Amérique que King dessine depuis presque soixante livres. Franck Thilliez, Le Monde.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean Esch.
Imaginez que vous puissiez remonter le temps, changer le cours de l'Histoire. Le 22 novembre 1963, le président Kennedy était assassiné à Dallas. À moins que... Jake Epping, professeur d'anglais à Lisbon Falls, n'a pu refuser la requête d'un ami mourant : empêcher l'assassinat de Kennedy. Une fissure dans le temps va l'entraîner dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l'époque d'Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Everly Brothers, d'un dégénéré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d'une jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake. Avec une extraordinaire énergie créatrice, Stephen King revisite au travers d'un suspense vertigineux l'Amérique du baby-boom, des « happy days » et du rock'n'roll.L'oeuvre d'un génie ! Time Magazine.Un véritable magicien du roman... Une des plus formidables histoires de voyage dans le temps depuis H.G. Wells. New York Times.Colossal, généreux, passionnant... La quintessence du talent de King. Miami Herald.Un fabuleux cas d'exorcisme littéraire. Emily Barnett, Les Inrockuptibles. King passe de l'enquête - remarquablement documentée - sur l'attentat de Dallas à un poignant roman d'amour, d'une jubilatoire célébration de glorieuses sixties aux sombres vertiges d'une hallucinante uchronie. Scotchant. Philippe Blanchet, Le Figaro magazine.
Rejetée par celui qu'elle aime passionnément, Bella ne s'en relève pas. Fascinée par un vampire, comment pourra-t-elle retrouver goût à la pâle existence humaine ? Bella n'a de goût pour rien, sinon le danger : alors, elle entend la voix d'Edward, et éprouve l'illusion de sa présence. Comme s'il ne l'avait pas abandonnée. Bella échappera-t-elle à cette obsession amoureuse qui la hante ?
Paul Edgecombe, ancien gardien-chef d'un pénitencier dans les années 1930, entreprend d'écrire ses mémoires.
Il revient sur l'affaire John Caffey - ce grand Noir au regard absent, condamné à mort pour le viol et le meurtre de deux fillettes - qui défraya la chronique en 1932.
La Ligne verte décrit un univers étouffant et brutal, où la défiance est la règle. Personne ne sort indemne de ce bâtiment coupé du monde, où cohabitent une étrange souris apprivoisée par un Cajun pyromane, le sadique Percy Wetmore, et Caffey, prisonnier sans problème. Assez rapidement convaincu de l'innocence de cet homme doté de pouvoirs surnaturels, Paul fera tout pour le sauver de la chaise électrique.
Aux frontières du roman noir et du fantastique, ce récit est aussi une brillante réflexion sur la peine de mort. Un livre de Stephen King très différent de ses habituelles incursions dans l'horreur, terriblement efficace et dérangeant.
À la Scholomance, El, Orion et leurs camarades sont enfin en terminale, année sur laquelle plane le spectre de la remise des diplômes, rite de passage mortel... au sens propre.El est déterminée:ses amis et elle survivront. Pourtant, ce but paraît de plus en plus difficile à atteindre à mesure que la violence de l'école s'intensifie. Jusqu'à ce qu'El se rende compte que, parfois, pour gagner la partie, il faut changer les règles du jeu.
"N'aie pas peur, murmurai-je.
Nous sommes faits l'un pour l'autre." L'instant était si parfait, si juste, qu'il était impossible d'en douter. Ses bras se refermèrent autour de moi, me pressant contre lui... "A jamais", renchérit-il. Bella a fait son choix, et plus rien ne semble pouvoir l'empêcher de vivre ses rêves. Mais si ce choix s'avérait bien plus dangereux qu'il n'y paraît ? Et si Bella risquait d'y perdre la vie ?
« Je croisai son regard pénétrant, surpris, compassionnel et, tout à coup, l'absence de sommeil se rappela cruellement à moi. J'aurais tant voulu dormir, non pas pour m'abandonner à l'amnésie ou échapper à l'ennui, mais pour rêver. Si je parvenais à l'état d'inconscience, j'accéderais peut-être pendant quelques heures à un monde onirique où elle et moi pourrions être ensemble. Elle rêvait de moi. J'aspirais à rêver d'elle. Elle me dévisageait avec une intensité si inquisitrice que je me détournai. Je n'étais pas en mesure de rêver d'elle. Elle n'aurait pas dû rêver de moi. »
"Deux futurs, deux âmes soeurs... C'était trop pour une seule personne. Je compris que ce n'était pas Edward et Jacob que j'avais essayé de réconcilier, c'étaient les deux parts de moi-même, la Bella d'Edward et la Bella de Jacob. Malheureusement, elles ne pouvaient coexister et j'avais eu tort de tenter de les y contraindre. A présent, je ne doute pas de ce que je désire, ni de ce dont j'ai besoin... ni de ce que je vais faire, là, maintenant."
En expédition vers le pôle Nord, Robert Walton adresse à sa soeur des lettres où il évoque l'étrange spectacle dont il vient d'être le témoin depuis son bateau : la découverte, sur un iceberg, d'un homme en perdition dans son traîneau. Invité à monter à bord, Victor Frankenstein raconte qu'il n'est venu s'aventurer ici que pour rattraper quelqu'un - qui n'est autre que la créature monstrueuse qu'il créa naguère, et qui s'est montrée redoutablement criminelle.
Paru en 1818, Frankenstein est né deux ans plus tôt sur les bords du Léman, un jour où Lord Byron proposait à quelques amis, dont le poète Shelley et son épouse Mary, que chacun écrivît une histoire de spectre. Ce roman fantastique annonce la science-fiction et, depuis près de deux siècles, n'a cessé de susciter un sublime effroi - de terrifier, donc, mais surtout de séduire.
Edition commentée d'un classique de la littérature de genre, par J. P. Naugrette, qui a réalisé pour la Pochothèque l'édition du volume Poe.
Un chef d'oeuvre et classique de la littérature fantastique !
A la mort du riche oncle Cassave, les membres de sa famille doivent emménager dans son immense demeure, Malpertuis, et y vivre tous ensemble. C'est la condition s'ils veulent toucher l'héritage. Des phénomènes étranges, inquiétants et fantastiques se succèdent dans cette " prison mouvante de ténèbres " jusqu'à ce que l'horreur de la malédiction de Malpertuis atteigne son paroxysme le soir de Noël.
« Que vous lisiez les oeuvres complètes de Stephen King, que vous égreniez la filmographie de Guillermo del Toro, vous le faites à l'ombre d'Howard Phillips Lovecraft ».
LE MONDE.
Et si c'était le livre le plus puissant, le plus troublant de Howard Phillips Lovecraft ? Et si ce trouble et cette puissance tenaient paradoxalement à ce que toute l'armature fantastique du livre - et elle l'est, fantastique, avec ces êtres mi-poissons sortis de la mer -, semblera toujours moins déterminante que se confronter à une petite ville ordinaire ?
François Bon.
Né aux États-Unis en 1890 et mort en 1937, Howard Phillips Lovecraft est considéré aujourd'hui comme l'un des écrivains d'horreur et de science-fiction les plus importants du xxe siècle.