This collector's edition gathers some of his most memorable works in a landmark collection. From his image of Marilyn in that white dress to his portrait of a dressed Chihuahua in proportion with a pair of woman's legs and that of a Great Dane -in each instance it was Erwitt's faultless sense of timing and his eye for the remarkable?whether a glance, a movement, or an interaction- that made the work unique. Each of these icons is a representation of how we live, a lasting symbol of the age and its vitality, that will represent our world to future generations.
Annie Leibovitz: Portraits 2005-2016 is the photographer's follow-up to her two landmark compilations, Annie Leibovitz: Photographs, 1970-1990 and A Photographer's Life, 1990- 2005. For this new collection, Leibovitz has selected the best and most representative portraits from her recent work. The pictures document contemporary culture with an artist's eye, wit, and an uncanny ability to personalize even the most recognizable and distinguished figures.
Annie Leibovitz is one of the most influential photographers of our time. Her career spans nearly five decades, starting in 1970, when she began creating what became her legendary work for Rolling Stone. Since the 1980s, she has expanded her repertoire at Vanity Fair and Vogue and in independent projects. She is the recipient of many honours, including being named a Living Legend by the Library of Congress.
There are over 150 subjects in Portraits 2005- 2016, including Venus and Serena Williams, Chimamanda Ngozi Adichie, LeBron James, Sheryl Sandberg, Anna Wintour, Leonard Cohen, Jasper Johns, Caitlyn Jenner, Gloria Steinem, Joan Didion, Barack Obama, and Queen Elizabeth II.
- Key Selling Points - Leibovitz contributes an essay explaining how her work has evolved since 2005, which includes anecdotes about specific shoots - The photographs are reproduced at large scale and document significant cultural figures - A Photographer's Life, 1990-2005 was a New York Times bestseller
Vous découvrirez: -De nombreuses images inédites, des clichés pris pendant le séjour d'Ai à New York aux photos de production de ses immenses installations, en passant par des prises de vue de son atelier.
-Des essais d'Uli Sigg, l'ami de longue date d'Ai et ancien ambassadeur de Suisse en Chine, de Roger M. Buergel, commissaire de l'exposition Documenta de 2007 qui accueillit l'oeuvre Fairytale, des experts en histoire culturelle et politique de la Chine, Carlos Rojas, William A. Callahan et James J. Lally.
-De nombreuses citations tirées d'interviews d'Ai Weiwei, réalisées à l'occasion de cet ouvrage.
-Des têtes de chapitres en papier découpé et conçues par l'artiste.
-L'ouvrage est enveloppé dans un foulard de soie (110 x 100 cm de soie habotai, impression numérique), reproduisant un détail de Straight, l'oeuvre d'Ai créée en 2008 qui fait référence au tremblement de terre du Sichuan.
Édition limitée à 1.000 exemplaires (nos 101 à 1.100). Également disponible en édition de luxe limitée (nos 1 à 100).
Quand David Hockney identifie l'iPhone comme un instrument autant qu'un matériau, de nouveaux horizons artistiques s'ouvrent à lui. ll réalise ses premières oeuvres numériques au printemps 2009, avec pour sujet son paysage matinal, brossé en grandes lignes et couleurs éclatantes sur ce support où les teintes les plus subtiles apparaissent comme de pures expressions de la lumière. En 2010, Hockney commence à travailler sur iPad et son répertoire artistique s'élargit avec l'écran, qui autorise des jeux de couleur, de lumière et de traits plus complexes encore. Chaque image du livre saisit un moment fugace depuis une fenêtre de la maison de Hockney, dans le Yorkshire: aube flamboyante, ciel matinal lila, paysages nocturnes paisibles ou arrivée soudaine du printemps. On se laisse captiver par des détails, des gouttes de pluie sur la vitre, des lumières lointaines dans la nuit, un reflet sur un vase ou la variété de la végétation qui borde le carreau. Au gré de 120 dessins réalisés entre 2009 et 2012, sélectionnés et organisés par l'artiste en personne, faites l'expérience du temps qui passe, par le regard de David Hockney! Ce livre d'artiste, d'abord paru en édition signée exclusive, resort aujourd'hui dans une version illimitée, dont le toujours généreux format XL présente les oeuvres de Hockney dans une résolution parfaite. C'est l'occasion de suivre le conseil du Times à propos de ce livre: «Si vous aimeriez que David Hockney vous offre un bouquet, saisissez cette chance!»
Proche de l'esthétique de l'art brut et du surréalisme, mais artiste singulier, Louis Pons fut d'abord un dessinateur exceptionnel. Son trait d'encre à la plume, rapide, vivant, s'entrelace et se superpose jusqu'à faire surgir des êtres énigmatiques, dont la nature - humaine, animale ou végétale - demeure parfois ambiguë.
A partir de 1959, en réaction à de graves problèmes de vue, Louis Pons transposa son univers dans des assemblages. De ces bouts de rien, de ces objets de rebut qui, dépossédés de leur fonction, ne sont plus que la carcasse d'eux-mêmes, il fabriqua sans relâche des objets qui exercent un pouvoir quasi-magique d'attraction-répulsion chez le spectateur. Louis Pons, homme des mots, du tracé et des traces, nous entraîne dans un monde fantastique, parfois cauchemardesque quand il n'est pas mis à distance par l'humour qui en dissipe les monstruosités. Le catalogue de l'exposition présente près d'une centaine oeuvres : les dessins aussi bien que les assemblages, tandis que la genèse de l'oeuvre sera illustrée par des images de photographes remarquables.
A comprehensive, lavishly illustrated monograph on Ettore Sottsass (1917-2007), the iconic Italian architect and designer.
Sottsass, a defining figure in the Postmodernist movement, is best known for founding the Memphis Group and designing the Olivetti 'Valentine' typewriter.
This in-depth look at Sottsass dedicates each chapter to a period in his career, exploring the major disciplines he pursued at that time, from furniture and graphic design to photography, ceramics and architecture.
A uniquely designed package allows for the book to be read either cover-to-cover as a chronological history, or by discipline, picking up the relative thread under each period, with special coloured tabs to distinguish each sub-chapter.
Richly illustrated with never-before-published biographical photographs from the Sottsass archives, the book includes a section showcasing the best of his countless drawings and sketches.
Le 11 avril 1769, l'Endeavour de Cook jette l'ancre à Tahiti. Les fêtes se succèdent en l'honneur des invités étrangers. Un jour, les marins assistent à l'étrange cérémonie du "tatau" qui consiste à décorer le corps de marques bleutées en injectant de l'encre sous la peau. Envoûtés, les marins succombent à leur tour à la coutume locale. Ainsi naît le "tattow", du polynésien "tatau" (tatahou), issu de "ta", qui signifie "heurter". Au retour, ils décrivent avec enthousiasme et nostalgie cette vie paradisiaque. L'attrait pour le tatouage est né, définitivement accolé à l'exotisme et à l'érotisme. Les exhibitions de marins tatoués obtiennent un immense succès. Dans les villes portuaires s'ouvrent les premiers studios. De l'Angleterre à l'Allemagne, le phénomène se propage et touche aussi bien la classe ouvrière que les marins, c'est la "rage du tatouage". Le plus souvent, le tatouage a lieu à bord, en dehors des heures de service, et surtout quand les matelots sont punis. Le matelot se sert aussi de sa peau comme d'un agenda où il inscrit les principaux épisodes de sa vie. Aux côtés des classiques trois mâts, on rencontre des coeurs enflammés percés d'une flèche, des sirènes, souvent une ancre ou une rose des vents. Un cochon et un coq sur le dessus des pieds protègent le marin de la noyade : ces animaux de ferme ne sachant pas nager, ils le porteraient à terre rapidement. Un dragon indique une escale en Chine... En France, nombre de tatoueurs apprennent leur métier derrière les barreaux de la prison de Toulon ou dans les cages de l'Hercule, un pénitencier flottant amarré à Brest. Jusqu'aux années 80, ils continuent d'orner l'épidémie boucané des marins de tous les pavillons à Lorient, Brest le Havre, Saint Malo, Saint-Nazaire ou Toulon.
German photographer Ilse Bing (1899-1998) has secured her place as one of the major photographers of the 20th century. Her pioneering images during the inter-war era reveal a modern vision influenced by the impact of both the Bauhaus and Surrealism. Alongside her personal work she produced images in the fields of photojournalism, architectural photography, advertising and fashion, and her work was published in the major magazines of the period and exhibited in France and Germany. She moved from Frankfurt to Paris in 1931 but when the city was taken by the Germans during World War II she and her husband, who were both Jews, were expelled and interned in the South of France. They emigrated to New York in 1941 and she lived there until her death in 1998. Since the 1970s when she first exhibited at MOMA, New York, there has been a burgeoning interest in her work and, more generally, in European photography of the 1920s and 1930s. As one of the key creative forces of the period, Bing becam.
Spettri di Famiglia est une quête fièvreuse. Celle d'un photographe de renom, la quarantaine passée, prenant connaissance de ses origines napolitaines. Il s'ensuivra de multiples voyages qui, à défaut de vérité, nourriront un récit auto- fictionnel empreint de poésie noire. « Ce sont des images charbonneuses, enfouies depuis des lustres, puis lentement remontées des galeries profondes de la mémoire, ces endroits dédiés au pire et où l'on n'aime guère trainer. Ces images sont l'obscur récit d'un abandon, la fin brutale d'une enfance française , tranchée au hachoir. Un soir, à la fin des vacances, un père dit à Charlotte, sa fille d'une dizaine d'années, «on ne peut pas te ramener avec nous, il va falloir que tu restes ici». Et ici c'est l'Italie, c'est Naples, l'étran- ger, le bout du monde et pour une enfant, sans ses parents, la fin de tout. Et ce tout s'est joué sans explication, hors de la raison, du bien comme du mal. Simplement , la foudre du malheur s'est abattue, un soir d'été, à la fin des vacances. » Extrait du texte de Jean-Paul Dubois, prix Goncourt 2019 Ulrich Lebeuf, né en 1972, est un photographe français. En mai 2016, il reçoit le prix Jean-Dieuzaide, décerné par l'Académie des arts de Languedoc, qui récompense le travail du photographe, non seulement pour son rôle de témoin lors de grands événements via ses clichés pour la presse française et internationale, mais aussi pour son engagement dans la promotion de la photographie, en tant que directeur artistique. Membre de l'agence MYOP depuis janvier 2007, ses travaux sont publiés dans Le Monde, Libération, The New York Times ou des magazines comme Grazia, VSD, Géo, M Le Monde... En parallèle à son travail pour la presse, il poursuit des travaux photographiques plus personnels, dans lesquels il emploie des techniques proches de l'art pictural.
Class, race and labor in a Pittsburgh plant: a rarely seen series by Gordon Parks.
By 1944, Gordon Parks had established himself as a photographer who freely navigated the fields of press and commercial photography, with an unparalleled humanist perspective. That year, Roy Stryker--the former Farm Security Administration official who was now heading the public relations department for the Standard Oil Company (New Jersey)--commissioned Parks to travel to Pittsburgh, Pennsylvania, to document the Penola, Inc. Grease Plant.
Employing his signature style, Parks spent two years chronicling the plant's industry--critical to Pittsburgh's history and character--by photographing its workers. The resulting photographs, dramatically staged and lit and striking in their composition, showed the range of activities engaged in by Black and white workers, divided as they were by roles, race and class. The images were used as marketing materials and made available to local and national newspapers, as well as corporate magazines and newsletters. However, they served as much more than documentation of industry, enduring as an exploration of labor and its social and economic ramifications in World War II America by one of the most influential artists of the 20th century.
Featuring more than 100 photographs, many previously unpublished, this is the first book to focus exclusively on Parks' photographs for the Standard Oil Company, illuminating an important chapter in his career prior to his landmark career as a staff photographer for Life.
Gordon Parks was born into poverty and segregation in Fort Scott, Kansas, in 1912. He worked as a brothel pianist and railcar porter, among other jobs, before buying a camera at a pawnshop, training himself and becoming a photographer. In addition to his tenures photographing for the FSA (1941-45) and Life magazine (1948-72), Parks evolved into a modern-day Renaissance man, finding success as a film director, writer and composer. He died in 2006.
Aux États-Unis en 1935, au milieu des ravages de la Grande Dépression, la United States Farm Security Administration (FSA) est fondée pour répondre à la pauvreté qui touche les campagnes du pays. Elle vise à améliorer les conditions de vie des métayers, des petits exploitants et des fermiers pauvres propriétaires de terrain par des programmes de relocalisation et de collectivisation, ainsi que par l'instauration de nouvelles méthodes de culture agricole. En parallèle, dans le cadre de son projet de documentation, la FSA engage des photographes et des écrivains pour rendre compte de la pauvreté du milieu rural et ainsi «révéler l'Amérique aux Américains».Cet ouvrage révèle l'immense portée du travail réalisé par la FSA entre 1935 et 1943, honorant sa détermination et son engagement à évoquer tous les sujets, à parcourir tous les États et à réunir toutes les esthétiques. Les photographes étaient répartis dans quatre immenses régions mais pouvaient agir de façon autonome, afin de livrer leurs impressions personnelles dans le même temps qu'ils participaient à cette mémorable enquête sur une nation. Au fil de leurs images en couleurs ou en noir et blanc, on croise des ouvriers du coton, des enfants au détour d'une rue et des ouvriers relocalisés en chemin. On voit ces sujets, subissant les éléments naturels, les moments qui rythment la vie humaine et les aléas de l'économie mondiale. On croise une icône immortalisée par Dorothea Lange, cette Mère migrante aux traits burinés, à l'expression soucieuse, entourée de ses deux enfants.Ces images ont en commun leur engagement à montrer la singularité et la dignité de chaque sujet, autant qu'à témoigner d'une période particulière de l'histoire de l'Amérique et à saisir ces étapes universelles qui voient tout être humain grandir, jouer, manger, vieillir, souffrir et mourir. Devant l'objectif de photographes aussi lucides que sensibles, parmi lesquels Dorothea Lange, Jack Delano, Russell Lee, Marion Post Wolcott, Walker Evans et Ben Shahn, les sujets de ces photos se révèlent soumis aux épreuves de leur destin et de l'Histoire, pris dans le tourbillon de la vie et pourtant faisant face au spectateur avec ce qui leur appartient totalement: une présence singulière, unique, inoubliable.À propos de la collectionBibliotheca Universalis: la compilation culturelle indispensable qui rend hommage à l'éclectisme de l'univers TASCHEN !
Lorque sa construction fut achevée en 1889, la tour Eiffel était, du haut de ses 300 mètres, l'édifice le plus élevé du monde. Erigée pour l'Exposition universelle, elle ne devait en réalité agrémenter le paysage urbain que durant 20 ans - mais l'autorisation officielle fut prolongée et aujourd'hui la tour Eiffel est l'une des attractions touristiques les plus célèbres du monde. Elle est devenue l'emblème de Paris et attire chaque année plus de six millions de visiteurs.
Cette réédition documente la construction de la tour Eiffel depuis les premiers plans jusqu'aux finitions. L'édition originale, publiée par Gustave Eiffel en personne, sortit en 1900 à un tirage limité de 500 exemplaires qui n'apparurent jamais sur le marché mais dont Eiffel fit cadeau à des amis, bibliothèques et institutions. 53 planches sur pages doubles exposent à l'aide de quelque 4300 dessins techniques le processus d'élaboration de la tour Eiffel; de même, 33 photographies de l'édifice permettent de retracer en détail la fascinante histoire de la construction.
Au cours des trente années suivantes, Steinweiss réalise des milliers d'oeuvres originales sur les pochettes de disques de musique classique, de jazz ou de variétés pour Columbia, Decca, London et Everest, ainsi que des logos, des étiquettes, des supports publicitaires, et même sa propre police de caractère, la «Steinweiss Scrawl». Ses créations audacieuses, rassemblées ici dans toutes leurs combinaisons de typographie innovante et d'illustrations élégantes, ont révolutionné la manière dont les disques étaient vendus.
Ce livre inclut les souvenirs et objets personnels de Steinweiss liés à sa carrière fascinante, ainsi que de précieux essais du directeur artistique et designer Kevin Reagan, récompensé trois fois par les Grammy Awards, et de l'historien du graphisme Steven Heller.
Ever since the early 1970s, sculptor Charles Ray's protean practice has yielded some of the most memorable objects and experiences in contemporary art, causing us to confront, as Peter Schjeldahl has written, "elegant, deadpan fabrications that flip wild switches in our minds." In 1987's "Ink Line," for example, he sent a single stream of ink flowing to the middle of a gallery's floor in a slender column; outside the 1993 Whitney Biennial he parked a massive replica of a toy fire engine. His recent work is just as alluring and unsettling: a steel sculpture of a handheld bird, a poster of an ominous pumpkin, an intricate cast aluminum sculpture of a tractor. Charles Ray surveys the work the artist has made in the past dozen years; an interview by Michael Fried and an essay by John Kelsey complement texts written about each work by Ray himself.