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Le jour où son père lui apprend qu'elle n'est pas sa fille, Pascale tourne le dos à sa famille et s'enfuit à Paris. Après plus de dix ans de silence, elle fait un bref passage à la maison familiale avant de se rendre à l'île de Pâques. Ce voyage plein de mystères est à l'initiative de Maria, retraitée, désireuse de réparer une faute liée à sa jeunesse passée au Chili.
Grâce à Rodrigo qui est à la recherche de son identité depuis la disparition de ses parents adoptifs et à Jacob, un immigré Praguois, ces deux femmes vont découvrir tous les pouvoirs du pardon. Ces êtres, aux vies fortement marquées par de nombreux déboires, sauront-ils faire triompher l'amour ?
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Hénoch et la mouche plébéienne ou le guetteur de l'aube
Jean Olivier-casse
- Velours
- 10 Février 2011
- 9782351672730
" On a toujours besoin d'un plus petit que soi " ; d'une mouche plébéienne par exemple.
Hénoch, descendant d'une illustre lignée biblique s'affirme, grâce à sa femme Galéa, cette divinité de la Terre (Gæa ou Gaïa), comme un homme hors de l'ordinaire. Il veut sauver sa ville, Jéricho, qui depuis que, par légèreté d'âme, elle n'a pas su retenir le souffle de l'Esprit de Mai, s'enfonce dans le culte exclusif de soi et sombre dans l'indifférence envers les autres. Tout semble aller mal. Qui lui a dérobé le fameux Jerrican où il comptait garder un peu de ce précieux liquide que ses concitoyens dilapident sans compter ? Est-ce que ce sont ses enfants, Yan et Eude ? Pourquoi ? Pourquoi aussi cette disparition des chiens et cet exode des chats ?
La technicité s'implante même dans les domaines les plus intimes où on ne parle que de performances. Qui peut vivre dans un monde de plus en plus artificiel, virtuel, où le maître mot est rentabilité et où le Veau d'Or devient religion d'État. Nombre de défis attendront Hénoch et les siens... Et la petite mouche plébéienne, confidente d'Hénoch, quel rôle jouera-t-elle vraiment dans tout cela ? Une aube rouge finira-t-elle par éclore sur les murailles de la ville ou ne sera-t-elle qu'une illusion ?
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Un meurtrier sanguinaire sévit en ville. La police piétine. Les meurtres sont de plus en plus sanglants et mystérieux. Un matin, on retrouve une jeune fille massacrée selon des rites sataniques. Serait-ce l'oeuvre du diable en personne ? Mike Curtain, flic démissionnaire, spécialiste des affaires non élucidées et violentes, va aider son ex-coéquipier du FBI, Gildas, à mettre un terme à la vague de sang déferlant sur Los Angeles. Mais la réalité est parfois différente de celle que l'on croit.
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L'histoire de l'homme, quelle étrange aventure. Choisit-on son destin ? On le construit sans aucun doute d'une manière ou d'une autre ou on le subit. Il arrive parfois que la dure réalité de l'existence nous fasse réfléchir sur nos erreurs passées mais que peut-on faire pour y remédier ?
Sofiane et Jean-Valère, deux frères et soeurs, vivent depuis toujours dans la demeure familiale, une vie devenue paisible depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. L'arrivée dans la maison de leur très jeune nièce, dont les parents sont décédés, va venir perturber quelque peu la tranquillité des lieux et éveiller en Sofiane des sentiments maternels. Mais Jean-Valère, musicien taciturne et ardent opposant à tout ce qui pourrait changer son quotidien, réussira-t-il à supporter cette intrusion ? Cette petite, qui porte sur elle les stigmates de son passé douloureux, n'est pas la seule qui tentera de modifier la vision que les occupants de cette maison portent sur leur existence, une nouvelle locataire le pourrait-elle ?.
" . La vie rude et dure, les deux guerres et trop d'épreuves mais un caractère jovial. Mme Hélèna Haus-Rondeaux avait une assurance financière et pas d'enfants. En fait, elle avait perdu toute sa famille. Durant près de deux heures, elle avait expliqué aux Alexandre, sa démarche et pour quelles raisons, elle souhaitait vivre avec des personnes. Elle connaissait les Alexandre de vue et s'était précipitée pour s'informer auprès d'eux, alors qu'elle passait dans la rue en promenant Pipelette, son petit bichon. Elle nous conta que les premières rafles de juifs se faisaient entendre. Les hommes étrangers ou apatrides étaient les premiers touchés, ensuite, quand les rafles devinrent collectives, les femmes et les enfants. L'émotion lui revenait. "
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Ve siècle avant Jésus-Christ, tandis que la démocratie de Périclès rayonne en même temps que l'influence d'Athènes ne cesse de croître sur l'Europe et l'Asie Mineure, Thargélie, toute jeune femme milésienne, s'éveille à l'amour.
Désireuse de découvrir le Monde grec, ses tribulations la mèneront de Milet à l'île de Cos et d'Athènes vers d'autres territoires tout aussi étincelants, nous dévoilant ainsi son caractère passionné mais paradoxalement souvent soumis : les désirs des autres devenant les siens.
Obéit-elle à l'homme par nature, par ruse et intérêt ou bien l'amour transforme-t-il la dépendance en liberté ?
Entre risque et sagesse, l'intelligence dont elle fait preuve lui permettra-t-elle de faire les bons choix ?
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L'heure bleue, c'est cet instant particulier qu'on appelle aussi entre chien et loup ou, au Québec, la brunante. Ni encore le jour, ni tout à fait la nuit, ni blanc, ni noir, comme les hommes et les femmes qui traversent ce roman.
Entre un narrateur, Richard Jourdan, que la vie a brisé et qui fait du cynisme sa règle de vie, son fils Pierre qui cherche désespérément son amour, une députée et son frère artiste aux destins tragiques, Antonio, l'ami indéfectible, Claude et Cloé, que les événements ont rapprochés, tentent de reprendre vie grâce à l'amour.
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La Déloyale, c'est l'histoire d'Aliénor Le récit de vie d'une femme qu'un voyage va mener au coeur d'elle-même.
" Au fil du temps, je pris possession de cette demeure et de ma nouvelle vie et cette île prit possession de moi, insidieusement, très discrètement, dans un chemin qui allait être pour moi sans retour... "
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La jeune Margot traverse le vingtième siècle en sortant, avec peine, d'un déni confortable.
Elle tentera alors d'intégrer dans son équilibre précaire les événements bouleversants de 36 et 37 qu'elle avait tenté d'oublier.
Entre-temps, pendant l'entre-deux-guerres, sa famille, tombée dans les travers d'une idéalisation exacerbée, détruit tout sur son passage, en se disloquant par la même occasion.
Les années 30. Munich, Bruxelles. Deux villes dont les destins se croisent sans cesse autour d'un récit trépidant. Plusieurs réalités resurgissent de perceptions différenciées, s'inscrivant dans le contexte insoutenable de la montée des extrémismes et de la déportation.
Haine, amour, culpabilité et espérance se côtoient et offrent à la vie des protagonistes une palette de couleurs infiniment complexe et riche.
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Combien d'errances, d'abîmes à franchir, sur ce chemin par lequel je suis passée pour conquérir ma liberté ! Je me suis avancée sur cette route en tremblant, sans savoir que la lumière serait au bout. Revivre ces cauchemars d'enfance, dissimulés derrière une muraille. Rendre conscient, l'inconscient afin d'émerger de profondes ténèbres.
Il m'a fallu 15 années pour résoudre ces conflits, en flirtant avec toute ma part d'ombre, sous le regard de mon superviseur. Peu à peu, ces années-là, le matériel d'origine disparaissait, pour faire place à un épanouissement printanier, fruit de ma conscience éclairée. J'ai enfin cessé de croire que ces parents-là étaient seuls coupables. Le temps, celui qui a gouverné ma vie, m'a pris de nombreuses années, dont l'écriture de mon autobiographie, un moment essentiel où J'ai pu mourir à nouveau de cette enfance noire, ayant dévoré mon être et tari ma source de bonheur !
Aujourd'hui, je vis en harmonie avec mon histoire, déchargée du fardeau du passé, confiante dans mes lendemains.
L'un des événements les plus merveilleux qui me soit arrivé, c'est cette expérience unique, d'une nouvelle naissance sur le divan, orientée depuis vers le ciel divin. Jean 12 (24-26) Amen, amen je vous le dis : Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas. Il reste seul ; mais s'il meurt il donne beaucoup de fruits.
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François compte parmi le million trois cent mille soldats morts au cours des combats de la Grande Guerre. Son corps n'a jamais été retrouvé bien que son décès ait été constaté par deux témoins : l'obus qui venait de le faucher en appela d'autres qui s'acharnèrent à triturer, à bouleverser, à retourner le sol pour enfouir mieux son corps, à jamais disparu dans ce bout de terre champenoise. Sa correspondance de guerre, miraculeusement retrouvée, a permis à son neveu de renouer le lien avec lui, près d'un siècle écoulé. Le contenu bihebdomadaire de ses lettres à sa famille a constitué la trame de ce récit qui relate ses huit derniers mois d'existence, depuis les journées parisiennes de juillet 1914, si lourdes de menace, jusqu'à son dernier élan, le fusil au poing, du creux de la tranchée au no man's land à conquérir. Les faits et commentaires relatés jusqu'au 5 mars 1915, juste quatre jours avant sa mort, corroborent les informations journalières recueillies par l'état-major du régiment engagé, le 143e RI. La référence à quelques ouvrages et récits d'historiens et de témoins, donne du relief aux événements vécus par François.
Ce livre, riche de faits et de sentiments retenus, brasse le vécu de ceux dont l'Histoire a fini par reconnaître l'héroïsme caché.
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C'est à la suite d'un vol de tickets alimentaires dans sa mairie de Calenzana, en Haute-Corse, que Jean-Paul est arrêté par les gendarmes de son village à la fin de l'année 1941.
Refusant de donner ses complices, il est condamné, régime de Vichy oblige, à six années d'emprisonnement.
Mineur au moment des faits (la majorité n'est qu'à 21 ans à cette époque), il se retrouve d'abord interné à Bastia, avant son transfert, quelques mois plus tard, à Marseille, dans la maison de correction pour hommes de Saint-Pierre.
Mais ces événements sont annonciateurs d'un parcours bien plus chaotique encore, à travers l'histoire tourmentée de la seconde guerre mondiale.
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Dans la Chine d'aujourd'hui, une traque périlleuse va nous mener de Pékin à Shanghai en passant par Quiamen, Hainan et Haiphong.
Yan, jeune femme de 31 ans, officier de police en poste au Commissariat Central de Pékin, est subitement " invitée " à rejoindre " Le Bureau des Renseignements Intérieurs ", les services secrets chinois.
Sa mission : poursuivre, dans le plus grand secret, une enquête sur une organisation subversive dont le chef est un personnage proche du pouvoir.
Suite à une course poursuite, isolée, elle se fait piéger et se retrouve prisonnière au milieu d'une guerre menée par plusieurs gangs.
Blessée, elle va devoir passer le flambeau à son ex-coéquipier, Cheng. La traque continue, intensive et sans pitié. Après avoir échappé à la mort plusieurs fois, Cheng fera tout pour participer à l'opération finale : " Nettoyage de printemps " à Shanghai.
L'auteur nous fait découvrir une Chine peu connue, archaïque et moderne à la fois, où la lutte pour le pouvoir est permanente et où tous les coups sont permis.
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Tellement de témoignages ont été écrits sur la Seconde guerre mondiale et les atrocités qu'elle a engendrées. " Kanaga " ne se veut pas témoin d'une période de l'histoire mais plutôt porteur de la vision d'un auteur sur l'avant, le pendant, l'après-guerre et bien au-delà.
Le départ de l'auteur pour le Mali, il y a plus de trente ans, lui fait prendre conscience qu'elle ne va pas simplement s'éloigner de son pays d'origine mais aussi partir loin d'une histoire familiale douloureuse. La révélation d'un lourd secret qui lui est faite, conjointement à la naissance chez elle d'une volonté de s'ouvrir à une spiritualité nouvelle, donne encore plus de sens à un ouvrage chargé d'émotions.
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Saisie d'un instant d'humanité, peinture d'une fugacité, miroir naïf d'une subjectivité ou plus simplement Esquisse d'une Goutte de vie ; c'est du haut de la candeur des 17 ans que se romance l'auteur.
Un théâtre : la Guadeloupe. Une année de vie : la sienne. Tout et à la fois rien n'est dit.
Des premiers amours aux premières douleurs, entre l'enfance et l'âge adulte, mélange de rêve et de cauchemar, quoi de plus extraordinairement banal voire de plus banalement extraordinaire qu'une goutte de vie qui s'écoule ?
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Trouver ma voie Me laisse sans voix Pourquoi ne pourrai-je vivre libre De créer, d'écrire, je vibre.
Tel un océan rageur, Sortant de ma profondeur !
Écrire des mots simples pour décrire des maux...
Mon coeur a saigné, le vôtre battra, je l'espère, au rythme de ces vers : misère, enfance maltraitée, suicide, amour, racisme... autant de sujets pour autant d'émotions déversées.
Amicalement.
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Après Le lait de tigre, précédent ouvrage de l'auteur, où les personnages vivaient passionnément leurs relations hommes-femmes, Les vacances de Léonard brosse le portrait de Véronique, Maxime, Liv, Aurélie, Mélinda, Tomoko la Japonaise, François et les autres qui s'amusent à déceler, dépister, débusquer toutes les différences qui séparent l'érotisme de la pornographie.
Florilège de nouvelles sensuelles, ce recueil met en scène différents personnages dans des situations tirées pour la plupart d'exaltantes histoires vraies.