Du limonadier au bistro, du bougnat au bar américain, le café parisien dans tous ses états !
Symbole parmi les plus marquants de Paris, les cafés n'y ont pas toujours existé. C'est dans la seconde moitié du XVIIe siècle qu'ils apparaissent, alors que les limonadiers ajoutent à leur carte la boisson venue d'un Orient qui fascine les Occidentaux. Accueillant une clientèle aisée, le café parisien se distingue des maisons de café européennes par l'interdiction d'y fumer et le luxe de sa décoration. On y joue, on y écrit, on y lit... et on ne tarde pas à y discuter politique ; c'est du café de Foy, au Palais-Royal, qu'est lancé l'assaut de la Bastille en juillet 1789.
Combiné au début du XIXe siècle avec le nouveau venu qu'est le restaurant, le café-restaurant trouve sa formule et le succès. Il se diversifie par la suite pour mieux répondre à toutes les attentes. Son histoire, ses pratiques, ses fréquentations comme les trajectoires de ceux qui y travaillent ouvrent autant de fenêtres sur la société parisienne depuis plus de trois siècles.
En 1981, Georges Perec s'interroge : doit-il dire « j'habite Paris », « j'habite à Paris », « j'habite la capitale », « j'habite la Ville lumière », ou encore « j'habite la ville qui jadis s'appelait Lutèce » ?
Tel est le Paris de Perec. Un lieu où vivre, mais aussi un terrain de jeu, d'expérimentation et d'écriture. Une ville puzzle, coupée en morceaux par « l'histoire avec sa grande hache », et dont les pièces éparses demandent à être patiemment assemblées : le Belleville pauvre de la prime enfance, le 16e arrondissement cossu de l'adolescence, le Quartier latin de l'âge adulte, les cafés, les appartements amis...
Avec Perec, Paris devient texte. La ville de papier trouve son mode d'emploi.
À savourer à l'extérieur ou à se faire livrer, la street food ouvre un large éventail de possibilités sur les bords de Seine. On s'y régale aussi bien d'un bao venu de Chine, d'un sabich de Tel-Aviv, d'une pita beyrouthine que d'un hot-dog comme on en avale sur les trottoirs de New York. Fraîche, économique et inventive, la cuisine de rue s'affirme désormais comme une nouvelle culture culinaire à part entière.
Voici 100 adresses gourmandes, testées et approuvées, qui font voyager nos papilles.
Où l'on s'égare dans le dédale des cités, villas et impasses entourant l'îlot de « La Campagne à Paris ».
Où l'on observe la disposition en étoile des rues de Normandie, de Bretagne, de Poitou... qui devaient converger en une majestueuse « place de France », voulue par Henri IV et jamais réalisée, le couteau de Ravaillac en ayant décidé autrement.
Où l'on découvre les constructions Art nouveau d'Hector Guimard parsemant le quartier d'Auteuil : Castel Béranger, hôtel Mezzara, ensemble de la rue Agar...
Où l'on remarque, rue Geoffroy-Saint-Hilaire, les ultimes vestiges du grand marché aux chevaux de Paris.
Où l'on s'imprègne du souvenir de George Sand, de Frédéric Chopin, d'Ary Scheffer et de Gustave Moreau, baignant le quartier de la Nouvelle Athènes.
Où l'on admire, aux alentours du parc Monceau, les hôtels des Pereire, Rothschild, Camondo et Menier, grands banquiers et industriels du Second Empire.
Paris s'offre volontiers à qui prend le temps d'y flâner. Il suffit bien souvent de s'aventurer dans une ruelle inconnue ou de pousser une porte pour faire des découvertes. Chemin faisant, un monument, le nom d'une rue, la forme d'une impasse ajoutent au plaisir de la promenade celui de se voir révéler l'histoire des lieux.
Où trouver le calme à Paris Refuges insolites, jardins cachés, villas secrètes 100 havres de paix au coeur de la capitale pour un dépaysement immédiat !
À ceux qui rêvent de sérénité dans un univers dominé par l'agitation et le bruit, ce petit livre veut donner quelques raisons d'espérer. Dans les plis de la ville, il se trouve encore des lieux magiques susceptibles d'étancher notre soif de silence.
Ces adresses sont le plus souvent de plein air et libres d'accès, pour notre plus grand bonheur. Bercé par le pépiement des oiseaux, qui songerait à bouder le plaisir d'une halte dans l'un de ces édens urbains ?
Revenants, spectres, âmes errantes et esprits frappeurs... échos d'outre-tombe Depuis la nuit des temps, des fantômes hanteraient les replis secrets de Paris, cimetières, catacombes, ruines, palais abandonnés et sombres venelles. À chaque époque, ses revenants. Si la Lutèce gallo-romaine s'efforce de les contenir à distance, la ville du Moyen Âge les célèbre dans d'étranges danses macabres. La fascination pour les spectres ne faiblit pas à l'âge classique ni au siècle des Lumières. Et, sous la Révolution, la guillotine tournant à plein régime ne favorise pas le repos des âmes. Au XIXe siècle, les bouleversements des grands travaux haussmanniens réveillent encore farfadets et poltergeists. L'heure est au culte des esprits. Quelques années et une guerre mondiale plus tard, des légions de morts laissent derrière elles une armée de vivants avides de communiquer avec les disparus.
Ces voix d'outre-tombe se sont-elles aujourd'hui évaporées dans les brumes du passé ? Rien n'est moins sûr...
Les meilleurs restos pour dîner en toute intimité Les 100 tables les plus cosy et les plus romantiques de la capitale !
Loin des tablées bruyantes et des ambiances survoltées, voici une sélection d'adresses raffinées, propices aux échanges ou aux confidences. Luxe, calme et volupté... ici, vous dînerez en toute sérénité. Au programme : ambiance intimiste, lumières tamisées, feux de cheminée, canapés moelleux, vues à couper le souffle, plats à partager... Puis laissez le charme de Paris opérer !
Le manuel du cycliste urbain + 19 idées de balades à Paris et en Île-de-France.
Écologique, économique, pratique, objet de mode ou de collection, le vélo a (enfin) réussi à s'imposer dans les rues de la capitale. Fan de la première heure ou futur adepte, vous trouverez dans ce guide les meilleures adresses pour acheter votre monture, la faire réparer et vous équiper, ainsi que toutes les astuces pour bien choisir votre vélo (électrique ou non), circuler en toute sécurité dans Paris et vous lancer sans risque à l'assaut des pistes cyclables !
La traversée de Paris vous tente ?
Du nord au sud, d'est en ouest ou même en accomplissant le grand tour de la capitale, les amateurs de marches citadines découvriront la ville comme on la connaît peu. Il faut être à pied pour que les yeux s'ouvrent ! Des itinéraires buissonniers, s'éloignant autant que possible des grands axes pour onduler d'une curiosité à l'autre, réservent bien des surprises.
Chaque promenade, d'une durée de 3 à 4 heures (ou le double pour les âmes intrépides prêtes à enchaîner deux sections !), est figurée sur un plan détaillé.
De Saint-Michel à Boulainvilliers ;
De la porte de Clignancourt à la porte d'Orléans ;
Du quai de la Gare au parc André-Citroën ;
De la porte d'Auteuil à la porte Dorée ;
Rêver devant les Nymphéas de Monet ou d'étranges sarcophages au Louvre...
Méditer devant des bouddhas millénaires ou des poupées vaudou...
Admirer des avions extraordinaires ou la chambre de Marcel Proust...
S'interroger devant les mystères de l'évolution, les océans ou les étoiles...
Découvrir l'histoire de la Résistance ou celle du monde arabe...
S'amuser de contrefaçons éhontées, de rapports de police grivois, d'automates plus vrais que nature...
Afrique, art, cinéma, Égypte, histoire, impressionnisme, judaïsme, Moyen Âge, musique, sculpture, sport, théâtre : tous les goûts, toutes les passions sont à assouvir dans les petits et grands musées de la capitale. Émerveillement garanti !
Indispensable pour les Parisiens d'un jour... ou de toujours.
Pousser les portes d'un bar de palace, c'est s'offrir une parenthèse enchantée et dépaysante.
Les bars des hôtels parisiens sont des endroits un peu à part, retranchés de l'agitation quotidienne, mais pas forcément inaccessibles. Pour le prix d'un cocktail, nous voici transportés dans un univers de faste et d'excellence. Déco design, british ou boudoir, sur les toits, dans des jardins secrets ou au bord d'une piscine... ce guide recense 100 bars d'hôtels offrant à tout un chacun de jouer les happy few le temps d'un verre.
À fréquenter sans modération !
En réaction aux fantaisies de l'Art nouveau et à leurs exubérances, l'Art déco privilégie la symétrie, la hiérarchisation des volumes et la simplification des ornements sous la forme de motifs stylisés. S'illustrant dans les intérieurs comme sur les façades, le mouvement puise à différentes sources, parfois contradictoires, où l'on reconnaît l'influence de la révolution cubiste et le retour en faveur du classicisme. Il prospère en Belgique, en Allemagne, aux Pays-Bas et bien sûr à Paris, porté par une pléiade d'architectes au premier rang desquels se distinguent Louis Süe, Pierre Patout ou Henri Sauvage.
Voici 100 réalisations parmi les plus remarquables du style - immeubles d'habitation ou commerciaux, bâtiments administratifs, hôtels particuliers, théâtres, cinémas... -, dont les lignes sobres et rigoureuses ont renouvelé l'aspect de la rue parisienne.
C'était le temps des poinçonneurs du métro, des autobus à plate-forme, des agents en pèlerine, des oeufs durs sur le zinc, des taxiphones, des cinémas permanents, des fins de nuit aux Halles... Toute une époque !
Ce Paris, c'est celui des films d'Audiard, de Truffaut ou de Sautet. Les bars sont enfumés, les indicatifs téléphoniques s'énoncent en trois lettres, les piétons traversent dans les clous, les vendeurs de journaux crient les gros titres, les additions se griffonnent sur les nappes, les digicodes ne barricadent pas encore les immeubles...
Les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, bien sûr... Et les autres, s'en souviennent-ils ? Regarder la télévision dans une vitrine, rouler en Solex les cheveux au vent, trouver l'âme soeur dans un Sandwich plutôt que sur une appli...
C'était quand, déjà ?
UNE MÉMOIRE DU VIEUX PARIS en 100 photographies.
Mandaté par l'administration haussmannienne pour photographier les maisons et les rues entières qu'elle s'apprête à raser, Marville compose un portait inégalé par son ampleur et sa qualité du Paris du milieu du xixe siècle. C'est même une ville plus ancienne qui se voit révélée à cette occasion puisque la capitale n'a guère changé depuis l'âge classique, voire depuis le Moyen Âge dans certains quartiers.
Cette cité surgie du passé nous apparaît comme dans un rêve ; nous en reconnaissons quelques bribes, toujours visibles actuellement, mais la plupart du temps elle nous échappe, éloignée de toute expérience sensible, de tout souvenir. Elle ne nous est pourtant pas totalement étrangère tant elle a prêté son décor à d'innombrables romans, tableaux ou films. L'oeuvre de Marville déborde ainsi le cadre documentaire auquel elle était assignée pour évoquer non seulement un Vieux Paris appelé à disparaître, mais aussi l'imaginaire qui lui est associé. Cette ville de papier s'offre aujourd'hui à qui veut bien librement l'arpenter et la peupler, au gré des silhouettes qu'il y entrevoit, de mille vies qu'il n'a pas vécues.
Le vade-mecum du jeune parent parisien La capitale regorge d'activités spécialement pensées pour les tout-petits : visites culturelles adaptées, baby yoga, massages parents-enfants ou initiation à la langue des signes se pratiquent dans les musées, cafés associatifs et dans des maisons nouvelle génération dédiées à la parentalité.
Un guide indispensable pour faire le plein de bonnes adresses et de conseils en matière de boutiques, restos et autres lieux vraiment baby friendly.
En altitude, dans la pénombre, les pieds dans le sable ou sur une balançoire... déjeunez ou dînez comme il vous plaira !
Préférez-vous un décor classé, l'atmosphère d'une bibliothèque, les confidences des vieilles pierres ou la sobriété du béton brut ? Qu'importe... mais du rare, de l'excentrique, du différent, de l'engagé !
L'aventure se poursuit dans les assiettes, avec de la fantaisie à tous les étages. Lassé des adresses vues et revues ? Voici la bible des gastronomes créatifs...
Cinémas mythiques, bancs publics, cafés authentiques... mille et un lieux très romantiques !
Le baiser parisien, pratiqué dans les règles de l'art, obéit à des lois précises auxquelles il serait bien imprudent de vouloir déroger. Des baisers de cinéma aux baisers à la carte dans les restaurants les plus romantiques, en passant par les grands classiques ou les serments sur le pont des Arts...
Les meilleurs endroits où s'embrasser dans la capitale seront bientôt sur toutes les lèvres !
De la plaine Monceau aux Champs-Élysées, le Paris de Marcel Proust est essentiellement celui des beaux quartiers. Né à Auteuil, ayant vécu boulevard Malesherbes ou boulevard Haussmann, l'écrivain situe son oeuvre dans le Paris de la Belle Époque. Les appartements cossus donnent sur des avenues plantées d'arbres, les enfants s'amusent dans d'élégants jardins et les réceptions se tiennent dans des hôtels particuliers. Swann, Odette ou la duchesse de Guermantes fréquentent Maxim's, le bois de Boulogne ou les cafés animés des Grands Boulevards. Ces décors et les figures qui ont inspiré le romancier, les voici en images, révélant un Paris 1900 à la fois réel et imaginaire: le monde de Proust.
From the Plaine Monceau to the Champs-Élysées, the Paris of Marcel Proust essentially encompasses the high-end districts. Born in Auteuil, having lived on the Boulevard Malesherbes, as well as the Boulevard Haussmann, the writer's work is embedded within the Paris of the Belle Époque. The Posh apartments look out onto tree-lined streets, children play in elegant gardens and receptions are held in private mansions. Swann, Odette or the Duchesse de Guermantes all socialize at Maxim's, the Bois de Boulogne or the bustling cafés along the Grands Boulevards. These settings and the different characters, who inspired the famous novelist,are hereby presented in evocative images, revealing Paris during the early 1900s, both real and imaginary: the world of Proust.
Paris impressionniste 100 tableaux de légende Monet peint les fumées de la gare Saint-Lazare, Renoir saisit les reflets du Pont-Neuf dans la Seine, Pissarro figure l'avenue de l'Opéra depuis une chambre d'hôtel, Manet immortalise les serveuses de café de Pigalle, Caillebotte restitue les perspectives haussmanniennes... Tout autant que la côte normande ou la vallée de la Seine, Paris inspire les impressionnistes. Entre son fleuve et ses grands ciels, la capitale ne manque ni de nature ni de texture pour des palettes avides de saisir les jeux de la lumière. En prime, la ville apporte l'animation de ses rues, de ses métiers, de ses cafés, de ses loisirs...
Impressionist Paris Monet painted smoke clouding the Gare Saint-Lazare, Renoir captured the Pont Neuf's reflections in the Seine, Pissarro portrayed Avenue de l'Opéra from his hotel room, Manet immortalized waitresses in a café at Pigalle, Caillebotte depicted Haussmannian perspectives... The Normandy coast and the Seine Valley were not the only inspirations for Impressionists -Paris was as well. Between its river and its tall skies, the French capital lacked neither nature nor textures for artists intent on encapsulating plays on light. Not to mention the bonus of the city's lively streets, workers, cafés and entertainment...
Dans l'entre-deux-guerres, une architecture nouvelle s'affirme, portée par une génération qui revendique haut et fort sa modernité, laquelle connaîtra des traductions très diverses. Mais les jeunes architectes ont en partage le rejet de l'académisme, du classicisme et du pittoresque.
Privilégiant les formes primaires, l'expression de la fonction des différentes parties du bâtiment, les matériaux comme le béton, le verre ou l'acier, le plan libre, le toit-terrasse et la couleur blanche, l'avant-garde s'incarne dans les noms de Le Corbusier, bien sûr, mais aussi d'Auguste Perret, de Robert Mallet-Stevens, d'André Lurçat, de Marcel Lods, de Raymond Fischer, de Bruno Elkouken et de bien d'autres.
Voici 100 de leurs réalisations les plus remarquables - villas, ateliers, hôtels particuliers, immeubles d'habitation, bâtiments publics... - que la postérité ne reconnaîtra véritablement que bien après leur émergence.
Curiosités, bizarreries, jardins secrets, legs intrigants du temps et de l'histoire... les environs de Paris réservent bien des surprises. Les passionnés d'aventures insolites arpenteront ainsi les souterrains de Provins, découvriront la péniche-chapelle des bateliers, s'enfonceront dans la forêt de Fontainebleau à la recherche du mystérieux Cyclop, changeront d'horizon au skit orthodoxe du Mesnil-Saint-Denis ou s'émerveilleront au Moulin Jaune.
Inutile de parcourir le monde pour plonger dans des univers surprenants : le dépaysement est à deux pas du périphérique.
L'évolution de Paris ne se résume pas aux grandes opérations conduites par la puissance publique. Si on reconnaît dans la tapisserie doublement millénaire de la ville les broderies délicates des places royales, l'appoint des grands équipements, les ajouts ou les lacérations de l'administration haussmannienne... on sait aussi qu'il y entre une accumulation de retouches anodines, consistant dans le remplacement ou la transformation de bâtiments ordinaires. Comment mieux en prendre la mesure qu'en s'appuyant sur un fonds photographique constitué entre 1916 et 1936 par la Ville désireuse d'élaborer un inventaire du bâti parisien sous toutes ses formes et en comparant les photographies de l'entre-deuxguerres à des vues actuelles ? Pourquoi certains immeubles ont-il traversé le temps sans dommage quand d'autres ont été abattus et remplacés ? Modestes ou radicales, les mutations observées ne sont que les dernières en date d'une longue série appelée à se poursuivre. Chaque opération, même la plus banale, mobilise une multitude d'intervenants dont les interactions aboutissent à des compromis nécessairement provisoires.
100 restos pas chers pour bien manger au quotidien Qui connaît un resto cool et pas trop cher dans le quartier ?
Combien de fois cette angoissante question est-elle restée sans réponse ? Voici une sélection de 100 adresses toujours abordables - l'addition n'y dépasse pas 15 € - que l'on recommande les yeux fermés... et l'eau à la bouche !
Les 100 meilleures adresses Tables surprenantes et inventives, perles de la bistronomie offrant l'assiette d'un étoilé pour l'addition d'un resto ordinaire, établissements au décor classé et à la carte contemporaine : chaque quartier compte de belles adresses que les connaisseurs se gardent bien de divulguer.
Vanessa Besnard livre ici une sélection pointue de 100 bistrots (Paris et proche banlieue) pour les gourmets qui aiment se régaler sans se ruiner.