Le mot de « psychiatrie », la « médecine de l'âme » ne date que du début du XIX e siècle. Il recouvre toutefois un ensemble d'observations et de pratiques remontant à la plus haute Antiquité, dont le Grec Gallien a réalisé une vaste synthèse en fondant la théorie des quatre humeurs au II e siècle : en distinguant les tempéraments sanguin, bilieux (ou colérique), atrabilaire (ou mélancolique) et flegmatique, il a posé les bases d'une approche nouvelle, prescrivant aux médecins de rétablir un équilibre corrom- pu chez leurs malades.
Aux exercices physiques, diètes, bains, purgations et in- cantations se sont ajoutées, au Moyen Âge, des approches plus radicales : lorsque le recours aux prêtres ou aux saints ne suffisait pas, les « fols » étaient soignés sur les bûchers.
Au XVI e siècle encore, les inquisiteurs suivent un guide, le Malleus Maleficarum, qui identifie la folie à la sorcellerie et à l'hérésie. Et si la médecine reconnaît ensuite que la folie est curable, elle recourt à des traitements d'immersion, de secousse, d'électrification ou à des machines rotatoires qui n'ont souvent rien à envier aux périodes antérieures...
Ce n'est qu'au XX e siècle, finalement, qu'apparaissent les traitements psychopharmacologiques ou psychana- lytiques efficaces... bien qu'ils ne soient pas tous sans dangers !
Le premier ouvrage proposant un panorama d'ensemble des traitements à travers l'histoire, des remèdes ancestraux aux médicaments les plus récents.
À quoi servent les mathématiques ? Il y a bien peu de secteurs de l'activité humaine dont elles soient absentes. C'est particulièrement vrai pour la compréhension de notre environnement : climat, économie, géologie, écologie, science spatiale, régulation démographique, politique mondiale, etc.
Le travail des scientifiques est par essence de comprendre les causes et les effets, et d'appréhender la complexité, puis d'en tirer des prévisions et de quantifier le mieux possible les incertitudes liées à celles-ci. Les mathématiques, au travers de leurs modèles et de leurs théories, ont donc pour toutes et tous une importance considérable. Par exemple, la quantification du changement climatique, les prévisions de catastrophes naturelles, la conception de modèles économiques viables, la préservation de la biodiversité, la transmission des maladies infectieuses, le contrôle des pandémies... et bien d'autres choses encore.
Brèves de maths illustre, de façon accessible, la variété des problèmes scientifiques dans lesquels la recherche mathématique actuelle joue un rôle important. Cet ouvrage propose une sélection des meilleures contributions du projet « Un jour, une brève » de l'action mondiale « Mathématiques de la planète Terre ».
Le monde des enquêtes criminelles est vaste et souvent méconnu. Notamment celui des enquêteurs privés, qui oeuvrent dans les services internes de sécurité, au sein des banques, grandes compagnies commerciales, assurances, aéroports, ministères...
Comment l'enquête criminelle est-elle pratiquée par les enquêteurs compétents ? Quelles méthodes s'avèrent les plus efficaces ? Comment réussir une enquête rapidement ? Comment ne pas porter atteinte aux droits et libertés ? Quelles sont les caractéristiques de l'enquête scientifique ? Est-il vrai que les progrès de la science et du numérique ont rendu l'enquête plus efficace ? Pour quelles raisons une investigation réussit-elle alors qu'une autre échoue ? Les taux de solution ont-ils une incidence sur les taux de criminalité ? Que faut-il savoir sur le droit de l'enquête ?
Les auteurs répondent à ces questions en s'appuyant sur des cas réels d'agressions sexuelles, de fraudes, d'homicides, d'introductions par effraction et d'incendies criminels. Ils prennent aussi appui sur des connaissances scientifiques et juridiques, livrant avec cet ouvrage un état des lieux inédit et précieux.
La mission « Rosetta », une grande aventure scientifique internationale, a remis les comètes à l'honneur depuis plusieurs années. Qui ne s'est pas émerveillé devant l'exploit de cette sonde qui a atteint Churyumov--Gerasimenko (« Chury ») au terme d'un voyage de douze ans et de sept milliards de kilomètres ? Qui n'a pas tremblé en attendant que le petit atterrisseur « Philae » communique ses premières observations ?
L'astronomie cométaire n'est toutefois pas qu'une science du XXI e siècle. Il y a plus de deux mille ans déjà, les Anciens, en Asie, au Moyen--Orient puis dans le monde gréco--romain, se sont intéressés à ces petits corps célestes qui faisaient un retour régulier au firmament. Les observations et les spéculations parfois les plus étonnantes se sont succédées jusqu'au XX e siècle. Le développement des moyens d'observation et, plus récemment, d'exploration a ensuite permis de les vérifier, de les compléter ou de les contredire.
Depuis les années 1970, astronomes et astrophysiciens récoltent une moisson de résultats, dont « Rosetta » marque le point d'orgue : des découvertes insoupçonnées nous permettent désormais d'en savoir davantage sur les origines de l'Univers, du système solaire, de la Terre et de la vie qu'elle a vu naître. Anny--Chantal Levasseur--Regourd et Janet--Borg, deux astrophysiciennes impliquées au plus près dans cette mission, retracent l'histoire de l'astronomie cométaire depuis ses origines et expliquent les tout derniers résultats que la communauté scientifique s'apprête à communiquer.
Basé sur une enquête de terrain menée en France au- près de 1800 jeunes âgés de 11 à 20 ans, cet ouvrage vise à mieux comprendre les rouages de la diffusion de la haine à caractère raciste, xénophobe, antisémite ou islamophobe sur Internet. Si la haine produite et diffusée par des groupes organisés est la plus visible, la haine ordinaire, celle des zones grises des messages sournois, du racisme ou de la xénophobie, est peut- être la plus insidieuse et banalisée.
Plus de 40 % des jeunes disent avoir été exposés à des contenus haineux, un sur dix a été directement ciblé au moins une fois et la haine génère en retour une autre haine. Les auteurs, en quête de statut, de recon- naissance, sont aussi souvent les victimes. Comment la haine sur Internet affecte-t-elle donc les adolescents ?
Qui sont les plus susceptibles d'être en contact avec ces contenus et pourquoi ?
Cet ouvrage met enfin en perspective la situation fran- çaise avec le contexte international et interroge sans complaisance les programmes d'intervention et les po- litiques publiques mis en place pour tenter d'enrayer le phénomène. C'est l'ensemble de nos démocraties qui se trouve mis en question et il convient de résister, sans angélisme, à la fois à l'incitation xénophobe et à la terreur.
Un livre pour mettre de la raison dans un débat où les fantasmes l'emportent souvent sur le réel.
Il y a quatre cents ans, l'Église condamnait Galilée en lui interdisant d'enseigner la théorie héliocentrique forgée par le chanoine polonais Nicolas Copernic. Cet épisode capital des débuts de la science moderne est souvent résumé en quelques traits grossiers, l'intransigeance de l'Inquisition, la défense désespérée d'un savant qui finit par se rétracter... « Et pourtant elle tourne ! » Mais l'affaire est plus complexe. Elle plonge ses racines dans une époque, celle des idées nouvelles sur la Terre et l'Univers, des voyages d'exploration, des premières observations astronomiques, des grands protecteurs de la science et des savants qui interviennent jusque dans les alcôves du Saint--Siège, ainsi que de ses adversaires impitoyables qui conduisent Giordano Bruno au bûcher. Et elle se prolonge bien au--delà, jusqu'aux travaux de Newton, à leur traduction par Emilie du Châtelet et à leur défense acharnée par Voltaire...
Dans cet ouvrage, Jean--Paul Walch replace l'affaire Galilée au coeur de son époque, en rappelant également les liens étroits qu'entretiennent encore astronomie et astrologie : les astres, loin d'être immuables, sont le reflet de la vie chaotique des hommes qui les contemplent et commencent seulement à les comprendre...
Berceau de la vie il y a quatre milliards d'années, la mer est aujourd'hui un territoire connu et balisé par l'homme. Pourvoyeuse de ressources, régulatrice du climat, elle est au coeur de nos préoccupations dans des domaines aussi variés que l'économie, la géopolitique ou l'écologie. Pourtant, l'océan est longtemps resté un univers insondable, régi par des mécanismes mystérieux et peuplé d'animaux fantastiques. Le savoir pratique développé par les premiers navigateurs se borne aux eaux de surface : dès l'Antiquité, les marins parcourent les zones côtières avant de s'aventurer au large à l'époque des « grandes découvertes ».Il faut attendre la seconde moitié du xixe siècle pour que l'océanographie prenne son essor. Ses pères fondateurs répertorient, précisent et complètent les savoirs accumulés. Surtout, ils pénètrent enfin les profondeurs, que les progrès techniques rendent peu à peu accessibles. La recherche ne cesse dès lors de se développer, à la confluence de plusieurs disciplines : dynamique, physique, chimie, géologie, biologie... Au sein d'organisations dédiées, les chercheurs disposent de moyens toujours plus perfectionnés au large, sur terre et même dans l'espace, où des satellites modélisent les phénomènes océaniques.Peu à peu explorée et comprise, la mer renferme encore des secrets, qui laissent aux hommes de l'avenir de nouvelles contrées à étudier. C'est l'histoire de cette aventure scientifique et profondément humaine que nous raconte Patrick Geistdoerfer, dans une approche à la fois méthodique et sensible de son sujet.Océanographe, Patrick Geistdoerfer est directeur de recherche au CNRS et président de la section « navigation et océanologie » de l'Académie de marine. Spécialiste des faunes des grandes profondeurs, il a notamment travaillé au laboratoire d'océanographie de Villefranche-sur-Mer et au Muséum national d'histoire naturelle.
L'idée qu'une substance naturelle puisse servir à soulager ses maux remonte au plus loin de l'histoire de l'Homme :
Sur leurs tablettes d'argile, les Sumériens décrivaient déjà des recettes de jus de plantes aux mille vertus thérapeu- tiques. De l'Égypte des pharaons à la Grèce, de Rome à la Chine, l'aventure de la pharmacie se poursuit dans l'Antiquité, avant d'emprunter la voie de l'alchimie dans le monde arabo-musulman, puis d'entrer dans les « apoticai- reries » du Moyen Âge. S'éloignant peu à peu des mains des dieux, un art se met en place, nourri de matières exotiques importées du Nouveau Monde.
Tandis que la nouvelle chimie du XVIIIe siècle, celle de Lavoisier, s'émancipe de la pharmacie, le médicament commence à exister sans secrets, à se mécaniser.
Poussé par la fièvre thérapeutique des XIXe et XXe siècles, il devient un objet de consommation. Ses réclames en vantent les merveilles, mais ses effets délétères remplissent parfois les hôpitaux, les tribunaux et les cimetières.
Alors que s'ouvrent aujourd'hui de nouveaux paradigmes thérapeutiques, marqués à la fois par les derniers progrès des biotechnologies et par un retour aux sources - et aux ressources - de la Nature, cette histoire de la pharmacie nous entraîne au coeur d'un magasin kaléidoscopique où se bousculent des guérisseurs imprégnés de magie, des apothicaires-épiciers tâtonnants, des docteurs Diafoirus, des chimistes savants, des pharmacologues expérimen- tateurs, et pour finir de grandes firmes internationales souvent plus soucieuses du droit de leurs brevets que des besoins de santé des moins fortunés.
Voici le livre de référence conçu pour et avec le consommateur du xxie siècle, citoyen conscient de ses droits et peu enclin à supporter davantage les manquements ou défaillances des grandes marques et des grandes enseignes commerciales.
Informer, conseiller, enquêter, alerter. isabelle giordano ouvre chaque jour sur france inter, dans son émission service public, un dossier qui débouche parfois sur des résultats concrets, comme la pétition contre les cigarettes bonbons remise en mains propres au ministre de la santé et l'amélioration des services après vente des opérateurs téléphoniques. ce guide des consommateurs, coédité avec france inter, reprend les grands thèmes traités dans cette émission, en restant fidèle à ce qui fait son charme : un ton vif et enlevé, un texte précis et documenté, proposant des références (livres, sites et adresses utiles) pour aller plus loin.
Le projet « Mathématiques pour la planète Terre » est réalisé à l'initiative de l'Institut des sciences mathématiques et de leurs interactions du CNRS, d'INRIA, de la Société française de statistique, de la Société de mathématiques appliquées et industrielles et de la Société mathématique de France.
Il rassemble des auteurs de prestigieuses institutions :
Martin Andler, professeur des universités ; Liliane Bel, professeure des universités ;
Sylvie Benzoni-Gavage, professeure des universités ; Thierry Goudon, directeur de recherches (Inria) ; Cyril Imbert, directeur de recherches (CNRS) ; Antoine Rousseau, chargé de recherches (Inria).
Chacun connaît « l'expérience » de Galilée, qui aurait jeté du haut de la tour de Pise deux objets de masses différentes, pour montrer qu'elles atteindraient le sol en même temps. Cette expérience contredisait la physique aristotélitienne, qui affirmait que la vitesse de chute des objets est proportionnelle à leur poids. Sur le principe, Galilée avait raison contre Aristote. sauf qu'il n'a jamais réalisé cette expérience, sinon en pensée. Et pourtant, elle a été déterminante.
L'expérience de pensée consiste à forger une représentation qui n'est pas parfaitement conforme à notre appréhension de la réalité, qui semble donc « fausse », ou du moins fictive, mais pour mieux aboutir à la formulation d'une vérité sur notre monde. Par sa richesse, l'expérience de pensée peut servir de cadre théorique. L'image mentale s'appuie sur des représentations matérielles : c'est le cas des cartes et atlas. Les physiciens en général représentent souvent les corps qu'ils veulent étudier selon des formes géométriques parfaites qui ne se trouvent jamais telles quelles dans la nature. La modélisation consiste donc à sélectionner les aspects pertinents de la réalité, que l'on va tester dans leur interaction et leurs conséquences implicites par la mise en oeuvre de l'expérience de pensée. En science politique, la modélisation a ainsi permis à André Siegfried d'établir des liens entre facteurs géographiques et comportements électoraux.
L'approche pluridisciplinaire de cet ouvrage vise à démontrer la surprenante continuité du thème de l'expérience de pensée dans un large ensemble de domaines scientifiques, en sciences humaines comme en sciences dures : il étudie pour cela les motivations du chercheur, la portée de la méthode et enfin ses limites.
Collection CIES Sorbonne (Centre de formation à l'enseignement supérieur) Faire travailler ensemble sur des thématiques communes les doctorants de sciences humaines est l'un des objectifs prioritaires du CIES Sorbonne, avec l'ambition de faire naître des ouvrages originaux, nés des interrogations de ces jeunes chercheurs soucieux de faire partager au plus grand nombre le fruit de leurs recherches dans une confrontation constante avec leurs collègues.
Voici bientôt 25 siècles, certains philosophes grecs prenaient conscience de la place particulière de la terre dans l'espace. Il y a 400 ans, les planètes cessaient d'être perçues comme étant du domaine de la perfection pour devenir des mondes comme le nôtre, tournant autour du soleil. 200 ans plus tard, il fut établi que le soleil n'était qu'une étoile parmi d'autres. Et la dernière décennie du XXe siècle a vu la découverte de planètes extra-solaires. La prochaine étape dans notre connaissance de l'univers sera peut-être la découverte de vie sur l'une ou plusieurs de ces planètes... L'aventure du savoir astronomique touche donc pour l'Homme aux questions philosophiques les plus essentielles qui soient. En exposant de manière concise l'histoire de l'astronomie depuis la préhistoire jusqu'au début du XXIe siècle, cet ouvrage retrace l'évolution de la compréhension du monde qui nous entoure au fil des différentes époques qui ont précédé la nôtre, en insistant particulièrement sur le miracle grec, sur la transmission des connaissances astronomiques durant toute l'époque médiévale et sur l'explosion des idées nouvelles durant la Renaissance et les siècles qui suivirent. L'auteur nous donne également à voir la naissance et l'essor de l'astrophysique et de la cosmologie moderne, respectivement apparues aux XIXe et XXe siècles, ainsi que l'essor de la conquête spatiale, laquelle a permis un changement radical et irréversible au niveau de la vision moderne de notre Univers. Dans cette approche à la fois chronologique et thématique, le lecteur découvre la naissance, l'évolution et les enjeux d'une science plus que jamais essentielle à la compréhension, du passé comme du futur, de notre planète et de notre Univers.Christian Nitschelm est docteur en astrophysique, professeur d'astronomie et chercheur. Membre de l'Unité d'Astronomie de la Faculté des Sciences Fondamentales de l'Université d'Antofagasta, au Chili, il fait également partie du Groupe de Recherche en Astrophysique de l'Université d'Anvers, Belgique, et est collaborateur extérieur à l'Institut d'Astrophysique de Paris (IAP).
L'aventure spatiale française débute au soir de la Seconde Guerre mondiale. Quelques électrons libres, des militaires surtout, expérimentent les premières fusées-sondes destinées à leur ouvrir les portes de l'espace. À mesure que défilent les années, la mobilisation ne cesse de croître. Sur une toile de fond marquée aussi bien par la construction européenne que par la guerre froide ou le conflit algérien, elle atteint un summum avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Après l'Union soviétique et les États-Unis, la France devient à son tour une puissance spatiale, dont l'importance continuera de s'affirmer au travers du programme Ariane.Cette histoire s'écrit dans le secret des laboratoires et des champs de tir des fusées, au milieu du désert algérien ou au coeur de la jungle guyanaise, de même qu'à l'Élysée, à Washington, à Moscou ou à Bruxelles. Elle est le théâtre d'intenses luttes de pouvoir, opposant notamment militaires et chercheurs. Des archives inédites, enrichies par de nombreux témoignages, permettent de retracer cette aventure technologique, scientifique, militaire et humaine qui a propulsé la France dans l'espace...Enseignant et docteur en histoire, vice-président de l'association Histoires d'espace, Philippe Varnoteaux est spécialiste de l'histoire de l'astronautique française. Il a publié de nombreux articles scientifiques, ainsi que plusieurs ouvrages dont Alexandre Ananoff, l'astronaute méconnu (avec Pierre-François Mouriaux), pour lequel il a reçu le prix 2013 de l'IFHE (Institut français d'histoire de l'espace).
On l'appelle le SETI : « Search for Extra-Terrestrial Intelligence », en français « recherche d'une in- telligence extraterrestre ». Loin d'être une chasse anecdotique aux petits hommes verts, ce projet mobilise des centaines de chercheurs à travers le monde, apparentés aux plus grandes institu- tions : le CNES en France, de même que la Nasa aux États-Unis... Inauguré dans les années 1960, il renvoie à une longue histoire : l'existence d'autres mondes est une préoccupation constante depuis l'Antiquité.
Pour l'heure, cette quête, peut-être l'une des plus passionnantes de l'Humanité, n'a pas abouti, bien que des signaux étonnants venus d'ailleurs aient parfois interpellé les scientifiques, et que des phé- nomènes inexpliqués continuent chaque année d'être observés - au sein du CNES en France, leur étude est confiée au très officiel GEIPAN, Groupe d'études et d'information sur les phéno- mènes aérospatiaux non identifiés. !
Ce livre nous offre un état des lieux inédit de cette recherche pas comme les autres.