Un siècle d'histoire et d'histoires.
C'est à un voyage palpitant dans les archives du mythique Quai des Orfèvres auquel nous invite Claude Cancès, l'une des figures les plus emblématiques et originales du 36. En 35 ans de carrière dans la PJ parisienne, Claude Cancès a tout connu ; de la Mondaine, à l'Antigang en passant par la Crim avant de devenir le patron du 36 quai des Orfèvres. Dans ce livre, il ne se contente pas de raconter les affaires - nombreuses et retentissantes - qu'il a eu à traiter (Empain, de Broglie, les Irlandais de Vincennes, les attentats de 1995, etc.), mais aussi celles qui jet marqué l'histoire de la police parisienne : la bande à Bonnot (qui a propulsé la Pl dans l'ère du vingtième siècle), les affaires Stavisky, Petiot, Ben Barka, Markovic Mais il n'y a pas que les affaires.
En effet, Claude Cancès propose de remonter aux sources du 36, quai des Orfèvres (la police d'avant la PJ) où le lecteur croisera les premières brigades, les premières affaires criminelles, vivra la naissance de la police scientifique et fera la connaissance du premier patron de la PJ parisienne qui fut...un magistrat ! Un livre d'histoire qui se lit comme un polar.
Aujourd'hui, la BRI (Brigade de Recherches et d'Intervention) se fait discrète, par essence, par nécessité, et n'en est que plus efficace.
Mais l'Antigang a connu son heure de gloire médiatique dans les années 1970, lorsque le non moins médiatique Robert Broussard était à sa tête, pourchassant les ravisseurs du baron Empain ou traquant l'ennemi public n°1, Jacques Mesrine. Mais qui sait que la BRI doit son existence à un autre grand flic, François Le Mouêl qui, en 1964, imagine une méthode révolutionnaire pour traquer les voyous ? Qui a jamais raconté par le détail ces " autres affaires " oubliées des Unes des journaux, ces mois de filatures, de surveillance H24, parsemés de rebondissements et à l'issue toujours incertaine ? Au fil des dossiers, des plus célèbres aux plus méconnus, ce livre ne se contente pas de donner la parole aux seuls patrons de l'Antigang, mais aussi à ces hommes qui ont fait et font encore l'histoire de cette unité exceptionnelle de la PJ parisienne.
L'école d'hier / l'école d'aujourd'hui. Une autre façon de regarder l'école, une autre manière d'aborder l'éducation. L'école d'aujourd'hui n'est pas la fabrique de crétins que l'on se plaît à stigmatiser. Pourquoi fait-on la comparaison entre une école dite d'excellence et une école considérée comme abâtardie ? Au travers de différents exemples de la vie quotidienne scolaire, les trois intervenants (Philippe Meirieu, Jean-Bertrand Pontalis, Emmanuel Davidenkoff) tordent le cou aux idées toutes faites et démontent les a priori qui bloquent le débat sur l'école et empêchent d'imaginer l'école de demain. Les auteurs décryptent quelques témoignages de professeurs, d'élèves et de parents. Chaque thème est illustré par des photographies : carte blanche est donnée à une trentaine de photographes dont le travail s'est porté sur l'école.
Jean-Pierre Guéno a retrouvé dans l'oeuvre d'Antoine de Saint- Exupéry le message visionnaire du créateur du "Petit Prince" pour le troisième millénaire.
Les paroles de l'aviateur-écrivain nous rappellent que notre environnement ne se résume pas à la nature qui nous a précédés, et qu'il est temps de prendre en compte l'environnement que nous nous sommes construit, qu'il soit urbain, social, économique, temporel ou spirituel. Gérer notre urbanisme, savoir vivre ensemble, consommer différemment, apprendre à durer pour transmettre l'héritage que nous avons reçu, échapper à notre égocentrisme instinctif qui compromet le développement de l'humanité, tels sont les défis que nous devons relever et qui ont été recensés dans l'oeuvre de Saint-Exupéry bien avant que nous n'ayons plus d'autre choix que de les affronter.
Pour illustrer les trésors de l'héritage que nous avons pour mission de transmettre, outre les mots de Saint-Exupéry qui expriment la Terre vue de l'âme, les dessins préparatoires du "Petit Prince" nous rendent le regard neuf de l'enfance, tandis que les photos de Yann Arthus-Bertrand et celles de la Nasa dressent l'inventaire des trésors de notre planète, la Terre, vue du ciel et vue de l'espace, avec le regard émerveillé de l'aviateur ou celui encore plus actuel du spationaute.
Ce premier numéro de la série "Une histoire du 36, quai des Orfèvres" propose une affaire emblématique : la prise d'otage de la maternelle de Neuilly ou le mystère HB. Claude Cances, alors directeur du 36, l'a vécue de l'intérieur et la raconte aujourd'hui.
Sans fard avec précision et telle qu'elle s'est déroulée. Pendant 46 heures d'angoisse, 21 enfants étaient sous la menace d'un homme à la personnalité et aux motivations demeurées jusqu'au bout une énigme, et qui restera pour tous, HumanBomb.
Bernard de Souzy, artiste peintre, raconte les malheurs d'un enfant martyr. Son père, décédé en 2007, fut un tortionnaire effroyable, dans sa vie privée comme dans sa carrière d'officier en Algérie. Il devint ensuite instructeur auprès d'officiers argentins, notamment le colonel Diaz Bessone, aujourd'hui général, et auquel il enseigna les méthodes les plus cruelles et inhumaines.
Ce livre raconte l'horreur ordinaire de la vie d'un enfant martyr, et retranscrit également les carnets secrets de ce père tortionnaire, dans lesquels il évoque la torture en Algérie.
Vous sortirez horrifiés de cette lecture.
Descendre au fond du Gouffre de Padirac, c'est s'enfoncer au coeur de la terre, découvrir un monde où le soleil n'a jamais pénétré, un monde minéral, pur, calme, un univers secret qui ne demande qu'à se découvrir.
A 103 mètres sous terre, dans le département du Lot, à la rencontre du Périgord et du Quercy, les légendes et la nature s'entremêlent pour faire du Gouffre de Padirac un lieu unique. Voyagez au coeur de la terre !
Dans la collection, Les Grandes années du football, Thierry Roland, avec la collaboration de Jean-Paul Vespini, raconte l'histoire du football des années 80.
Celle de la "bande à Michel Platini" et ses glorieux équipiers Amoros, Giresse, Rocheteau, Bats qui vont marquer les esprits en Coupe du monde. D'abord à Séville en 1982 où la France obtient une quatrième place inattendue malgré une demi-finale d'anthologie contre la RFA - personne n'a oublié l'agression du gardien allemand sur Patrick Battiston ! - ensuite en 1986 à Mexico où l'équipe emmenée par le sélectionneur Henri Michel gagnera contre le Brésil en quart de finale dans un match mythique pour terminer à la troisième place de la compétition.
Sans oublier l'Euro 1984 et le premier sacre international ! Ce livre riche en documents d'archive et photos d'époque est l'ouvrage tant attendu du foot des eighties écrit par le commentateur sportif de ces années de légende !
« J'ai toujours cru en mon parti, le PS.
J'ai menti pour le protéger. J'ai subi l'enfermement, l'emprisonnement pour sauver un système. J'ai payé pour d'autres. Et un jour, j'ai dit : ça suffit ! » "Ancien maire d'Hénin-Beaumont dans le Nord-Pas-de-Calais, Gérard Dalongeville a été poursuivi en 2009 pour détournement defonds publics et placé en détention en maison d'arrêt pendant huit mois. Sorti de prison, cet homme meurtri a décidé de parler pour la première fois ! et de tout raconter sur les commissions versées au parti par des entreprises du nord de la France pour obtenir des marchés publics, sur des comptes au Luxembourg, sur l'enrichissement personnel de plusieurs responsables politiques, le clientélisme, le népotisme.
Gérard Dalongeville lève le voile sur les moeurs troubles des responsables socialistes dans le Pas-de-Calais, ne laisse rien dans l'ombre, décrit dans les moindres détails les petites combines et les grandes machinations, donne des noms, des dates, des lieux, des sommes.
Le résultat est effarant et ne manque pas de soulever des questions sur les pratiques des élus de ce pays !
Rose Mafia raconte une histoire hors du commun.
Ce livre va peut-être déplaire, sûrement choquer. Il est la confession d'un homme qui tente aujourd'hui de se reconstruire et qui a placé sa confiance "
Un siècle d'Histoire et d'histoires...
C'est à un nouveau voyage passionnant - après le succès de son premier livre publié en 2010 - que nous invite Claude Cancès, l'ancien patron de la PJ parisienne. Passionnant mais différent, puisque cette fois, associé à son ami Charles Diaz, contrôleur général de la Police nationale, historien renommé et ancien du 36, Claude Cancès nous propose une Histoire du 36 illustrée. Rien d'autre qu'une plongée captivante dans les archives de la Préfecture de police et de l'Identité judiciaire ! Photographies, rapports, enquêtes, pièces à conviction, lettres et fiches - parfois inédits -, rythment les pages de cet ouvrage sur lequel on se précipite avec curiosité.
On se promène dans les coulisses de l'Histoire, la grande et la petite, de la plus ancienne à la plus récente, avec fascination, découvrant par l'image toutes ces affaires retentissantes qui ont ponctué la vie du mythique Quai des Orfèvres, croisant au passage un certain Georges Simenon, en compagnie d'un policier qui devait lui inspirer le célébrissime commissaire Maigret. Un ouvrage réalisé avec le concours et le soutien de la Préfecture de police qui a ouvert ses services et mis à disposition des auteurs les archives, pour certaines inédites, de l'Identité judiciaire.
À l'aube du troisième millénaire, le Petit Prince est bien vivant: il est présent dans chacun des livres de Saint-Exupéry, dans chacune des pages de sa trop brève existence.
Jean-Pierre Guéno a retrouvé l'enfant blond et recompose avec lui l'album de la vie de l'aviateur écrivain, illustré par ses objets fétiches et par ses souvenirs: photos, documents, dessins et lettres manuscrites. Journal intime enluminé par ses " paroles " piochées comme des pépites dans son oeuvre, dans sa correspondance, dans ses brouillons, dans ses carnets. La mémoire du Petit Prince, c'est la mémoire d'Antoine de Saint-Exupéry: celle de son enfance, de ses passions, de ses amours et de ses angoisses, celle d'un albatros mélancolique qui ne trouvait son réconfort que dans l'envol de son avion ou dans celui de son écriture, et qui lègue aux enfants du XXIe siècle les clefs de son humanisme pour mieux affronter le vertige d'une mondialisation qu'il avait su prédire.
Ce livre a l'ambition de démontrer que le dossier des disparus de Mourmelon n'aurait jamais dû être refermé, qu'il doit être rouvert, qu'il s'agit d'une véritable affaire d'Etat, tout ayant été fait pour que ce scandale n'éclabousse pas l'armée, « la grande muette ».
Ancien maire d'Hénin-Beaumont, Gérard Dalongeville a été mis en examen en 2009 pour détournement de fonds publics et placé en détention provisoire durant 8 mois. Après avoir gardé le silence face à la justice pour protéger son parti, il a révélé les pratiques plus que douteuses de nombre d'élus socialistes dans le Pas-de-Calais. À la juge d'instruction d'abord, ensuite en écrivant un livre témoignage, Rose Mafia. Il a fait savoir qu'Hénin-Beaumont était loin d'être la seule commune touchée par les irrégularités, qu'un système, beaucoup plus vaste, s'étendait sur tout le bassin minier, et même au-delà. Ce système est bâti sur des relations contraires à l'intérêt général entre les élus et les chefs d'entreprises, s'articule autour de marchés publics truqués et a pour dessein de financer l'activité politique. Mais ce système ne manque pas de servir au passage les intérêts personnels, à travers des emplois de complaisance ou fictifs, des fausses factures, des prises en charge de frais privés.
Suite à la contestation de certains faits voire le déni qui entoure ces affaires, il fallait publier les preuves matérielles et demander à un journaliste indépendant la réalisation d'une enquête sur les faits et les pratiques dénoncés par Gérard Dalongeville, au sein même du bassin minier.
Martin Leprince, correspondant à Paris du quotidien régional Nord Éclair a mené, d'un regard neutre, ses investigations sur des pratiques politiques où se mêlent soupçons et faits avérés.
Jean-Paul Brouchon raconte avec tendresse et humour les histoires les plus remarquables du Tour de France, celles qui mettent en scène des personnages quasi-légendaires et retracent des exploits inoubliables. Du créateur Henri Desgrange, journaliste et organisateur rigoureux à Jean-Marie Leblanc, son digne successeur, du duel Anquetil-Poulidor à l'affrontement Hinault-LeMond, du célébrissime Fausto Coppi au moins connu Abdelkader Zaaf, de l'écrasante supériorité d'Eddy Merckx à celle contreversée de Lance Armstrong, Une édition revue et corrigée agrémentée de huit nouvelles histoires dont un chapitre consacré au retour de Lance Amstrong.
On croit tout savoir sur Michel Drucker. Depuis bientôt un demi-siècle, l'animateur-producteur de Vivement dimanche n'a cessé de se raconter. Les articles qui lui ont été consacrés se comptent par centaines. Au fil des années, il a ainsi rédigé sa propre histoire, il a construit sa statue, ouvrant grandes les portes de sa vie privée, se laissant photographier avec sa femme, ses chiens, son vélo... La presse s'est rapidement intéressée au parcours hors norme du journaliste-saltimbanque, s'étonnant de sa force de travail, de ses journées millimétrées pour allier télévision et radio, de sa popularité qui n'a jamais faibli. Elle a tout dit de son enfance normande sous la férule d'un père qui ne rêvait que d'excellence française pour ses trois fils, de ses mauvais résultats scolaires qui ne l'ont pas empêché de réussir professionnellement ; elle a interviewé le jeune débutant du service des sports de l'ORTF, le commentateur des coupes du monde de football et le présentateur d'émissions de variétés, dont le mythique Champs-Elysées... Elle a aussi raillé sa gentillesse excessive, s'est moquée de sa connivence, a critiqué la futilité de ses programmes. En revanche, elle n'a jamais vraiment réussi à percer son intimité. A force de volonté, Michel est donc devenu Drucker, l'une des personnalités les plus familières des Français. Mais, au-delà des images toutes faites, derrière l'icône qui chaque semaine reçoit les artistes et les politiques sur son canapé rouge, que savons-nous vraiment de lui ? En suivant pas à pas Michel Drucker depuis plus de quarante ans, Franck Lacroix emboîte les pièces d'un puzzle qui se révèle beaucoup plus complexe que prévu. Avec cette première biographie. on découvre un autre Michel Drucker.
Il restera à jamais " l'ange vert ", le symbole d'une équipe stéphanoise qui a sorti le football français de sa léthargie au milieu des années 1970.
Dominique Rocheteau a marqué toute une génération. Son ascension fulgurante a fasciné. Une gueule, un look romantique avec sa longue chevelure bouclée, des dribbles déroutants, des raids flamboyants dans les défenses adverses, le jeune homme a aussitôt conquis spectateurs et médias. Dans la fièvre verte qui s'était emparée de la France entière, c'est Rocheteau que la jeunesse chérissait. Cette " Rocheteaumania " n'a pas été éphémère.
Loin de là. A la période verte a en effet succédé celle des Bleus, avec la Bande de Michel Platini, trois phases finales de Coupe du Monde de 1978 à 1986, un couronnement européen en 1984. Dans cet album-souvenirs, Dominique Rocheteau a voulu revenir sur les grands événements qui ont marqué sa carrière et la France du football, en sélectionnant les articles de presse d'époque, en les commentant. Il a également tenu à expliquer l'évolution de son jeu, donner son avis sur le football d'aujourd'hui.
C'est aussi l'occasion pour ses entraîneurs, ses équipiers de lui rendre hommage au travers de témoignages. Mais Rocheteau n'a pas été qu'un footballeur hors norme. Curieux de tout, il se passionne pour un tas d'autres choses. La musique notamment, le cinéma. Allant même jusqu'à donner la réplique à Gérard Depardieu dans un film de Maurice Pialat, Le garçu. Expérience que l'immense acteur a tenu à raconter.
Ses cahiers d'écolier, les lettres de fan, Dominique Rocheteau a recherché dans ses archives afin de faire de " son " album le reflet le plus fidèle des années " bonheur ", deux décennies 70 et 80 restées dans toutes les mémoires.
Rire de ce que les autres ne trouvent pas drôle n'est plus seulement une faute de goût, c'est désormais une incitation à la haine. Les pitres d'hier, qui paraît-il osaient tout, ont droit aux louanges. Comparé aux impertinences de Coluche, Desproges ou Hara-Kiri, l'humour actuel s'autocensure à plaisir. Que s'est-il passé ? Chacune dans son genre, l'affaire Siné, la publication des caricatures de Mahomet, ou le duel Guillon_besson, symbolise le resserrement de l'étau politiquement correct. Sous prétexte de défendre des victimes, les nouveaux gardiens de la morale, souvent chantres de valeurs de gauche, sont devenus eux-mêmes les responsables d'une société aseptisée où l'humour est maintenant réglementé.
L'Ukraine ? Le grenier à blé de la Russie, bien sûr ! La patrie des Cosaques, peut-être ! Ou encore, le Dynamo de Kiev...
Oui, mais encore ? En décembre 2004, l'Ukraine est quasiment sortie d'un anonymat dans lequel l'Occident s'était plu à confiner ce pays coincé entre l'Europe et la Russie. Durant cet hiver-là, l'Ukraine, pays indépendant depuis maintenant quatorze ans, a entrepris de faire sa révolution. Et les médias du monde entier se sont emballés. Derrière Viktor louchtchenko et lulia Tyrnochenko, charismatiques leaders de l'indépendance face au grand frère russe, les Ukrainiens ont affirmé leur volonté d'exister par eux-mêmes dans un pays libre de toute sujétion.
Avec eux, l'Ukraine se dégage de plusieurs siècles d'asservissement. L'Occident a ouvert les yeux et s'est interrogé : qu'est-ce que l'Ukraine ? Qui sont les Ukrainiens ? Quel est leur avenir, et sauront-ils trouver une place au sein de l'Europe élargie ? Ces questions, L'Ukraine en révolutions y répond au travers de l'actualité récente d'une nation bouleversée par cette saga révolutionnaire moderne, mais aussi des révolutions successives qui ont forgé son histoire.