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Oeil ouvert et coeur battant ; comment envisager et dévisager la beauté
François Cheng
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 29 Avril 2011
- 9782220063089
Au coeur du mystère du mal qui traverse notre monde, comment envisager la beauté ? Et, allant plus loin, comment la dévisager en vérité, sans fuite ni artifice ? A travers une méditation aux confins de l'Occident et de la grande tradition chinoise, François Cheng invite à cette authentique contemplation. Car par-delà la création artistique, la sainteté révèle la beauté de l'âme et se découvre l'autre mystère, celui du Beau qui justifie notre existence terrestre. Alors, nous ne pouvons entrer que pas à pas dans ce qui nous dépasse et nous transfigure. L'oeil ouvert et le coeur battant.
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Célébration du quotidien
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 11 Février 1997
- 9782220039183
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Jolie libraire dans la lumière
Frank Andriat
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 26 Janvier 2012
- 9782220063959
Elle a lu la quatrième de couverture, a frissonné d'étonnement. Ce récit ressemblait à s'y méprendre à un épisode de son existence. Elle a déposé l'ouvrage sur le comptoir et est allée ouvrir la porte de la librairie. À neuf heures, les clients sont encore rares et, dans la lumière du matin qui glissait sur la vitre, elle a commencé à lire ce texte inattendu. Les événements de notre vie, même les plus obscurs, sont posés dans la main des anges. Dans le cocon de sa librairie, une jeune femme tombe sur un récit bouleversant : elle y reconnaît un drame enfoui dans son passé. Et si cela donnait un sens nouveau à sa vie ? Un roman fort, un hommage à la puissance des livres. Après Avec l'Intime, Pont désert et Reçois et marche publiés chez Desclée de Brouwer, Frank Andriat nous offre un nouveau texte souriant et profondément humain.
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Quatre actes de présence
Sylvie Germain
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 27 Janvier 2011
- 9782220062327
Notre monde aurait-il quelque mauvaise conscience, quelque problème avec la mémoire et l'absence ? D'un côté, l'inflation mémorielle qui touche groupes et communautés pour commémorer un drame, un événement, un personnage célèbre. D'un autre, et de manière surprenante, la tentation de l'effacement, de l'oubli qui touche tant de contemporains. Tous ceux qui disparaissent sans crier gare de nos sociétés, sans qu'une protestation ne s'élève... Il y a donc sans doute urgence à faire " acte de présence ", comme y invite Sylvie Germain. Alors que nous habite la tentation du virtuel absolu, qui évacué la chair et la pesanteur des choses, l'heure n'est-elle pas au retour de ce temps présent, à ce monde-ci, quitte à y affronter le mal ou la peur ? Pour découvrir aussi que le silence est habité, au-delà de l'angoisse...
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Bréviaire du colimaçon
Jacqueline Kelen
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 7 Avril 2011
- 9782220062938
Sous ce titre à forme de fable, qui peut paraître incongru à première vue, Jacqueline Kelen n'en propose pas moins un véritable petit traité de vie spirituelle. Dans les Amitiés célestes, elle s'intéressait aux grandes amitiés spirituelles qui ont pu exister entre un homme et une femme. Mais ici, pourquoi parler du colimaçon ? Sans doute parce que la recherche de Dieu colle aussi à la terre, dans une démarche d'incarnation. Sans doute également parce que la spiritualité est une recherche entêtée, un retour et un enroulement sur soi à la découverte de Dieu. Et puis, la maturité spirituelle, la maîtrise intérieure demandent enfin du temps et de la lenteur, du silence. Autant de valeurs qui sont souvent au rebours de notre modernité.
Un texte ciselé.
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Partir, dit-on, c'est mourir un peu. Mais partir d'où, pour aller où, et qu'entend-on par mourir un peu ? Comment le verbe mourir peut-il s'accommoder d'un adverbe de quantité alors qu'il désigne un événement à chaque fois unique, définitif, absolument inquantifiable ? Il en est du verbe mourir comme du verbe aimer : leur adjoindre un adverbe de quantité, d'intensité ou de manière revient à en moduler le sens de façon radicale, l'air de rien. Il m'aime / Elle m'aime / Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie... pas du tout, scandent les amoureux sur un ton enjoué en effeuillant des marguerites. Mais la désinvolture n'est qu'un masque, le jeu s'avère bien plus sérieux qu'il n'y paraît car l'enjeu est extrême en vérité - il en va présentement, ardemment de l'amour. On risque son coeur, sa joie, son plus vif espoir. L'amour, la mort : on ne badine ni avec l'un ni avec l'autre. Effeuiller le verbe mourir ainsi qu'une fleur des champs c'est mettre à nu son propre coeur, ses pensées, son espérance. Dans ce nouveau livre, Sylvie Germain traque la dynamique de la quête spirituelle à travers le thème des pas, de l'arrachement de la mort à nous-mêmes, avec l'écriture vive et inspirée qu'on lui connaît.
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Recevoir. Me rendre capable de recevoir, prendre conscience que je suis une capacité, un espace pour l'autre. Et, pour être une capacité, cesser de vouloir me remplir. Je ne peux pas recevoir dans l'abondance, je ne peux recevoir que dans l'abandon . Cette méditation qui se développe dans le silence et dans l'écoute nous conduit à l'essentiel : nous ne vivons pas de nos forces propres, nous avançons sur le chemin parce que nous sommes avancés. Plutôt que de croire à notre puissance, il s'agit de faire confiance à notre fragilité. C'est par elle, en elle et avec elle que nous pouvons recevoir la vie qui nous offre de marcher.
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« À Port-Louis, quel temps fait-il ? C'est le printemps là-bas et il voudrait s'y rendre. Pour faire la paix avec ce fils. Pour tenter de recréer avec lui un lien malgré la présence de Maryline et d'Antoine dans leur vie. Malgré les phrases définitives... Il s'est retenu de pleurer, il n'a cueilli aucun mot pour lui rétorquer... Il a écouté claquer la porte et il s'est effondré. » Qui est ce « vieil enfant » comme le nomme tendrement sa femme qui, enfermé dans sa vie de papier, n'a pas su comprendre la détresse de son enfant, le faisant fuir à l'autre bout du monde ? Pourquoi la charmante belle-fille et le petit-fils qu'il vient de découvrir ont-ils été abandonnés par son fils ? Quel secret se cache derrière ce geste ?
Suite de Jolie libraire dans la lumière, ce nouveau roman de Frank Andriat qui chante l'écriture, l'amour et l'espérance, nous offre une réflexion profonde sur la famille, la confiance et les nondits qui creusent parfois nos vies jusqu'au désespoir. -
L'eau à la bouche ; poésie, ma saison
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 17 Février 2011
- 9782220062921
« La poésie m'a préparé à rencontrer le mystère de Dieu » écrivait le poète Serge Wellens. Oui, entre poésie et mystique, existent tant de correspondances au sens où l'entendait Baudelaire. La poésie est tout sauf un luxe. Substantielle, elle aide à vivre et celui qui l'écrit et ceux qui la lisent. En témoignent les poètes en temps de détresse : Desnos en France aussi bien qu'Anna Akhmatova en Russie ; des hommes et des femmes qui ont osé dire tout haut ce que tant d'autres souffraient tout bas. Défiant le pouvoir en place, ils ont souvent payé cher ce courage. Ne faut-il pas arracher la poésie à la tour d'ivoire dans laquelle on l'enferme, contre le gré de poètes souvent ? En parler sans jargon, avec des mots simples, afin de la rendre au grand public.
C'est le projet de ce nouveau livre de Colette Nys-Mazure qui présente une sélection de ses poètes préférés.
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Courir sous l'averse
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 8 Octobre 2009
- 9782220061405
Des femmes, des hommes rêvent, se croisent, courent sous l'averse. Quel que soit leur âge, ils éprouvent doutes et désirs, peurs et plaisir. Ils tentent de vivre au plus près d'eux-mêmes. L'enfance n'est jamais loin de la mémoire. Les obstacles et les revers du quotidien les bousculent parfois gravement, mais ils traversent, vont de l'avant. Sur le quai d'une gare, dans une chambre de malade, crié ou chuchoté, s'élève l'appel à la rencontre vraie. Pour Victor Hugo, la forme, c'est le fond qui remonte à la surface. Sous le travail de l'écriture, aussi précise qu'une broderie, se dévoile la quête de l'amour sans mesure auquel nous aspirons tous.
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L'âge de vivre
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 15 Octobre 2007
- 9782220057491
Notre société, obsédée par le vieillissement, la dégradation du corps ou celle de l'esprit, succombe au "jeunisme".
Il devient impératif pour chacun d'apparaître au mieux de sa forme, de masquer les rides, de cacher sa fatigue. qui d'entre nous échappe à cette hantise ? et si ce n'était qu'un leurre ? poursuivant le dialogue avec ses lecteurs, colette nys-mazure livre une réflexion sensible sur le temps du vieillir. avancer en âge, c'est peut-être approcher l'âge de vivre authentique, celui de recevoir différemment les autres, les choses, l'existence.
L'auteur de célébration du quotidien évoque avec bonheur les moments et les mots de la vie ordinaire. sur le ton de la conversation chaleureuse, elle allie gravité, humour et poésie.
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Un peu de mort sur le visage
Gabriel Ringlet
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 15 Octobre 1997
- 9782220041063
Le visage est notre royaume, un pays où alternent ombres et clartés, où se reflètent la joie et la souffrance.
En puisant à la fois à la source biblique et aux mots des poètes, Gabriel Ringlet médite sur cette double dimension de l'existence humaine. Il l'évoque en particulier à partir de figures de femmes, de toutes celles qui, aujourd'hui, dans le monde, soulèvent les pierres de tant de tombeaux. Comme la fleur d'amandier, elles résistent. Arrachées, elles repoussent. Déracinées, elles refleurissent. Avec un peu de mort sur le visage, elles annoncent le retour du printemps.
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Battements d'elles
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 17 Avril 2000
- 9782220047195
Après avoir célébré le quotidien, Colette Nys-Mazure a choisi de donner la parole aux femmes.
Non à travers des propos idéalistes ou démagogiques, mais à partir de leur vie concrète, d'un lieu symbolique, le monde du rail. Ces femmes, Colette Nys-Mazure les a rencontrées, puis recréées sous la forme de courtes nouvelles, comme autant de portraits, en action. " J'ai chéri ces visages, tous ces visages des différents âges de la vie j'ai été dans la locomotive et sur le quai ; j'ai communiqué, compati, ri et partagé.
J'aimerais qu'en lisant Battements d'ailes, la lectrice cheminote ou pas - se dise : "C'est bien elle, la guichetière, la bibliothécaire, la contrôleuse, c'est bien moi.'' Je souhaiterais que les hommes - cheminots ou pas - les saluent sans réserve. Singulières et différentes, soeurs, femmes. "
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Célébrations de Noël
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 13 Octobre 2000
- 9782220048307
Il vient... Temps de l'attente, temps de l'espérance, la période de l'Avent est trop souvent consacrée à l'achat des cadeaux des fêtes, à la consommation plutôt qu'à l'intériorisation du mystère de Noël. N'avons-nous pas oublié l'essentiel : la fragilité d'un tout-petit, le don de l'amour, la gratuité ?A la demande d'Henri Lambert, aumônier des artistes à la cathédrale de Bruxelles, Colette Nys-Mazure a médité autour du thème de Noël. A partir des naissances les plus quotidiennes, elle contemple la Nativité, ce surgissement qui redonne un élan à toute vie.Elle nous propose d'ouvrir les portes de l'Avent afin de voir poindre l'Emmanuel au plus profond de nous, aussi bien qu'à l'horizon de notre monde à feu et à sang.
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La rencontre de Lübeck
Gilles Cantagrel
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 24 Septembre 2015
- 9782220075846
À l'âge de vingt ans, Jean-Sébastien Bach se rend à Lubeck pour écouter le plus grand compositeur allemand de son temps, le vieux Dietrich Buxtehude. Ce voyage, il le fait à pied : quatre cents kilomètres aller, et autant au retour. Un pèlerinage. Parti pour trente jours, il est resté absent quatre mois. Que s'est-il passé à Lubeck ? Aucun document ne nous l'apprend : le temps a fait son oeuvre d'oubli, la guerre a cruellement mutilé la ville en 1942, des archives ont été détruites. N'empêche : l'influence de Buxtehude est si grande sur le génie de Bach qu'il s'est forcément produit là quelque chose d'essentiel, la transmission d'un savoir et d'une sagesse. Restait à imaginer comment. C'est ce à quoi s'est plu Gilles Cantagrel, grand connaisseur des oeuvres des deux musiciens, des documents anciens et du contexte historique. Tout ce qu'il raconte ici a pu se passer, tout est logique et plausible, même si rien ne permet d'affirmer quoi que ce soit. Il en résulte un voyage sensible dans le passé, coloré et émouvant, onirique parfois, un récit d'apprentissage ou un roman initiatique, qui mériterait d'être vrai.
Musicologue, écrivain, conférencier, enseignant, producteur d'émissionsde radio et de télévision, Gilles Cantagrel a été directeur de FranceMusique, conseiller artistique à Radio France et vice-présidentde la commission musicale de l'Union européenne de radiodiffusionet télévision. Membre du Haut Comité des commémorations nationales,il est aussi administrateur de plusieurs institutions, dont le Centrede musique baroque de Versailles, et membre du conseil de surveillancede la Fondation Bach de Leipzig. Spécialiste de Bach et de son époque,il a notamment publié : Bach en son temps, Le Moulin et la Rivière, airet variations sur Bach, Les Cantates de Bach, De Schütz à Bach. La musiquedu baroque en Allemagne, Dieterich Buxtehude et Passion Baroque. -
Qui se cache sous la silhouette de ce "prince", rencontré au détour d'un parc ? Un simple passant, un inconnu, un homme comme un autre et pourtant rayonnant d'une lumière unique? Emmanuel Godo marche sur ses traces d'une écriture haletante. Ainsi que l'écrit le poète Jean-Pierre Lemaire en ouverture, ce "prince" n'est pas sans faire penser à "celui de Dostoïevski, le prince Mychkine", mais la silhouette de celui-ci " est encore plus mystérieuse, plus proche de la frontière de ce royaume qui est notre vie même si nous savions la vivre comme il faut". A sa manière, ce livre nous introduit dans cette "poésie de charité" évoquée par Baudelaire. Et donne une chair et une figuration littéraire à l'autre, notre semblable, si mystérieux et si proche.
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Secrète présence
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 9 Février 2009
- 9782220060842
Quelle présence, toujourssecrète, discrète, pouvons-nousoffrir à ceux que nous aimons,compagnons de vie, enfants,parents, amis, collègues ?... Ni tropprès, ni trop loin, en rétablissantsans cesse le juste écart qui leuroffre sécurité et liberté. Commentproposer, sans l'imposer ni réclamerde comptes, notre amourtoujours un peu maladroit, trébuchant?Nous voudrions en effettoujours rester attentifs à la beautéautant qu'à la misère du monde...« Si ta vie quotidienne te paraîtpauvre, ne l'accuse pas, accuse-toiplutôt. Dis-toi que tu n'es pasassez poète pour en convoquerles richesses. »Rilke invite à dépasser les apparences.Alors je reprends la plumeafin de poursuivre le dialogueamorcé par Célébration du quotidien: quatorze missives scandéesde poèmes et de songes qui soustendentnotre activité diurne.Écrivain et poète, Colette Nys-Mazure a notamment publié Lefor intérieur, Contes d'espérance,Battements d'elles et surtoutCélébration du quotidien. Ellevient de signer son premier roman,Perdre pied.
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Les sentinelles de lumière
Didier Decoin
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 5 Février 2009
- 9782220060569
Tout monastère est une presqu'île où la finitude des terres pénètres comme une lame dans l'infini de la mer ; où le moine, tel Jacob encore mal réveillé et luttant pourtant avec l'ange jusqu'à la parution de l'aube, affronte le choc énorme et silencieux du divin. Or on sait le destin des presqu'îles : peu à peu, l'océan les use, les ronge et les effrite. .
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La dame du Palais-Royal
Jean Debruynne
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 5 Mars 2009
- 9782220060910
On voudrait toujours savoir ce qui est derrière la mort... Moi je crois que je ne peux pas connaître ma mort autrement que par amour... La mort et l'amour, ça se ressemble. Pour moi, la mort c'est une main qui s'ouvre et il s'en échappe d'incroyables volières... Ce n'est pas moi qu'on enterre, ce sont seulement mes souvenirs, moi je serai ailleurs là-bas, tout au fond du jardin. A travers l'histoire de Germaine et de sa révolte, Jean Debruynne propose un autre regard sur la vieillesse, au rebours d'une société qui la rejette. Et si, pour une fois, les personnes âgées prenaient la parole ?
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Contes d'espérance
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 29 Septembre 1998
- 9782220043234
Avant que de savoir écrire, l'homme a su conter pour mieux s'ouvrir au mystère du monde, au rêve, à l'audace, à l'imagination, au désir.
Les contes que nous offre ici colette nys-mazure n'appartiennent pas pourtant au genre du fantastique ou de l'exceptionnel. elle les a puisés d'abord à cette source qui l'inspire avec tant de bonheur : le quotidien des jours, la rencontre des visages. celui d'antoinette qui sait qu'elle va mourir mais qui attend la naissance de l'enfant avant de s'en aller. celui de monsieur brice, l'instituteur retraité, qui n'en revient pas d'avoir allumé le plaisir d'apprendre dans les yeux de ces deux garçons qu'on prenait pour des cancres.
Celui de chantal avec son amour impossible. et tant d'autres, rencontrés.
Il faut lire ces contes comme de " modernes paraboles ", écrit claude goure dans sa préface : " a un moment précis, mystérieusement, il suffit d'un regard, d'un peu de tendresse, d'un peu d'amour pour se sentir aimé. " miracle du quotidien ordinaire, miracle de noël toujours recommencé.
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Perdre pied
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 14 Novembre 2008
- 9782220060422
Tous les chemins mènent à la mer.
Sur cette plage du nord, un peintre a posé son chevalet. il peint le ciel changeant, les silhouettes en vacances. mais voici qu'un cheval fou fend l'espace et révèle à chacun sa part de rêve et de souffrance. résidents ou locataires, qu'on ait cinq ou soixante-quinze ans, il arrive qu'on perde pied : on se pose les questions vitales et on cherche un écho près des autres. le jeune homme en fauteuil roulant écoute l'adolescente en mal de père ; une famille nombreuse joue non loin d'une femme esseulée ; un couple savoure la joie de vieillir ensemble.
Les solitudes sont avides d'attention, de tendresse et d'apaisement. mais comment reprendre pied lorsque la vague trop forte a bousculé le fragile équilibre ? dans ce roman, l'auteur de célébration du quotidien poursuit son exploration des visages et des paysages, des choses de la vie, en quête de l'essentiel sous les apparences.
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La secrète présence
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 1 Septembre 2001
- 9782220049687
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La mère et le fils
Florence Mauro
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 22 Octobre 2002
- 9782220052090
Quel lien mystérieux unit, depuis la conception jusqu'à la mort, une mère à son fils ? Quel fil se tisse à travers la chair, les attaches affectives, les douleurs et les joies partagées, dans le secret de deux vies ?
S'appuyant sur les représentations proposées par la peinture italienne du Quattrocento, l'Annonciation, la Nativité, les Vierges à l'Enfant, les Noces de Cana, la Crucifixion ou la Mise au tombeau, Florence Mauro plonge dans une réalité humaine forte qui dépasse la seule approche religieuse ou psychologique. Car les acteurs de ces scènes, selon ses propres mots, sont comme les inventeurs d'une histoire de la conscience. Annonciation, dévotion, incarnation, passion... . Ils rejoignent chacun de nous, dans une intimité profonde. -
Singulières et plurielles
Colette Nys-Mazure
- Desclee De Brouwer
- Litterature Ouverte
- 9 Octobre 2002
- 9782220052076
Pourquoi une femme parle-t-elle des femmes ? Peut-être parce que ce sont souvent des hommes qui ont écrit sur elles, en leur lieu et place. J'ai eu envie de tracer une suite de portraits en mouvement, d'instantanés. De saisir, par les rues de ce temps, des femmes successives et simultanées. Silhouettes furtives ou avérées. Les routinières et les originales, les libres et les entravées selon l'heure et les circonstances. Des lumineuses par intermittence, des timides dans la pénombre. Alertes ou douloureuses. About de souffle puis animées d'un regain. Les nourricières et les perpétuelles affamées, mères et filles, solitaires. Les silencieuses. Et toutes ces étrangères, innommées, fascinantes. Elles m'apparaissent singulières, uniques, irréductibles. Provoquant l'émoi, l'effroi, le désir parfois de les retenir, de les annexer. Plurielles, innombrables, passées, à venir. Toujours des femmes à aimer en deçà et par-delà les ombres et les clartés.