jean francois revel
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En quoi consiste le bouddhisme ? Pourquoi fait-il aujourd'hui tant d'adeptes en Occident ?
Ce livre est né de circonstances exceptionnelles dans l'histoire des hommes et des idées. Matthieu Ricard, docteur en biologie, s'est installé en Asie et est devenu moine tibétain auprès de son maître le Dalaï-Lama. Tout semble désormais l'opposer intellectuellement à son père, Jean-François Revel, philosophe agnostique déclaré. Mais les deux hommes n'ont jamais cessé de se voir et, dans la solitude du Népal, ils décident de confronter leurs interrogations réciproques au cours d'entretiens spontanés d'une lumineuse intelligence. -
Physiologie du goût
Jean Anthelme Brillat-Savarin
- Flammarion
- Champs Classiques
- 4 Octobre 2017
- 9782081416482
La Physiologie du goût est un recueil de mémoires. Mémoires d'humour, dans le ton héroï-comique, ou comment traiter de matières familières avec un rien de noblesse, un zeste de pompe ou de solennité. Cela pourrait lasser, si tout ne baignait dans la modestie et la gaieté. Brillat-Savarin est l'auteur le plus aimable qui soit. Mais il est question de cuisine. Brillat-Savarin inaugure avec génie cette intellectualisation de la gastronomie qui ne devait pas cesser jusqu'à nos jours. Il est témoin de l'époque où s'impose le restaurant, lieu pour manger, au détriment de l'auberge, refuge du voyageur sans feu ni lieu, où l'on ne faisait guère que boire et se nourrir. La cuisine se professionnalise et toute profession suscite discours ; se mettre à table est affaire de langage. Au-delà du besoin de manger, le plaisir de la table est comme une mise en scène : le luxe du désir. La nourriture désirée est une sorte de cérémonie par laquelle l'homme célèbre son pouvoir, sa liberté de brûler son énergie «pour rien». «En ce sens, dit Roland Barthes, le livre de Brillat-Savarin est de bout en bout le livre du proprement humain, car c'est le désir (en ce qu'il se parle) qui distingue l'homme.»
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Une anthologie est, au sens littéral, un florilège. Et pas plus qu'un bouquet de fleurs n'est un cours de botanique, une anthologie de la poésie n'est ou ne devrait être un cours d'histoire littéraire, un répertoire didactique ou un de ces compromis équilibrés dans lesquels tous les poètes se voient attribuer, à peu de chose près, le même espace. Tout comme la collection de disques du mélomane, ou la collection de tableaux de l'amateur de peinture, une anthologie doit obéir à des critères purement esthétiques.
C'est ce qui la distingue des simples « morceaux choisis ». Donc, elle reflète un goût. Aussi la présente anthologie est-elle une des anthologies possibles de la poésie française, et non une moyenne de tous les goûts possibles. Ayant choisi en fonction de la seule beauté telle que nous la ressentons, nous avons refusé toute ambition historique ou encyclopédique : on trouvera donc les poètes dans ce volume selon l'ordre alphabétique.
Dans de très nombreux cas, le choix proposé ici coïncide avec le choix consacré par la tradition ou les réputations. Dans d'autres cas, il s'en écarte et récuse ces réputations, au risque de scandaliser. En revanche, à côté d'exclusions significatives, il comporte des inclusions inattendues. Le sens d'une anthologie ne peut-être que de raviver la sensibilité poétique en remettant sans cesse en doute la question de ce qui est et de ce qui n'est pas de la poésie.
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La Physiologie du goût est un recueil de mémoires. Mémoires d'humour, dans le ton héroï-comique, ou comment traiter de matières familières avec un rien de noblesse, un zeste de pompe ou de solennité. Cela pourrait lasser, si tout ne baignait dans la modestie et la gaieté. Brillat-Savarin est l'auteur le plus aimable qui soit. Mais il est question de cuisine. Brillat-Savarin inaugure avec génie cette intellectualisation de la gastronomie qui ne devait pas cesser jusqu'à nos jours. Il est témoin de l'époque où s'impose le restaurant, lieu pour manger, au détriment de l'auberge, refuge du voyageur sans feu ni lieu, où l'on ne faisait guère que boire et se nourrir. La cuisine se professionnalise et toute profession suscite discours ; se mettre à table est affaire de langage. Au-delà du besoin de manger, le plaisir de la table est comme une mise en scène : le luxe du désir. La nourriture désirée est une sorte de cérémonie par laquelle l'homme célèbre son pouvoir, sa liberté de brûler son énergie «pour rien». «En ce sens, dit Roland Barthes, le livre de Brillat-Savarin est de bout en bout le livre du "proprement humain", car c'est le désir (en ce qu'il se parle) qui distingue l'homme.»
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Un festin en paroles : histoire littéraire de la sensibilité gastronomique de l'Antiquité à nos jours
Jean-François Revel
- Tallandier
- Texto
- 3 Juin 2021
- 9791021048829
La littérature sur l'art de la cuisine est presque aussi ancienne que la cuisine elle-même. Pourtant, il est souvent difficile de se faire une idée précise, palpable, concrète des cuisines du passé. Quel goût avaient les vins que buvaient César ou Horace ? Quelle saveur avaient les ragoûts du Moyenâge ou les pâtés rabelaisiens ? Et les traités de cuisine d'antan restent souvent obscurs pour les profanes de notre époque. C'est au détour de mémoires, de correspondances, de romans, à travers nombre de témoignages spontanés, et dont le but était tout autre, que Jean-François Revel a retrouvé la trace de ces mets disparus. Une succulente promenade littéraire à travers trois mille ans de souvenirs et de révolutions gastronomiques.
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L'originalité de l'essai de Jean-François Revel consiste à juger le roman de Proust en « lecture directe » et non pas à travers les idées esthétiques professées par l'auteur et reprises par ses commentateurs. La théorie bergsonienne de la « double mémoire », postulat philosophique de l'oeuvre, est, littérairement, son apport le plus faible. Quant à la célèbre « continuité proustienne », quant au sens aigu du déroulement temporel, ils n'existent pas. Le génie de Proust est non pas d'avoir révolutionné la forme du roman mais d'avoir inventé un roman sans forme, une nouvelle matière romanesque. Proust a fait sien l'axiome de Ruskin pour qui « le devoir de l'écrivain est de percevoir la réalité » et, dans son oeuvre, il a porté cette exigence à sa plus haute expression, de telle manière que l'art et la vie s'y trouvent indissolublement liés. Il n'est pas pour autant un écrivain naturaliste. C'est un visionnaire : mais comme Saint-Simon ou Tacite, un visionnaire du vécu.
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L'abécédaire de Jean-François Revel
Jean-François Revel
- Allary Éditions
- 3 Novembre 2016
- 9782370731043
Philosophe, journaliste, éditeur, critique d'art, pamphlétaire, gastronome érudit : le talent si singulier de Jean-François Revel s'est illustré de multiples façons. Chaque fois, il a manifesté la même indépendance d'esprit, le même désir d'être compris par le plus grand nombre, sans vulgariser ni banaliser la réflexion.
Plus qu'un florilège de citations, cet abécédaire est une invitation à lire et relire une oeuvre mordante et clairvoyante. D'une étonnante actualité, la pensée de Revel frappe par le trait polémique et l'ironie, usant d'une constante liberté de ton face à toutes les formes de dogmatisme.
Même sur des sujets graves, il savait convaincre avec un humour décapant. Comme il le disait à propos de son ami Simon Leys : « Au siècle du mensonge, parfois, la vérité relève la tête et éclate de rire ».
« Composé par des amis et complices de Revel, comme j'ai eu la chance de l'être moi-même, cet abécédaire me remet en mémoire ce que je disais au lendemain de sa mort pour lui rendre hommage : cher Jean-François, nous allons te regretter. Dix ans plus tard, le voici tel qu'en lui-même, et toujours actuel, ce combattant de la liberté d'une décapante et magnifique lucidité ».
Mario Vargas Llosa
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Du jeune Marseillais né en Afrique portugaise jusqu'au familier des grands, on découvre un homme et une vie d'une exceptionnelle richesse.
Après vingt-cinq ouvrages publiés en quarante années, avec le retentissement mondial que l'on sait, Jean-François Revel a écrit celui qui, sans doute, lui tenait le plus à coeur : des Mémoires où il livre, à sa fantaisie, le sel de sa vie, laquelle n'en a pas manqué. De l'écolier marseillais à qui les quatre cents coups ne faisaient pas peur, jusqu'au directeur de L'Express, familier des plus grands, l'invitation au voyage, à travers le monde et à l'intérieur de soi-même, tient toutes ses promesses. Occupation et Résistance à la fois tragiques et burlesques, rencontres et portraits, longs dépaysements en Algérie, au Mexique, en Italie, qui forment un écrivain à la fois cosmopolite et très français, servitudes et grandeur du journalisme - la plume acide, affectueuse ou inspirée de l'auteur fait merveille, dans le registre de l'émotion comme dans celui de l'humour.
Elle brille en particulier dans les portraits, tant de personnages obscurs mais prodigieusement pittoresques, que de personnalités célèbres dans la politique, le cinéma, la littérature, la philosophie, l'édition, les affaires ou les arts, que l'auteur a connus, parfois intimement : François Mitterrand, Luis Bunuel, Louis Althusser, Jimmy Goldsmith, Raymond Aron, Cioran, de grands résistants comme Charles Tillon ou le colonel Rémy prennent un relief inattendu.
Le titre Le Voleur dans la maison vide s'inspire d'un proverbe bouddhiste : tout homme entre dans la vie comme un voleur qui s'introduit dans une maison pour s'apercevoir, en fin de compte, qu'elle est vide. Non pas que Revel soit pessimiste : il a participé aux grandes batailles idéologiques du siècle et peut être tenu pour l'un de ceux qui y ont vu clair le plus tôt. Mais aucune victoire n'est garante de l'avenir.
Ne pas se prendre au sérieux et se prendre au sérieux : Jean-François Revel applique l'axiome à la lettre dans ce livre de Mémoires hors norme qui sous ses apparences de simplicité et d'improvisation souvent joyeuse, cache un travail subtil de composition. Le bonheur d'écriture, lui, ne fait jamais défaut. -
Histoire de la philosophie occidentale
Jean-François Revel
- Agora
- 18 Février 2003
- 9782266132428
La philosophie a la réputation non usurpée d'être une discipline d'accès difficile.
Les philosophes s'expriment avec plaisir dans une langue obscure réservée aux initiés. jean-françois revel rend limpide la philosophie, clairs et intelligibles les grandes théories et les mouvements philosophiques. ce livre ne vulgarise pas la philosophie occidentale mais permet enfin de comprendre quel a été, de l'antiquité à nos jours, ce choc des idées qui a formé nos croyances, notre manière de penser.
De pythagore à socrate, de platon à aristote, des epicuriens aux stoïciens, de montaigne à pascal, d'erasme à bacon, de descartes à spinoza et à leibniz, voici des portraits souvent impertinents mais toujours impartiaux ; voici expliquées les idées et les oeuvres des grands philosophes et de la pensée occidentale. une histoire à portée de l'étudiant ou de l'honnête homme du xxie siècle.
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Le style du Général ; de la légende vivante au mythe posthume
Jean-françois Revel
- Complexe
- 7 Mai 2008
- 9782804801496
Voici donc un exercice de sémiologie politique et d'analyse stylistique qui, comme dévoilement de la pratique du pouvoir, n'a rien perdu de son actualité en ces temps où, cinquante ans après le retour de De Gaulle, un nouveau manieur ambigu des mots se trouve à la tête de la République.
En juin 1959, un an après le retour au pouvoir de De Gaulle, quelques mois après la fondation de la Ve République et l'élection du « plus illustre des Français » comme président de la République, Jean-François Revel, alors jeune intellectuel et journaliste de 35 ans, publie Le Style du Général, que The Observer, à Londres, salue comme « le premier pamphlet antigaulliste de l'histoire de la Ve République ».
Un pamphlet ? Certes oui, car le réquisitoire est sévère sur la « manie de grandeur » d'un homme qui se considère comme une « incarnation perpétuelle de la France éternelle ». Mais il s'agit également d'une analyse approfondie de la langue du général de Gaulle, soulignant ses approximations et ses enflures, traduisant une pensée profondément conservatrice.
Antigaulliste ? Sans doute, puisque Jean-François Revel ne partage pas l'enthousiasme des thuriféraires du nouveau régime. Mais ce texte montre également en quoi De Gaulle est un maître virtuose dans l'art de gouverner par le verbe.
Voici donc un exercice de sémiologie politique et d'analyse stylistique qui, comme dévoilement de la pratique du pouvoir, n'a rien perdu de son actualité en ces temps où, cinquante ans après le retour de De Gaulle, un nouveau manieur ambigu des mots se trouve à la tête de la République.
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Jean-François Revel va droit à la question clé de notre temps, à savoir le lent glissement qui nous fait consentir à l'impérialisme soviétique. Les démocraties ne vont pas mal, dit-il. Et elles ne sont plus, comme dans les années trente par exemple, menacées par une gangrène intérieure. Mais tout se passe comme si elles avaient par avance abdiqué devant la force. Comme si les cadres mentaux étaient prêts, déjà, pour accepter la servitude. Et comme si, avant même que de livrer bataille, nous nous étions résignés à l'inévitable. Ce livre, autrement dit, n'est pas le énième livre sur le totalitarisme. C'est le premier qui pose, avec cette rigueur et cette lucidité, le problème du destin des démocraties ; ces régimes bénis qui pourraient bien apparaître très bientôt comme de minces et précaires parenthèses à la surface de notre histoire. Et si la démocratie n'était qu'une infime péripétie ? Et si notre Occident s'avérait n'être qu'un accident ? Et si, non point par la force ni les chars seuls, mais par une sourde entropie dont nous serions les acteurs, le totalitarisme devenait le destin même de la planète ?
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Jean-François Revel avait déjà acquis une large célébrité lorsque, en 1993, à presque 70 ans, il s'engagea dans une aventure toute nouvelle : la rédaction de ses Mémoires. Cette éblouissante traversée d'un demi-siècle d'histoire, de culture et de rencontres confirma que l'écrivain n'était inférieur ni au philosophe ni à l'essayiste. En janvier 1997 parut Le Voleur dans la maison vide. L'événement fut à la hauteur de ses ambitions, Revel s'inscrivant dans la lignée des plus grands mémorialistes, celle du cardinal de Retz et de Saint-Simon.
L'ouvrage parcourt un territoire foisonnant, de l'enfance marseillaise à la direction de L'Express, de la Résistance, où Revel fut très actif, aux séjours mexicain et italien, hauts en couleur, de ses amitiés avec Breton, Bunuel, Raymond Aron ou Vargas Llosa à son bref compagnonnage avec François Mitterrand, des subtilités de la gastronomie aux pièges de l'alcool... Portés par un sens saisissant du récit et du portrait, ces Mémoires au style inimitable illustrent ce que valent, chez un homme d'une inlassable curiosité, pourfendeur des idées reçues, le courage du caractère et la force de l'esprit.
Dans cette édition définitive figurent un chapitre qui avait été retiré du manuscrit originel du Voleur dans la maison vide et cinq autres entièrement inédits initialement destinés à former, sous le titre pittoresque de Bada, une suite qui fut interrompue par la maladie et la mort de l'auteur. Encore enrichi ici d'entretiens donnés en juin 2002 à France Culture, ce témoignage s'impose comme une oeuvre politique et intellectuelle de premier ordre. -
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Jean-François Revel pourquoi des philosophes
Jean-françois Revel
- Bouquins
- 17 Janvier 1997
- 9782221079737
Lorsque, en 1957, Jean-François Revel publie Pourquoi des philosophes, une controverse, souvent polémique, s'élève autour de ce mince livre. Il connaît le succès non seulement parmi les intellectuels, mais dans le grand public, et se voit décerner le prix Fénéon par un jury comprenant, entre autres, Louis Aragon et Jean Paulhan. C'est que l'auteur y remet en question les fondements de la philosophie, ne se bornant pas à la philosophie contemporaine, mais remontant aux origines de cette discipline, notamment à son statut depuis la naissance de la science moderne, au XVIIe siècle. Il montre en particulier que Descartes est non pas le premier penseur scientifique moderne, mais le dernier philosophe médiéval (Descartes inutile et incertain, 1976). Les principaux éléments de la discussion autour de Pourquoi des philosophes fournissent la matière de La cabale des dévots (1962), où l'auteur répond à ses objecteurs. Ces textes révèlent aux lecteurs un style critique nouveau, que l'on a défini " voir ce que tout le monde a vu, penser ce que personne n'a pensé ". Revel l'applique aussi bien au récit de voyage (Pour l'Italie, 1958) qu'à la critique littéraire (Sur Proust, 1960) et à son activité d'éditorialiste dans la grande presse (Contrecensures, 1966).
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L'absolutisme inefficace ; ou contre le présidentialisme à la française
Jean-françois Revel
- Agora
- 27 Août 1993
- 9782266060912
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L'histoire de la philosophie occidentale
Jean-françois Revel
- Agora
- 15 Décembre 1997
- 9782266067911
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Histoire de la philosophie occidentale de Thalès à Kant
Jean-françois Revel
- Nil
- 1 Mars 1994
- 9782841110056
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Les éditoriaux de Jean-François Revel comptent depuis trente ans parmi les plus influents de la presse française. On l'a souvent comparé à Raymond Aron pour l'exactitude de ses analyses, et aux écrivains du XVIIIe siècle pour la vivacité de son style. Chroniqueur politique et littéraire, il a toujours été suivi par un très large public, d'abord à L'Express de 1966 à 1981 puis au Point à partir de cette date.
Les chroniques qu'on lira ici s'échelonnent sur les deux dernières décennies. A des articles du Point s'ajoutent quelques papiers parus dans la presse étrangère puisque Revel, jouissant d'une réputation internationale, a également collaboré à des journaux italiens, américains, espagnols et latino-américains.
La période couverte par ces textes est probablement l'une des plus décisives, sinon la plus décisive du XXe siècle. C'est, en effet, durant ces années que l'humanité aura vu se désagréger les grands systèmes totalitaires communistes qui, il y a encore quinze ans, couvraient la majeure partie de l'Europe et de l'Asie, et poursuivaient leur expansion tant en Afghanistan qu'en Afrique et en Amérique centrale. Et en même temps qu'une révolution politique et économique, les deux dernières décennies du siècles ont vécu une importante révolution culturelle, à travers, en particulier, la disparition des grands systèmes d'explication du monde au profit d'une philosophie plus proche des hommes.
Avec l'effacement des grands systèmes totalitaires dans l'ordre de la pratique et des grands systèmes philosophiques dans l'ordre de la théorie, c'est au fond à la renaissance de l'individu, de la pensée et de la liberté individuelle que Revel nous fait assister pas à pas, épinglant à l'occasion les ridicules du temps, maniant la satire avec autant de bonheur que l'analyse. -
La grande parade ; essai sur la survie de l'utopie socialiste
Jean-françois Revel
- Plon
- 17 Février 2000
- 9782259190565