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frederique pressmann
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Le passeur
Lois Lowry, Frederique Pressmann
- L'École des loisirs
- Medium Poche
- 15 Juin 2016
- 9782211205825
Dans le monde où vit Jonas, la guerre, la pauvreté, le chômage, le divorce n'existent pas. Les inégalités n'existent pas. La désobéissance et la révolte n'existent pas. L'harmonie règne dans les cellules familiales constituées avec soin par le comité des sages. Les personnes trop âgées, ainsi que les nouveaux-nés inaptes sont « élargis », personne ne sait exactement ce que cela veut dire. Dans la communauté, une seule personne détient véritablement le savoir : c'est le dépositaire de la mémoire. Lui seul sait comment était le monde, des générations plus tôt, quand il y avait encore des animaux, quand l'oeil humain pouvait encore voir les couleurs, quand les gens tombaient amoureux. Dans quelques jours, Jonas aura douze ans. Au cours d'une grande cérémonie, il se verra attribuer, comme tous les enfants de son âge, sa future fonction dans la communauté. Jonas ne sait pas encore qu'il est unique. Un destin extraordinaire l'attend. Un destin qui peut le détruire.
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Les moissons funèbres
Jesmyn Ward, Frederique Pressmann
- 10/18
- Litterature Etrangere
- 7 Février 2019
- 9782264070739
En l'espace de quatre ans, cinq jeunes hommes noirs avec lesquels Jesmyn Ward a grandi sont morts dans des circonstances violentes. Ces décès n'avaient aucun lien entre eux si ce n'est le spectre puissant de la pauvreté et du racisme qui balise l'entrée dans l'âge adulte des jeunes hommes issus de la communauté africaine-américaine. Dans Les Moissons funèbres, livre devenu instantanément un classique de la littérature américaine, Jesmyn Ward raconte les difficultés rencontrées par la population rurale du Sud des États-Unis à laquelle elle appartient et porte tant d'affection.
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Les enfants du Bronx
Adrian nicole Leblanc
- Éditions de l'Olivier
- Replay
- 8 Octobre 2015
- 9782823609158
« Certains livres vous marquent de façon si intime, si puissante, qu'on voudrait voir le monde entier s'émerveiller tout en rêvant de les garder encore un peu pour soi tout seul. (...) En tout cas, vous qui n'avez pas encore commencé ce livre, vous avez beaucoup de chance : vous ne le savez pas encore, mais vous venez de gagner une deuxième vie. »
Florence Aubenas
Adrian Nicole LeBlanc n'a que 25 ans lorsque son journal l'envoie couvrir le procès de « Boy George », un jeune trafiquant d'héroïne portoricain du Bronx. Pour mieux comprendre, elle s'immerge dans le ghetto où vit la famille de Boy George. Son enquête durera douze ans.
Unique en son genre, Les Enfants du Bronx décrit au jour le jour la vie de cette famille qui a adopté la journaliste comme une des leurs. Adrian Nicole LeBlanc raconte tout : la drogue, l'argent, la misère, les amours adolescentes, les mariages, la violence, les enfants nés trop tôt, dans cet extraordinaire reportage semblable à un roman où tout serait vrai. -
Voyage à birmingham
Christopher paul Curtis, Frederique Pressmann
- L'École des loisirs
- Medium Poche
- 10 Février 2021
- 9782211001243
La vie quotidienne de la famille Watson, dans l'état du Michigan au début des années 60, est celle d'une famille noire des plus normales, avec son lot de bons souvenirs, de chamailleries, de projets raisonnables et de serrages de vis. Joetta est une bonne petite, Kenny travaille si bien à l'école que tout le monde l'appelle Einstein. Mais Byron, le fils aîné, est en train de mal tourner. Alors, pour lui apprendre à vivre tant qu'il en est encore temps, les parents décident de l'envoyer en pension chez sa grand-mère du Sud, là où la vie est difficile pour les Noirs, là où leurs toilettes, leurs autobus, leurs écoles et leurs églises sont séparées de celles des Blancs. Tout le monde profite des grandes vacances pour l'accompagner, et pour que ce long voyage soit tout de même une partie de plaisir, Papa Watson équipe sa voiture, la Grosse Bombe, d'une électrophone dernier-cri où chacun peut jouer ses disques préférés. Et la famille prend la route, avec sandwiches au beurre de cacahuète et bagages. C'est l'été 1963. Dans le Sud, le mouvement pour les droits civiques bat son plein, les foules noires protestent pacifiquement contre la ségrégation, les racistes ripostent en posant des bombes jusque dans les églises. C'est l'été 1963. Il fait chaud. Dans quinze jours, le 15 septembre, Martin Luther King prononcera son immortel discours : " J'ai fait un rêve..."