Jeunesse
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Au Mali, comme beaucoup d'autres, Kounandi, 13 ans, joue au foot sur des terrains de fortune, ballon de chiffon au pied, en rêvant de devenir une idole des stades. Aussi, lorsqu'un agent en costume et chaussures cirées, un Italien nommé Trapani, le repère, il se voit déjà en haut de l'affiche, devenir l'un de ces footballeurs africains ayant intégré un grand club européen. Mais il y a une condition posée par ce recruteur : 2000 euros pour financer son départ en France. Somme colossale pour la famille de Kounandi, qui va pourtant réussir à la payer, en faisant appel à la tontine. Le rêve de gloire est en marche.
Mais, sitôt arrivé en France, Kounandi va se retrouver, comme d'autres mineurs africains, pris au piège de ces recruteurs sans scrupules. Son passeport lui est confisqué, et le voilà avec d'autres compagnons d'infortune tenu de prouver sa valeur sur le terrain. Lors de tournois de jeunes footballeurs, ils sont souvent humiliés face à des joueurs français mieux entraînés et en bonne condition physique.
Jugé pas assez rapide, ne maîtrisant pas les techniques de jeu, Kounandi se retrouve rapidement avec d'autres abandonné dans un hôtel miteux, sans papiers ni argent. Commence alors le début d'une longue errance.
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Placé dans un internat pour garçons difficiles, Erwan est envoyé en stage dans un centre équestre, après une fugue. Ce garçon métis, né d'un père sénégalais et d'une mère bretonne, est habitué à se battre, à la moindre remarque sur sa couleur de peau. Et il rêve de devenir boxeur. Face à Gilbert, le directeur du centre, qui lance des blagues racistes sans même s'en rendre compte, il va devoir apprendre à ne plus réagir au quart de tour. Un beau portrait d'adolescent à la dérive trouvant enfin à canaliser sa violence.
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Depuis que ses parents se sont séparés, Chloé ne veut plus voir sa mère et habite sur la péniche familiale, avec son père et son petit frère, Olivier. Car depuis la séparation, la colère ne quitte plus l'adolescente, qui n'arrive pas à pardonner à sa mère d'avoir « brisé » la famille. Dans ce roman émouvant, Ahmed Kalouaz fait le choix judicieux d'alterner les chapitres entre fille et mère, donnant les deux points de vue... en laissant au lecteur l'espoir d'une réconciliation. Un roman qui parlera très fort à tous ceux, enfants ou parents, traversant l'épreuve du divorce.
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C'est la rentrée des classes, au collège Condorcet : Laure a le ventre noué, car depuis plusieurs années elle est la cible d'une bande de filles.
Elles la harcèlent en prenant prétexte de l'amitié qu'elle porte à un garçon considéré comme différent, car trop « intello ». Fille unique aux parents plutôt attentifs, elle n'a pourtant jamais osé leur en parler.
L'année reprend donc et avec elle ses tourments. Dans le bus qui l'amène au collège, à la cantine, durant la récréation, Émilie la meneuse et ses complices lui font vivre un enfer.
Et comme les années précédentes, Laure encaisse en silence. Ses notes baissent beaucoup, elle n'arrive toujours pas à se confier, même à sa tante chez qui elle va passer les vacances de la Toussaint.
Pourtant elle va finir par réagir, lorsque d'autres élèves deviennent la cible, comme ce garçon réfugié de Syrie qui se fait violemment agresser.
Laure arrive enfin à prendre rendez-vous avec la principale.
Dans ce roman émouvant et fort, Ahmed Kalouaz décrypte remarquablement le mécanisme du harcèlement, notamment la difficulté que les victimes ont à parler.
Un livre nécessaire.
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« Un sacré coup de batte à hauteur du genou » : c'est ce que Félix a asséné à l'entraîneur de son club d'athlétisme, quand Charlotte lui a appris que ce dernier avait les mains baladeuses. Félix ne regrette rien. Mais la vague #MeToo n'a pas atteint ce village perché de Haute-Savoie, et pour l'enquêteur chargé de l'affaire, il n'y a pas de pédophile qui tienne : le coupable, c'est Félix, qu'il considère comme une graine de voyou. L'adolescent sera-t-il seul sur le chemin de la vérité et de la justice ?
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Le père de Théo a disparu depuis deux semaines. Un voisin dit l'avoir aperçu dans une rue de Grenoble, à la dérive. Parti à sa recherche, l'adolescent va découvrir durant trois jours le monde des sans-domicile-fixe, leurs terribles conditions de vie, leur histoire personnelle, ainsi que l'aide que leur apportent les équipes de maraude. Dans une belle langue, un roman émouvant sur le peuple souterrain des grandes villes.
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il a quinze ans.
il court, coeur cognant dans la poitrine, après son père enfui. ses pieds frappent le sol, et des mots viennent. il parle de ce qu'on ne lui demande jamais : des tziganes - son peuple que personne n'a réussi à enchaîner mais dont le cercle des voyages se resserre -, de la séparation, de sa route à lui, nouvelle, avec les livres...
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Childéric passe ses vacances d'été en Bretagne.
Ses parents font appel aux services d'un grand-père d'été qui s'occupe de Chidéric pendant qu'ils se reposent. Cette année, le grand-père parle anglais, conduit un sidecar et ne se déplace jamais sans son chien Lasco. Un grand-père rock'n roll pour un été rock'n roll qui va mener Childéric sur la piste des mystérieuses disparitions de chiens à la une des journaux locaux. Une enquête haletante, une belle amitié entre un jeune garçon et un grand-père, le tout dans une Bretagne estivale.
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L'année scolaire se termine et à la rentrée prochaine, Juliette rejoindra la « cour des grands », au lycée. En attendant, elle doit partir pour dix jours en camp de canoë avec le centre de loisirs, en Ardèche. Au dernier moment Léa, une copine de classe, s'inscrit dans le même groupe. Elles ne se ressemblent pas vraiment, l'une et l'autre, même si elles s'apprécient.
Léa est un peu trop souvent amoureuse, au goût de Juliette :
Elle, les garçons, « c'est pas son genre ».
Balazuc, le village où campe la colonie, est magnifique au-dessus de l'Ardèche. Entre deux initiations au canoë, les filles rencontrent à la buvette d'un hameau un garçon, Nicolas, qui ose à peine leur parler. Mais le village est tout petit.
Le recroisant à plusieurs reprises, elles apprennent qu'il loge chez sa tante pour les vacances, au hameau qu'elle a restauré, et qu'il l'aide pour les chèvres. Il est mystérieux et rêveur, beau aussi.
Alors, comme dans les descentes en canoë, Juliette commence à sentir son coeur chavirer. C'est elle qui doit faire les « avances », car Nicolas est maladivement timide.
Son temps, il le passe en solitaire à écrire des vers sur des galets de la rivière. Une relation amoureuse se noue très vite entre eux, pour qui c'est la première fois. Une très belle histoire où ils apprennent à se parler - il lui dit enfin ses peurs - à s'embrasser, à se caresser, dans ce temps compté d'une colonie de vacances.
Ahmed Kalouaz a écrit avec beaucoup de poésie, de subtilité, et de sensualité aussi, ce premier amour heureux. Ni fleur bleue ni tourmenté - c'est si rare en littérature ado ! - ce roman devrait vraiment séduire !
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Childéric passe des vacances de Pâques dans un petit village tranquille du Cantal avec ses parents. Quand il apprend que M. Signol est de passage, il sent, pour son plus grand plaisir, que ces quelques jours vont se teinter d'aventure !
Rien à voir, en effet, entre visiter les monuments de la région avec son historien de père et parcourir les chemins du Cantal et de l'Aveyron sur le quad de grand-père Signol !
D'autant qu'à peine ont-ils entrepris de visiter quelques étapes du chemin de St Jacques de Compostelle, qu'ils entendent parler d'une série de vols touchant les églises alentour.
Est-ce que ces vols ont un lien ?
Childéric et M. Signol retrouvent immédiatement leurs habits de détectives et tentent de mener l'enquête en interrogeant les habitants et en se laissant guider par leur flair. et celui de Lasco !
Des fausses pistes, des personnages louches, des témoins, des amis bienveillants et une course poursuite jallonnent le parcours de Childéric et M. Signol qui, à force de curiosité et de persévérance, parviennent à croiser la route du voleur.
Ahmed Kalouaz fait renaître la belle connivence entre Childéric, jeune garçon toujours prêt à sortir de ses devoirs de vacances, et M. Signol, grand-père haut en couleur.
Dans ce roman, qui peut être lu indépendamment du précédent, c'est l'Aveyron et le chemin de St Jacques qui tiennent lieu de toile de fond.
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Au milieu du XIXe siècle, les aventures d'un jeune garçon, Hippolyte, enfermé dans la colonie pénitentiaire de Boussaroque, dans le Cantal. Arrêté comme vagabond, il raconte les difficiles conditions de vie de ces centaines d'enfants, pas tous délinquants, vivant quasiment comme des bagnards. Un récit d'aventures façon XIXe siècle, s'appuyant sur des faits réels, pour lequel l'auteur a mené une recherche documentaire. Un "Sans famille" d'aujourd'hui !
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Jusqu'à la grotte de la luire : résistants dans le Vercors
Ahmed Kalouaz
- Oskar
- Histoire Et Societe
- 10 Novembre 2022
- 9791021407909
1944. En route pour une partie de pêche, Jules, lycéen de 15 ans, et son cousin Paul réfractaire au STO, sont surpris par un groupe de soldats allemands et séparés dans leur fuite. Jules est recueilli par un employé de la mine, Lucien, qui fait partie de la Résistance. L'adolescent, d'abord caché avec un groupe de réfugiés, rejoindra le maquis du Vercors et les rangs des combattants de la « République Libre »...
En fin d'ouvrage : un dossier documentaire illustré mis à jour pour tenir compte des guerres actuellesGrand format 14.95 €Indisponible
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Enfants de l'exil ; de l'île de la Réunion à la Creuse
Ahmed Kalouaz
- Oskar
- Roman
- 25 Janvier 2016
- 9791021404250
Louis a e´te´ embauche´ pour s'occuper du jardin chez les parents d'Ade`le. Au contact de la jeune fille, il se met a` raconter sa vie. C'est un « re´unionnais de la Creuse, un enfant de l'exil ». Sa vie a bascule´ le jour ou` des hommes sont venus le chercher. Avec des dizaines d'autres enfants du foyer ou` il vivait, il a quitte´ sa terre natale pour la France, ignorant ce qui allait lui arriver. Louis, de son vrai nom Corne´lien, de´barque alors a` Gue´ret, dans la Creuse. Il sera envoye´ dans une famille d'accueil ou` il sera utilise´ comme garc¸on de ferme. Louis connai^tra alors la dure vie des paysans, mais aussi les mauvais traitements et le racisme a` cause de sa couleur de peau...
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Un matin, le père de Ludovic est arrêté pour escroquerie. Pourquoi ce comptable sérieux a-t-il failli ainsi ? Il refuse de s'expliquer. Mais lorsqu'il sort de prison des mois après, le père embarque le fils dans un vieux camping-car, direction les Cévennes. L'occasion de renouer les liens et de dévoiler son secret, en revisitant son histoire. et des paysages magnifiques.
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Quentin file sur ses 11 ans. Pour retrouver du travail, son père est obligé de quitter le Nord pour s'installer à Nîmes. Mais sur place aussi les usines ferment. Quentin découvre alors un monde qu'il ignorait, où la violence et les cris font partie du quotidien. Et pour se faire de nouveaux amis, Quentin se résout, le soir, à briser quelques lampadaires dans le parc.
Heureusement, le mercredi, il y a le bibliobus qui vient stationner devant le centre social, avec sa cargaison de livres et de rêves. Au-delà de ces escapades nocturnes, il sait que sa vie est dans les pages qu'il dévore. Et surtout, dans la rencontre avec un comédien aux cheveux longs, qui va lui faire découvrir qui est Molière, et ce qu'apporte la vie sur les planches. Même si ses amis Bob, Petitpas ou Mouss l'invitent aux parties de lance-pierres, il sait que les mots apaiseront ses maux..
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Le père d'Ibrahim s'est fait tuer par les milices qui sévissent au Soudan. Avec son oncle Boro, Ibrahim doit fuir son pays pour rejoindre l'Europe. Le voyage est long et périlleux. Lorsqu'ils arrivent enfin en France, du côté de Calais, ils se rendent compte que l'Eldorado dont ils rêvaient n'est en fait qu'une souricière dont ils auront du mal à s'extraire. Ibrahim, tout en courant sur les dunes, essayera de trouver une issue heureuse à ce voyage.
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Bruno, 13 ans, habite dans une cité décrépie avec ses parents. Que faire pour résister et exister dans un endroit pareil ... La cité d'Or que tout le monde appelle aujourd'hui " la cité qui dort " est dans un triste état. Une inspectrice de salubrité vient visiter l'appartement des parents de Bruno et déclare qu'ils vivent dans un taudis. Bruno est très en colère. Après avoir cherché la définition dans le dictionnaire, il se rend bien compte que ce n'est pas juste de l'appeler ainsi. Sa mère fait tout pour garder l'appartement dans un bon état. Le meilleur ami de Bruno, Kévin, habite dans un lotissement de l'autre côté de la rue. Pour les vacances d'avril, Kévin lui propose de venir chez son grand père, Marius, dans le Vercors. Bruno et son ami visitent le musée de la résistance et jouent aux maquisards dans les montagnes. Marius leur parle de l'Abbé Pierre qu'il a croisé pendant la guerre... Le retour à la Cité d'Or est dur. Bruno apprend que sa famille doit quitter l'appartement sous peine de voir disparaître les allocations familiales. Il est même question de placer Bruno dans un foyer en attendant de les reloger. Mais sa décision est prise. Il va, lui aussi, entrer en résistance. À la nuit tombée, il peint sur les fenêtres murées " Vive la résistance. Vive l'abbé Pierre. " Nuit après nuit, Bruno tague ses slogans de révolte sur les murs de sa cité. Un soir, il se fait repérer par la police et s'enfuit. Sa course folle est stoppée par une chute et une vilaine entorse. Malgré ses actions répréhensibles, les gens s'accordent à penser que Bruno est un garçon courageux. À leur tour, ils se mobilisent pour leur quartier. La lutte ne fait que commencer.
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Lorsqu'en 1929 Marguerite Soubeyran et Catherine Kraft créent l'école de Beauvallon pour venir en aide aux enfants en difficulté, elles n'imaginent pas que, dix ans plus tard, en 1939, l'école située sur les quartiers hauts de Dieulefit, dans la Drôme, va devenir le refuge des persécutés. Dès 1940, des réfugiés allemands affluent dans ce coin de France, suivis par les Juifs d'Alsace. Simone Monnier se joint aux deux pionnières, et lorsque la zone sud est à son tour occupée par les nazis, ce sont des dizaines d'enfants que l'école va protéger. Marguerite Soubeyran, cheville ouvrière infatigable de ce sauvetage, fédère toute une population qui prend des risques et ses responsabilités pour accueillir des enfants juifs et parfois leurs familles. Elle enrôle Jeanne Barnier, secrétaire de mairie, lui demandant de fabriquer des faux papiers et des faux tickets de ravitaillement. C'est encore Marguerite Soubeyran qui crée un maquis dans le massif de Montmirail, juste au-dessus de l'école, lorsque le STO est instauré. À ces quatre femmes il faut joindre Madeleine et Paul Arcens, Henri Morin et, plus récemment, Emmeline et Élie Abel, tous élevés au rang de Justes parmi les nations. Ce sont ces neuf Dieulefitois, et bien d'autres anonymes, qui ont défendu la liberté et la vie des autres, au risque d'y perdre les leurs.
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Pour les vacances, Ange`le, 13 ans, part avec sa me`re pour le sud de la France, vers les collines de la Dro^me. La jeune fille de´couvre une re´gion sous le soleil, des chevaux e´voluant en liberte´ et surtout, le troupeau de moutons que surveille Victor, le berger. Comme Ismae¨l Triolaire, Victor est un poe`te berger. Mais de´ja`, le loup colonise les montagnes et les moutons de Victor sont en danger.
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Gino Bartali ; un champion sauveur d'étoiles
Ahmed Kalouaz
- Oskar
- Les Justes
- 25 Mars 2014
- 9791021402218
Septembre 2013, le champion italien Gino Bartali, un des héros de l'épopée cycliste du XXe siècle, reçoit à titre posthume la distinction de Juste parmi les nations. De 1943 à 1944, pendant l'occupation allemande en Italie, ce fervent catholique faisait partie d'un réseau de sauvetage abrité par le Vatican. Gino Bartali a ainsi contribué à sauver 800 Juifs. Profitant de ses entraînements, il a agi au nez et à la barbe des patrouilles nazies, " simplement " en pédalant. Il servait de messager au réseau, en dissimulant des documents falsifiés dans le cadre et sous la selle de son vélo et en les transportant entre les villes afin de permettre à des juifs italiens de passer clandestinement la frontière. Alors qu'il possède un palmarès à faire pâlir bien des sportifs, Gino Bartali n'a jamais parlé ses activités clandestines et n'a demandé ni la gloire, ni les honneurs. Car pour lui, ses victoires contre la barbarie sont sans doute les plus belles. Gino le pieux est désormais Gino le Juste.
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Après avoir traversé une partie de l'Europe avec ses parents réfugiés, Badri, jeune Géorgien de 16 ans, se retrouve bloqué à Lourdes, dans l'attente d'une hypothétique régularisation.
Mais pour Margot, la fille de sa famille d'accueil, il n'est pas question d'attendre sans rien faire. Elle embarque alors Badri dans une rocambolesque fugue à travers le massif des Pyrénées.
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Pour des vacances prometteuses, quoi de plus beau que le Vercors ! Avec son grand-père, Alex avait déjà goûté à quelques aventures, sur les traces de voleurs de chiens pendant d'autres vacances. Et voilà qu'à peine installés, ils apprennent par la voix de Gugusse, patron d'un café du village, qu'ici et là des choses disparaissent. Outils de travail, animaux, plus ou moins gros, jusqu'au jour où ce sont des poulains qui s'envolent dans la nuit... Il n'en faut pas plus pour que le duo, accompagné du chien Lasco, se mette en quête d'une nouvelle aventure. Mais les pistes sont multiples
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Trois petites histoires sur ces "jours qui ne ressemblent à aucun autre. Il suffit d'un pas de côté, d'un brin de vent dans les cheveux. C'est ainsi que l'histoire commence.".
La danse des flocons : Cette année, la petite Clémentine est bien décidée à surprendre le père Noël au cours de la nuit la plus longue de l'année.
La danseuse de cirque : Maïa est une petite fille qui rêve de devenir danseuse dans un cirque. Un jour où elle s'entraîne à faire des pointes et des pirouettes, elle tombe et se brise la cheville. Son rêve s'éloigne brusquement. Elle croise alors un mystérieux marionnettiste qui va l'aider à formuler un autre rêve.
La danse des mouettes : C'est l'histoire touchante d'une petite fille qui, pour égayer le triste quotidien de sa grand-mère malade, décide un jour de l'emmener à la plage pour voir les mouettes, une toute dernière fois.
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Elodie, 15 ans, s'est réfugiée chezsa grand-mère, alors que sa mère a quitté le domicile conjugal pour fuir la violence du père. En feuilletant les albums de famille, l'adolescente cherche à mettre des mots sur leur vie passée : pourquoi leur mère s'est-t-elle tue aussi longtemps ? Pourquoi cette barbarie chez son père ? Grâce à la présence aimante de sa grand-mère et aux entretiens avec une psychologue, elle va chercher à affronter la vérité. Ce roman, d'une grande émotion, est publié l'année où les « violences conjugales » ont été déclarées « Grande cause nationale ».