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Xyz
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Montréal, été 2016. L'agent Vic (Vicenzo) Verdier vient d'être recalé à l'examen de sergent-détective du SPVM. Sa blonde, Mélanie, a passé le test avec brio. On la retrouve quelques jours plus tard sous l'autoroute Ville-Marie calcinée dans sa voiture de patrouille. Cette histoire d'horreur se répand dans les médias sociaux comme une traînée de cendre chaude balayée par le vent de la canicule. Dans ce genre d'affaires, l'ami de coeur est toujours le premier suspect... C'est le début d'un méchoui infernal entraînant les policiers du poste de quartier 16 au coeur d'un thriller aux multiples rebondissements. Il suffirait d'un rien pour que tout parte en fumée - surtout le fragile équilibre mental de Vic. Cochons rôtis est un polar rondement mené où intrigues, méfiances et tensions au sein des forces policières s'entremêlent pour le plus grand bonheur des lecteurs, des amateurs de sensations fortes et de... sambuca.
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- Mais tu as raison, on dirait que les imprimeurs ne font pas de vieux os par les temps qui courent. Il me manquait juste une nouvelle macabre comme celle-là... Mon père va bientôt pousser son dernier râle, ce qui va tout virer la Verdier & Co. sens dessus dessous. [...] Et mon frère qui en rajoute une couche.
Les frères Verdier ne se sont jamais aimés. L'aîné, Victor-Hugo, est le canard boiteux de la famille ; ses parents lui ont toujours préféré son frère cadet, Napoléon-Bonaparte, à qui tout réussit. Celui-ci revient de la Grande Guerre en héros, juste à temps pour prendre la relève de feu son père comme patron de la Verdier & Co. Vic, lui, doit se contenter de l'imprimerie, un appendice à peine rentable de la maison-mère. Plus que jamais, il a besoin de ses amis : Joan, l'Anglaise qui vend son corps, Madéus, le musicien aveugle du bordel, et Tob, le journaliste juif, auxquels s'ajoutera bientôt Rosie, l'assistante d'un magicien de passage. Car Vic est inquiet : deux imprimeurs ont été assassinés. Sera-t-il le prochain?
Dans L'imprimeur doit mourir, les excès de la rivalité fraternelle servent de carburant à un thriller sur fond de chronique (presque) historique. Campé à Québec, en 1919, ce roman débridé nous fait assister à une soirée de blues avec Tom Millard, à un spectacle de magie à la Houdini et au premier amerrissage d'un hydravion à Québec. On y trouve même les aventures de Gonzague Aylwin, le feuilleton que Victor-Hugo rédige chaque semaine, en cachette, pour Le Mercure. - Mais tu as raison, on dirait que les imprimeurs ne font pas de vieux os par les temps qui courent. Il me manquait juste une nouvelle macabre comme celle-là... Mon père va bientôt pousser son dernier râle, ce qui va tout virer la Verdier & Co. sens dessus dessous. [...] Et mon frère qui en rajoute une couche.
Les frères Verdier ne se sont jamais aimés. L'aîné, Victor-Hugo, est le canard boiteux de la famille ; ses parents lui ont toujours préféré son frère cadet, Napoléon-Bonaparte, à qui tout réussit. Celui-ci revient de la Grande Guerre en héros, juste à temps pour prendre la relève de feu son père comme patron de la Verdier & Co. Vic, lui, doit se contenter de l'imprimerie, un appendice à peine rentable de la maison-mère. Plus que jamais, il a besoin de ses amis : Joan, l'Anglaise qui vend son corps, Madéus, le musicien aveugle du bordel, et Tob, le journaliste juif, auxquels s'ajoutera bientôt Rosie, l'assistante d'un magicien de passage. Car Vic est inquiet : deux imprimeurs ont été assassinés. Sera-t-il le prochain?
Dans L'imprimeur doit mourir, les excès de la rivalité fraternelle servent de carburant à un thriller sur fond de chronique (presque) historique. Campé à Québec, en 1919, ce roman débridé nous fait assister à une soirée de blues avec Tom Millard, à un spectacle de magie à la Houdini et au premier amerrissage d'un hydravion à Québec. On y trouve même les aventures de Gonzague Aylwin, le feuilleton que Victor-Hugo rédige chaque semaine, en cachette, pour Le Mercure.
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Je ne sais pas à quoi peut bien servir mon existence de coquerelle humaine. Aucune idée. J'ai un travail sans apport réel à l'avancement de l'humanité. [...] Je n'ai plus personne qui m'attend à la maison, je ne sais même pas ce que je cherche en amour. Je vis chez un clown monoparental. Je n'ai pas de projets, pas le goût d'en parler non plus. Je discute souvent avec un mort. [...] Je décide de faire confiance à la vie pour une fois; jusqu'à un certain point. [...] Je vais combattre mon inutilité évidente à grands coups de petits riens qui me mèneront bien quelque part. Souris, Vic, tu es vivant. C'est toujours ça. Aller quelque part... voilà à quoi rêvent Vic Verdier et ses amis.Vic, qui a 25 ans et qui vient de rompre avec Copine, veut ouvrir un cabaret, Jas aspire à devenir un grand artiste, Oliver souhaite utiliser à grande échelle l'énergie générée par les plantes, Douze veut racheter le domaine familial, au Chili, Arielle espère aller au Soudan avec Médecins de Brousse et Junior veut de l'argent, beaucoup d'argent. Et l'amour dans tout ça? Heureusement que Vic sait jouer du piano.
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Les amis - parfois devenus ennemis - de L'appartement du clown sont de retour... et l'hiver est dur ! On est trois ans plus tard, en 2005. Vic se prépare à ouvrir son espace pluridisciplinaire, Le Moderne Cabaret, et à emménager avec la jolie Fred. Mais soudain tout déraille : son père est sur le point de mourir, la famiglia veut «protéger » son cabaret et Fred révèle un côté sombre et inquiétant d'elle-même. Oliver, de son côté, est de retour au Québec, à l'insu de Vic, après un long séjour au Chili. Il raconte à Jas comment sa soif de vengeance l'a entraîné dans le pays d'origine de Douze, l'ami dont la trahison lui avait valu d'être défiguré par des motards. Comment il s'est senti tiraillé entre Thanatos et Éros, entre son désir de faire souffrir Douze et celui de se laisser séduire par Jemaine. Le Moderne Cabaret met au jour la partie noire de l'être humain et pose la question de notre capacité à faire face à l'innommable. Il peut se lire indépendamment de L'appartement du clown. Elle avait raison de penser que son histoire de trahison avec Ben allait me donner envie de sortir de sa vie. Tout ça est en contradiction complète avec la Fred que je connais. La nouvelle Fred me rappelle Oliver : les deux sont capables du pire. En fait, mon ami Jas aussi est comme ça par moments. Moi, j'ai peur. Peur de M. Sourire. Peur de perdre mon cabaret. Peur que mon père ne se réveille jamais et de me retrouver tout seul. Peur de ma blonde. J'ai peur pour ma blonde aussi. Malgré tout. Mais est-elle encore ma blonde?