Alix Karol, le personnage créé par Patrice Dard en 1973 en pleine guerre froide, est à l'espionnage ce que San-Antonio est au policier. Alix Karol et son compère Bis forment le même couple que San-Antonio et Bérurier, utilisant comme couverture un numéro de music-hall.
Ils travaillent pour une organisation tout aussi farfelue qu'eux, les Services Secrets du Tiers-Monde, pleine de bonnes intentions, chargée de défendre les intérêts des pauvres face aux pays riches.
L'élection présidentielle approche. Un favori inattendu s'impose dans les sondages, avec 58% d'intentions de votes au second tour. Il a pour nom Alexandre-Benoît Bérurier, inspecteur principal de son état, adjoint et ami indéfectible du commissaire San-Antonio. Écrabouillés Nicolas, François, Marine et les autres ! Comment en est-on arrivé à cette situation politique abrarocamgrotesque ? Tout a pourtant commencé dans un certain classicisme san-antonien : l'interrogatoire musclé d'un braqueur de haut vol. Le truand sanguinaire refuse de dévoiler où il a piqué les millions d'euros trouvés lors de son arrestation. Détail étrange, personne n'a porté plainte pour cet énorme casse.Dans le même temps, une menace pèse sur la fille d'un ministre, candidat dissident de la majorité. Elle sera tuée avant le lever du jour ! Laquelle de ses filles, car le politicien en a deux ? San-Antonio va protéger Malvina, la cadette, et Bérurier Alycia, l'aînée. C'est au terme d'une nuit de suspens, constellée de péripéties et de personnages inattendus, que la vocation élyséenne d'Alexandre-Benoît va naître, ainsi que son irrésistible ascension. Un à un, il va laminer les autres candidats, par son bon sens inné, son parler vrai, sa jovialité et cette sincérité qui fait tant défaut à ses adversaires. Qui pourra désormais empécher Béru d'accéder à la magistrature suprême ? Un seul facteur, peut-être : la résolution de cette enquête haletante et truculente, ce qui le ravalerait au rang de flic de base qui lui convient si bien.
Tu y crois, toi, au meurtre en vase clos ?
Moi non plus.
C'est bien pour en avoir le coeur net que je t'entraîne avec Béru en plongée à bord du Fanfaron, le fleuron des sous-marins atomiques.
Figure-toi qu'un drôle de mariolle s'est mis en tête de décimer notre marine nationale en commettant des crimes impossibles.
Classée secret défense, cette affaire n'aurait jamais dû être portée à la connaissance de la populace.
Seulement j'étais là, et quand je suis là, macache pour les cachotteries d'État !
Question gonzesses, ne te caille pas la laitance, j'ai tout prévu.
J'embarque jamais sans mon nougat, même pour Montélimar. Bienvenue dans ce roman suffoquant au pays des calamars géants!
Une nouvelle affaire pour le célèbre détective et son comparse Béru. Affublé d'un masque de singe, un homme surgit derrière ses victimes alors qu'elles sont face à un distributeur automatique de billets et les égorge après les avoir volées. Or, alors qu'il est sur le point d'être arrêté, il se suicide. Et l'histoire ne fait que commencer...
Sylvestre Lassin, jeune infirmier d'origine japonaise, est retrouvé mort dans la cabine de son ascenseur. Le procureur penche pour la thèse du suicide par hara-kiri. Jérémie Blanc, chargé de l'enquête, n'est pas de cet avis. Il réclame alors l'aide du commissaire San-Antonio et de son inséparable Bérurier. L'affaire va aussitôt prendre un autre tour avec la découverte, dans le congélateur du défunt, de deux mains et de deux pieds de femme. L'assassiné serait-il lui-même un redoutable meurtrier ? L'hypothèse tient la route, d'autant que d'autres tronçons du corps féminin, dont la tête calcinée, sont retrouvés chez les parents de Sylvestre, lesquels ont disparu : énigme supplémentaire ! Qui est donc cette malheureuse fille découpée suivant les pointillés, comme le cochon des panonceaux de charcuterie ?
C'est à la traque d'un prédateur sauvage, imprévisible et manipulateur, que San-Antonio, au sommet de sa verve, Bérurier, plus truculent que jamais, le commissaire Blanc, toujours aussi noir, le pétillant Toinet, l'ombrageuse Amélie, et même le brave Pinuche, en phase de semi-gâtisme, vont devoir s'atteler. Au long de ce suspens diaboliquement ciselé nous rencontrerons bien sûr la rigolade et la gaudriole, indissociables épices de la cuisine san-antonienne, mais aussi des personnages hauts en couleur... avec une dominante sanguine.
San-Antonio shérif dans le Wyoming et Béru, alias Queue de Bison, grand Sachem des Cheyennes, tu ne t'attendais pas à ça ? Moi non plus !
Si tu aimes les attaques d'Indiens, les bagarres de saloon et les règlements de compte à coups de colt, tu vas être servi. Si tu détestes les flics et les juges véreux, les chasseurs de primes sanguinaires et le gaz de schiste, tu ne vas pas être déçu non plus.
Je me suis lancé dans cette folle aventure pour la simple et bête raison que j'ignorais tout du passé de mon père. Alors suis-moi dans cet authentique western, à la recherche trépidante et cocasse des origines de San-Antonio.
"Ces coups frappés contre ma poitrine. Et cette bouche qui s'applique sur la mienne. Dans le lointain, une sirène de police. Et de nouveau le martèlement de mon sternum. Claquements de portières. Des pas. Précipités. Des voix qui vont s'évanouissant : - C'est moi qui vous ai prévenus. On lui a tiré dessus. Il perd beaucoup de sang ! - Le Samu ne va pas tarder ! Ecartez-vous... - Il faut le réanimer ! - Vous ne voyez pas qu'il est mort ? - Mais... c'est le commissaire San-Antonio !"
Alix Karol le personnage créé par Patrice Dard en 1973 en pleine Guerre Froide est à l'espionnage ce que San Antonio est au policier.
Alix Karol et son compère Bis forment le même couple que San-Antonio et Bérurier, utilisant comme couverture un numéro de music-hall. Ils travaillent pour une organisation tout aussi farfelue qu'eux, les Services Secrets du Tiers Monde, pleine de bonnes intentions, chargée de défendre les intérêts des pauvres face aux pays riches. Il existe bien des façons de mourir. La vieillesse, d'abord, la plus enviée, la belle mort, dit-on.
L'infarctus, également, très à la mode en ce moment : l'arrêt du coeur, c'est la mort en bonne santé. Sur le podium, on trouve aussi le cancer, cette longue maladie qui n'ose pas dire son nom. N'oublions pas le week-end, non plus : les cornichons qui se tartinent contre un platane sur le coup de 3 grammes du matin. Et puis... il y a eu la mort de Marko ! Une mort sans se fatiguer, puisque d'autres avaient tout organisé à sa place.
Heureusement qu'Alix Karol et Bis étaient là pour refaire le diagnostic. Et déboucher sur un pronostic... terrifiant.
En s'accusant d'un double meurtre, il voulait soulager sa conscience, seulement, il a foutu le bordel dans la mienne ! figure-toi que depuis quinze piges, un autre mec moisit au ballon par ma faute.
Evidemment, je libère l'innocent, mais cet enfoiré joue les comptables et me promet deux nouveaux morts. et v'là qu'en suce, mon béru est obligé d'endosser l'habit de feu pour piéger un psychopathe. dantesque ! si t'as envie de désopiler tout en chocottant dans ton froc, te gêne pas, j'ai écrit ce roman rien que pour toi. parole de san-antonio ! " [. ] on ne s'ennuie pas une minute avec ces joyeux drilles [.
]. ", le télégramme. egalement chez pocket : corrida pour une vache, folle.
« Il ne laisse jamais aucune trace derrière lui, ni empreinte digitale ni marque génétique. Détail important : il rase le pubis de ses victimes et adresse les poils collectés à des destinataires choisies au hasard. C'est très simple, San-Antonio, je veux que vous partiez immédiatement pour Montréal avec votre homme le plus sûr et que vous mettiez la main sur ce serial killer avant les autorités québécoises ! » T'aurais fait quoi, toi, si le Président en personne t'avait chargé d'une telle mission ? Tu serais allé te les geler dans le grand nord. C'est exactement qu'on a fait, Béru et moi !
A Figeac, maître David Hégoliat rachète l'étude d'un notaire décédé. Il entreprend des travaux dans cette demeure ayant appartenu à Champollion et découvre une crypte hébergeant une authentique momie. Quatre personnes, dont San-Antonio, se sont approchées du sarcophage. Trois sont mortes dans d'atroces souffrances. Reste San-Antonio...
Il a fallu un sacré concours de circonstances pour que cette histoire me tombe sur le poil. L'ignoble Béru se tape une crise de goutte et atterrit à l'hôpital. Ma brave Félicie veut lui rendre visite. On prend le bus. À la descente, je largue les tickets dans une poubelle. C'est alors que j'y remarque un petit carnet de cuir. Je le recueille. Puis un grand Black d'infirmier accourt, farfouille la poubelle, ne dégote pas ce qu'il cherche - sans doute le calepin. Il retourne à l'hôpital. Je le suis, le perds, et finis par le retrouver... égorgé au fond d'un vestiaire.
Si tu veux savoir la suite et découvrir l'effroyable polyphagie, plonge-toi vite dans ce bouquin pour une longue nuit de cauchemars... et de rigolade, oeuf corse.
Béru ensorcelé par une mouche tsé-tong, Berthe ravageant des peuplades assoiffées, un avion qui explose, une gouine perfide, et le rouquin Mathias qui me trahit. Jérémy, mon frère nègre, va être fusillé, un enfant de deux ans dirige les rebelles, et ces chauves-souris qui hantent ma gamberge...Cherche pas, mon pote, c'est le vaudou, c'est l'Afrique. La rime est riche avec le fric et le coupable se profile. Les escargots ne savent plus baver, mais toi, tu vas bien te gondoler.Parole de San-Antonio !
Tout le monde se souvient de la tuerie de Jumentine. Quatre Syriens abattus dans leur voiture sur une route de montagne, un ramasseur de champignons égorgé auprès du véhicule. Avec pour seule survivante une petite fille effrayée retrouvée huit heures plus tard par les gendarmes. La police ordinaire s'enlisant, le ministre de l'Intérieur charge San-Antonio, alias moi-même, et le Gravos, alias Béru, de solutionner l'énigme. Grâce à nos méthodes plutôt cocasses, un rien salaces, mais admirablement efficaces, l'enquête va aussitôt prendre une autre tournure et déclencher la traque d'un assassin masqué. Un Scriminel qui exécute une implacable vengeance et qui, avant de massacrer ses victimes, les prévient : "Je suis celui qui te fermera les yeux !"
Le mystère s'appelle « CHOH » !Jamais depuis le Dard Vinci Code un auteur n'avait tricoté une énigme aussi angoissante !
II a phallus que ce soit le gars mézigue qui s'y colle. Et c'est pas la Joconde qu'il traque, ton Antonio, mais l'homme le plus recherché de la planète Ben Laden en personne. Quant à Béru en mollah Kelbodar, à lui tout seul il te remboursera l'emplette de ce bouquin. Avec les intérêts cash en rigolade. Allez CHOH ! Je t'attends à l'intérieur.
San-Antonio
Tu as déjà entendu parler de Jack l?Eventreur ?
Eh bien, c?était mère Teresa, à côté du monstre auquel je vais être confronté !
Tout commence par l?irruption de Béru dans mon burlingue : son fils Apollon-Jules a mystérieusement disparu à Londres.
Tu ferais quoi, à ma place ?
Tu sauterais dans l?Eurostar en compagnie du Mastard.
C?est exactement ce que j?ai fait.
Et tu ne vas pas le regretter, my dear lecteur, because je vais t?entraîner dans une aventure véri britiche, terribly haletante, completely cocasse, et... extremely SHOCKING !
Excuse me, darling, mais on se refait pas.
Ton San-Antonio for ever
Mekèl Belboul massacré à coups de flash-ball.
Corde sabotée, Situva Tuvaniké plonge dans le vide.
Vaszy Kaszilpo déchiqueté par une balle de golf piégée.
Un chewing-gum au cyanure foudroie Pipo Fellacci.
Il ne fait pas bon être sportif dans ce petit bled de montagne.
Et encore moins flic...
Pour San-Antonio et son infatigable Bérurier, ça sent le sapin !
" il ne laisse jamais aucune trace derrière lui, ni empreinte digitale, ni marque génétique.
Détail important : il rase le pubis de ses victimes et adresse les poils collectés à des destinataires choisies au hasard. c'est très simple, san-antonio je veux que vous partiez immédiatement pour montréal avec votre homme le plus sûr et que vous mettiez la main sur ce serial killer avant les autorités québécoises ! " t'aurais fait quoi, toi, si sarko en personne t'avait chargé d'une telle mission ? ta valise pour le grand nord ? c'est ce qu'on a fait.
Beru et moi. on en grelotte encore... de froid et d'effroi. sans oublier la gaudriole, tabernacle !
Patrice Dard est le fils de Frédéric Dard.
Après le colossal succès posthume de Céréales Killer, San Antonio survit à Frédéric Dard dans une nouvelle série de ses aventures, entamée avec Corrida pour une vache folle.
C'était il y a des lustres. Le commissaire s'était royalement planté avec le Charcutier, celui qui violait et dépeçait les filles en série avant de les transformer en pâté, rillettes, jambon et mortadelle. Et voilà que le fabricant de chair à saucisse remet ça, lui ou un imitateur surdoué, ayant un compte à régler, de surcroît, avec les Jeux olympiques d'Athènes ! San-Antonio déteste les échecs et se méfie des coïncidences. Il ne se laissera pas endormir une deuxième fois... Parole !
Tu y crois, toi, au meurtre en vase clos ? Moi non plus. C'est bien pour en avoir le coeur net que je t'entraîne avec Béru en plongée à bord du Fanfaron, le fleuron des sous-marins atomiques. Figure-toi qu'un drôle de mariolle s'est mis en tête de décimer notre marine nationale en commettant des crimes impossibles. Classée secret défense, cette affaire n'aurait jamais dû être portée à la connaissance de la populace. Seulement j'étais là, et quand je suis là, macache pour les cachotteries d'État ! Question gonzesses, te caille pas la laitance, j'ai tout prévu. J'embarque jamais sans mon nougat, même pour Montélimar. Bienvenue dans ce roman suffoquant au pays des calamars géants. Cap sur les grands fonds ! Suspense et gaudriole garantis, fais confiance !
Surprenante visite dans mon burlingue :
Elasticman ! Un vieux pote oublié.
Au lycée, on l'appelait « l'homme caoutchouc » parce qu'il était capable de faire passer ses deux jambes au-dessus de son cou et de nouer ses bras derrière son dos. Mais il n'est pas devenu le saltimbanque qu'on aurait pu penser. Il est aujourd'hui aumônier de la centrale de Jouy-sur-Yvette.
Ce n'est pas par hasard qu'il est venu me trouver :
Le voilà dépositaire d'un terrible secret, indévoilable, hélas, puisque recueilli dans le cadre de la confession d'un détenu.
« Si cet individu sort de prison, et c'est imminent, je suis sûr qu'il va commettre les crimes les plus abominables jamais perpétrés sur cette terre. Je ne peux pas en dire plus. » A peine moins bituré qu'à l'ordinaire, Béru prend aussitôt l'affaire en main :
« Faisez-nous confiance, Cureton !
En moins de deux jours, on va la résolver cette énigme du sphinxter ! » Il ne manque pas d'air, le Gros, d'autant qu'il le pollue souvent.
On lui accorde quand même l'absolution ?
D'accord ! Mais c'est bien parce qu'il nous fait marrer !
Tu connaissais déjà la Star Academy ? Voilà que ton San-Antonio t'invente Macchab Academy, un reality show vachement drôle... sauf pour les participants à l'émission. Figure-toi qu'ils se font trucider les uns après les autres, de façon rigolote mais effroyablement cruelle. À commencer par le présentateur, tu sais, ta vedette préférée du petit écran... Alors, tous en scène, Béru, Pinaud, Berthe et les autres, pour traquer avec moi un sacré tueur en série... télévisée !