Patrice Van Eersel La Source noire De la mort, nous avons tout oublié, tout ce que notre culture avait érigé en sagesse. Même la science est devenue ignorante. Tellement que des savants tirent la sonnette d'alarme. Il faut, disent-ils, réhabiliter l'agonie, écouter les mourants, étudier ce passage aussi capital que la naissance.
Psychiatres, cardiologues, chirurgiens, biologistes et physiciens, dans les laboratoires les plus sophistiqués des états-Unis, d'Europe, mais encore en Inde et partout dans le monde, analysent, sondent, interrogent la mort, ou du moins ceux qui ont frôlé la mort, collectionnent leurs écrits, examinent leurs témoignages, confrontent leurs expériences.
Et l'on découvre que la mort cacherait une clarté à l'éblouissante beauté, pleine de vie, pourrait-on dire. La source noire. Aux portes de la mort, c'est une nouvelle approche de la vie, de la connaissance, de la mémoire...
La Source noire, un livre fascinant et plein d'espoir.
Précipitez-vous sur La Source noire : en quelques heures d'une lecture palpitante, vous apprendrez tout ce qu'il convient de savoir sur vos premiers pas dans l'au-delà.
Roland Jaccard, Le Monde.
>Patrice Van Eersel La Source blanche Budapest, juin 1943-novembre 1944. Au coeur de l'enfer nazi, quatre jeunes artistes vivent l'étonnante aventure des Dialogues avec l'Ange. Une voix mystérieuse leur fait découvrir leur propre part de divinité créatrice, et le moyen d'accéder à cette source intemporelle.
Des quatre amis, Gitta sera la seule à échapper à l'extermination. C'est elle qui publiera, en 1976, la transcription par son amie Hanna des paroles de l'Ange. C'est elle aussi qui, peu avant sa mort en 1992, demandera à l'auteur de La Source noire, livre consacré aux expériences au seuil de la mort, de se faire l'historien de cette initiation.
Au fil d'un récit à la fois rigoureux et fasciné, nous voyons revivre Gitta, Hanna, Joseph, Lili, dans leur environnement familial, social et historique, découvrant en eux-mêmes une lumière nouvelle, qui, loin de les détourner de leurs frères, les poussera, jusqu'au moment ultime, à sauver des vies, à témoigner inlassablement pour la dimension divine de l'humain.
Rien ne ressemble moins à un être humain qu'une baleine, et pourtant l'affinité que nous avons avec les cétacés nous fascine. Quel est le secret de notre complicité avec les dauphins, réputés avoir un langage ? Ces animaux ont-ils comme nous une conscience ? Que peuvent-ils nous apprendre du destin de l'humanité oe C'est en observant des musiciens en train de jouer du jazz avec des orques sauvages, au large du Canada, que Patrice Van Eersel s'est posé ces questions. Il en a cherché la réponse dans l'ex-URSS et en Australie, en Afrique et dans la France profonde, interrogeant biologistes, physiciens, spécialistes de la vie animale, scientifiques de renom tels qu'Ilya Prigogine ou Stephen Jay Gould.
Dans La Source noire, Patrice Van Eersel avait sondé les mythes et la science à propos de la mort. Ici, c'est de la vie qu'il nous entretient, des origines de l'homme, de son avenir et de l'évolution des espèces. Une passionnante exploration aux confins de la réalité et du mystère.
Enquête sur les changements profonds de l'accouchement à la fin du XXe siècle, auprès de médecins, d'accoucheurs, de mères. L'auteur s'interroge sur la médicalisation des accouchements, sur la psychologie de l'enfantement, l'avortement, la naissance de prématurés, d'enfants mort-nés, les différents modes d'accouchement, etc.
Comment croire en l'avenir quand on a trente ans et la conviction de vivre l'effondrement de la planète - réchauffement global, dégradation de la biodiversité, pollution généralisée, le tout aggravé par une crise sanitaire mondiale?
En remontant le temps, répond l'auteur de ce récit à son jeune interlocuteur, Sacha, et en s'inspirant du concept de Noosphère, forgé dans les années 1920 par deux hommes, le Français Pierre Teilhard de Chardin et le Russe Vladimir Vernadski, qui désignaient ainsi la conscience collective planétaire. Ayant compris le rôle crucial de l'action humaine sur la biosphère - ce que l'on appelle aujourd'hui l'anthropocène -ces visionnaires, convaincus du caractère « cosmique » de la vie biologique, considéraient le triomphe de la Noosphère comme la prochaine et irrésistible étape de l'Évolution, condition sine qua non de notre survie sur la Terre.
Cette perspective suffira-t-elle à redonner espoir à Sacha et aux nouvelles générations ?
Patrice van Eersel nous guide à travers une enquête passionnante, qui progresse au fil de dialogues avec huit personnalités remarquables : le psychiatre Christophe André, le neurologue Stanislas Dehaene, la pédiatre Catherine Dolto, le mathématicien Cédric Villani, le chanteur Arthur H, le maître soufi Cheikh Ben- tounès, la bibliste Annick de Souzenelle et le poète Christian Bobin. De l'« intériorité sans bruit » que décrit Christophe André jusqu'à cet « enfant intérieur jouant à cache-cache » que nous invite à retrouver Christian Bobin, un voyage inédit vers ce que chacun porte d'essentiel et d'unique.
Comment cultiver notre vie intérieure ? Car elle est à la fois la source de nos pensées, de nos sentiments et de nos intuitions, mais aussi de toute création et de toute spiritualité ?
1970. En pleine explosion de la contre-culture et du mouvement hippie, un magazine français s'impose comme le représentant d'une jeunesse qui veut changer le monde, vivre avec intensité, en communauté ou sur la route, pratiquer l'amour libre, inventer une autre architecture, jouer du rock et des musiques planantes. Ce magazine psychédélique s'appelle Actuel. En cinq ans, il devient culte.
1975. Actuel estime avoir fait le tour de l'underground et se saborde. Mais son équipe reste soudée : Bizot, Burnier, Rambaud, Lentin, Mercadet, van Eersel et quelques autres continuent d'écrire des livres, des parodies, des scénarios. Ils s'installent dans le « château de Saint Maur » où ils vont expérimenter une vie à la fois créative et débridée.
1979. Un vent nouveau se lève, la jeunesse veut découvrir le monde et « Monsieur Réel » sous tous ses angles. Actuel renaît sous la forme d'un magazine de nouveau journalisme qui envoie ses reporters aux quatre coins du monde pour en rapporter des visions fortes, parfois terribles, mais le plus souvent enthousiasmantes. Énorme succès commercial.
Mais, au business, Bizot et sa bande préfèrent la liberté de tout expérimenter, sur la forme et sur le fond, faisant du journalisme une expression artistique. Aujourd'hui, le dernier de la bande, Patrice van Eersel, nous raconte cette fabuleuse aventure.
L'homme a-t-il une mémoire qu'il tiendrait de ses lointaines origines animales ? Comment va-t-il évoluer ? Que peuvent nous apprendre nos cousins cétacés, et en particulier les dauphins, qu'une légende cherokee place, dans l'ordre naturel, juste avant l'homme ? C'est à ces questions que tente de répondre Patrice Van Eersel. Il a rencontré d'étranges musiciens qui ne composent que pour les baleines, des spécialistes des bactéries, des zoopsychiatres, des accoucheurs qui ne pratiquent les délivrances que sous l'eau, des Africains fous de rythmes, Ilia Prigogine, prix Nobel de physique, Lyn Margulis, Stephen Jay Gould...et, bien sûr, Jacques Mayol, le fameux {homo delphinus}, connu du monde entier depuis {le Grand Bleu.
Chacun le sait : en perdant le contact avec les grandes traditions spirituelles ou religieuses, notre temps a été conduit à refouler hors de sa conscience l'idée même de la mort, laissant l'individu dans l'angoisse face à la certitude de sa propre disparition.
Deux courants, toutefois, permettent aujourd'hui d'espérer l'émergence d'une nouvelle façon d'apprivoiser la mort. D'une part, la redécouverte de l'art d'accompagner les mourants, sous l'impulsion de personnalités comme, en France, Michel Salamagne, Renée Sebag-Lanoé, Marie de Hennezel, Robert Zittoun, René Schaerer ou Bernard Kouchner ; d'autre part, les nombreux travaux de psychologues, psychanalystes et médecins sur les " expériences de mort imminente ", d'après les témoignages de personnes réanimées à la suite d'un coma ou d'une mort clinique.
Douze ans après La Source noire, Patrick Van Eersel fait le point sur ces réflexions, ces pratiques où la science moderne recoupe souvent les plus anciennes traditions spirituelles de l'humanité. Cette passionnante enquête, qui rend accessible l'enjeu de recherches de haut niveau, se termine par une interrogation sur le dialogue entre les vivants et les morts, que l'irrésistible essor du bouddhisme en Occident nous oblige à entièrement reconsidérer.
Tisseurs de paix raconte l'avénement d'une diplomatie spirituelle méditerranéenne dans laquelle juifs, chrétiens et musulmans, mais aussi hindous, bouddistes et laïcs de différentes sortes se retrouvent pour partager les musiques du monde, dialoguer, médi
Les mâchoires des enfants du monde entier se sont mises à rétrécir et les appareils dentaires se multiplient. Est-ce l'accélération d'un processus évolutif ? La nouvelle enquête de Patrice van Eersel commence par cette question, que pose Marie-Joséphe Deshayes, chef de file d'une nouvelle école d'orthodontie. Ces faits cliniques entrent en résonance, de façon troublante, avec les découvertes de la paléoanthropologue Anne Dambricourt-Malassé - la chercheuse par qui le scandale arrive. Portée aux nues en 1996, elle fait la une de la prestigieuse revue La Recherche, pour avoir découvert « une nouvelle théorie de l'évolution », mais se trouve en 2005 moralement condamnée par la communauté de ses pairs pour avoir prétendu déceler une « direction attendue » dans l'observation des mâchoires de primates, des lémuriens à l'homme. Qui a raison, qui a tort ? Les médias répondent mal. Le débat « Dieu contre Darwin », faux mais omniprésent, nous enferme dans une alternative infernale et occulte les vraies questions. Ces dernières vont être posées par trois scientifiques réputés, intuitifs et honnêtes : le paléoanthropologue Yves Coppens, le paléontologue Jean Chaline et l'écologiste Jean-Marie Pelt. Mais les points de vue ne suffisent pas. Il faut les confronter à des points d'être. Que pourrait vouloir dire « vivre l'évolution humaine » ? Ici, ce ne sont plus des scientifiques qui répondent, mais des praticiens, des accompagnateurs de nos évolutions personnelles et de nos colonnes vertébrales. Cette seconde partie de l'enquête intègre et met en perspective les grands thèmes que Patrice van Eersel nous a déjà fait croiser : la redécouverte de l'accompagnement des mourants, l'enfantement, l'inspiration créatrice de la voix de l'ange, la communication avec les dauphins et le mythe du 5ème Rêve. Si l'être humain est par essence inaccompli, chacun peut-il entrer à sa façon dans la danse de notre évolution collective ?
Pendant dix-sept mois, de juin 1943 à novembre 1944, dans une Hongrie à feu et à sang, une femme, Hanna Dallosz, a en toute conscience prêté sa bouche, sa tête, son coeur, bref son être à une voix intérieure fulgurante qu'elle appela "l'Ange". Ainsi, s'établirent d'incroyables dialogues entre Hanna ( ?) et trois de ses proches : son mari, Joseph Kreutzer, et ses deux amies, Gitta Mallasz et Lili Strauss. Ces Dialogues avec l'ange, scrupuleusement consignés par Gitta Mallasz, seront publiés trente ans plus tard (chez Aubier). Joseph partit le premier ; Hanna, Lili et Gitta dirigèrent jusqu'à la fin un atelier de fortune fabriquant, à Budapest, des uniformes pour la Wehrmacht et, de la sorte, permirent à des centaines de femmes et d'enfants juifs d'être saufs. L'Ange cessa de s'exprimer le 24 novembre 1944. Le 2 décembre, la milice hongroise investissait la fabrique et déportait tout le monde. Seule Gitta, parce qu'elle n'était pas juive, survécut et Patrice Van Eersel put recueillir son témoignage. La Source blanche est l'extraordinaire récit de l'aventure de ces trois femmes, projetées dans un monde subitement devenu fou.
En 1986 paraissait La Source noire. Fruit de cinq années de reportage mené par Patrice Van Fersel en Amérique, ce livre abordait alors un sujet méconnu en France : l'accompagnement des mourants, ainsi que l'exploration scientifique des états de conscience à l'extrême limite entre la vie et la mort. Onze ans plus tard, Patrice Van Fersel a repris son enquête, cette fois-ci en France où la situation dans ce domaine a radicalement changé sous l'impulsion, notamment, de Léon Schwarzenberg, de pierre Viansson-Ponté et de Marie de Hennezel, l'auteur de La Mort intime, préfacée par François Mitterrand. Comment a-t-on réappris à s'accompagner les uns les autres dans les derniers instants de l'existence ? Comment les chercheurs étudient et interprètent-ils les fulgurantes irruptions de vitalité que la mort provoque chez certains ? L'auteur fait le point sur cet art de réapprivoiser la mort à propos duquel les Français ont apporté de nouveaux éléments : application de l'haptonomie aux mourants ; hypothèse superlumineuse émise par le Pr Régis Dutheil ; relecture de la NDE (expérience de mort imminente) à travers la grille psychanalytique de Didier Dumas, dont les schémas ont été bouleversés par sa rencontre avec le taoïsme. Réapprivoisez- la mort se termine sur ce que l'auteur appelle l'Acte III du grand théâtre final, c'est-à-dire sur les expériences de dialogues avec les morts dont nous parlent déjà les traditions anciennes, aujourd'hui reconsidérées comme des clés possibles pour lever le mystère du vivant.
Comment expliquer le grand retour des ancêtres en psychothérapie ? freud n'ignorait pas leur importance : chacun de nous n'est pas seulement déterminé par le triangle papa-maman-bébé, mais aussi par une cascade d'influences venues de son arbre généalogique.
Certes, le fondateur de la psychanalyse avait assez à faire avec l'Oedipe, et c'est consciemment, selon certains, qu'il aurait remis l'étude des ascendances à plus tard. beaucoup plus tard. il aura fallu attendre un siècle pour que la dimension transgénéalogique soit vraiment reconnue par les " psy ". et brusquement, cette reconnaissance prend l'allure d'un mouvement. sur le thème où que vous soyez, vous transportez votre famille avec vous - bénissez-la.
Mais libérez-vous-en ! la psychogénéalogie émerge dans de nombreuses pratiques et écoles. c'est à une large présentation de celles-ci qu'est consacré j'ai mal à mes ancêtres, sous la forme de sept entretiens avec des acteurs majeurs de ce mouvement.
Comment expliquer le grand retour des ancêtres en psychothérapie ? Freud n'ignorait pas leur importance : chacun de nous n'est pas seulement déterminé par le triangle « Papa-Maman-Bébé », mais aussi par une cascade d'influences venues de son arbre généalogique. Certes, le fondateur de la psychanalyse avait assez à faire avec l'oedipe, et c'est sciemment, selon certains, qu'il aurait remis l'étude des ascendances à plus tard. Beaucoup plus tard. Il aura fallu attendre un siècle pour que la dimension transgénéalogique soit vraiment reconnue par les milieux autorisés de la psychologie. Et brusquement, ce regain d'intérêt prend l'allure d'un mouvement : la psychogénéalogie émerge dans de nombreuses pratiques et écoles. C'est à une large présentation de celles-ci qu'est consacré ce livre, au fil de sept entretiens avec des acteurs majeurs de ce mouvement : Dr Anne Ancelin-Schutzenberger, Alexandro Jodorowski, Bert Hellinger, Chantal Rialland, Vincent de Gaulejac, Serge Tisseron et Didier Dumas.
Aujourd'hui et plus que jamais dans cette période violente et pleine de contraintes, nous avons un essentiel besoin de tendresse dans tous les moments de la vie. Une pléiade de personnalités et spécialistes nous en parlent depuis les rapports à l'amour du foetus et du bébé (Dr Massin et Dr Relier), en passant par l'éducation (Jacques Salomé et Dr Robert Ouvray), les relations humaines (Dr Cyrulnik), amoureuses (Guy Corneau, Paule Salomon et Dr Leleu), médicales entre soignés et soignants (Dr Ouachée), spirituelles (Père Stan Rougier), jusqu'aux soins palliatifs (Marie de Hennezel et le Dr Michèle Salamagne)...
La tendresse ne se limite pas à des rapports physiques mais entre dans toute une gamme de sentiments et d'émotions, de dits et non-dits, de sourires et d'expressions diverses qui montrent que ses enjeux s'avèrent infinis et donnent du sens à nos existences en les enrichissant au-delà de ce tout ce qu'on peut imaginer.
Sous la direction de Patrice van Eersel, avec Juliette Binoche, Marie de Hennezel, Christiane Singer, Boris Cyrulnik, Guy Corneau, Jacques Salomé...
"Nous sommes des êtres ambivalents.
Nous avons beaucoup de choses lourdes et dangereuses en nous, mais nous en avons aussi d'autres plus généreuses et progressistes. C'est en essayant d'harmoniser les unes et les autres qu'il est possible, me semble-t-il, de parcourir le chemin de notre vie, en étant fiers de ce que nous sommes et de ce que nous pouvons faire." Après une vie de résistant et de militant pour la paix, Stéphane Hessel a entamé une seconde existence d'écrivain, avec notamment Indignez-vous ! (Indigène Editions, 2010) qui connaît un succès international.
II nous offre dans Vivez I une réflexion profonde sur l'amour, la vie, la mort, la spiritualité, l'âge, le respect de l'autre, suivie des poèmes qui ont rythmé et illuminé sa vie.
Des personnalités venues de tous les horizons nous parlent de vie et de mort, d'écologie, de spiritualité, d'amour et de transmission.
Ces textes composent une anthologie passionnante, qui ne cesse de nous interroger sur le sens que nous pouvons donner à notre vie.
Qu'est-ce que la vie intérieure ? En avez-vous une ? Si oui, peut-on la cultiver ? N'est-elle pas à la fois la source de nos pensées, de nos sentiments et de nos intuitions, mais aussi de toute création et de toute spiritualité ?
Patrice van Eersel nous guide à travers enquête passionnante, qui progresse au fil de ses dialogues avec huit personnalités remarquables : le psychiatre Christophe André, le neurologue Stanislas Dehaene, la pédiatre Catherine Dolto, le mathématicien Cédric Villani, le chanteur Arthur H., le maître soufi Cheikh Bentounès, la bibliste Annick de Souzenelle et le poète Christian Bobin.
De l'« intériorité sans bruit » que décrit Christophe André jusqu'à cet « enfant intérieur jouant à cache-cache » que nous invite à retrouver Christian Bobin, un voyage inédit vers ce que chacun porte d'essentiel et d'unique.
Avant la grande conférence sur le climat de décembre prochain, ce numéro 2 est consacré à la méta-écologie (terme inventé par Jean-Marie Pelt) qui tourne autour de la fameuse phrase de Spinoza : « Dieu, c'est la nature ». En effet, il est une façon de parler de notre environnement et de la nature au sens large, autre que quantitative et matérielle : il s'agit, pour la sauver, de véritablement réenchanter notre monde.
Marc de Smedt a demandé à une trentaine de spécialistes, philosophes, scientifiques, naturalistes, sociologues, ethnologues, poètes et journalistes, de témoigner, dans leur sphère et en partant de leur expérience propre, de la façon dont le concept de nature leur parle jusqu'au plus profond de leur être.
Une vision renouvelée de la Terre comme être vivant et de l'univers comme entité mue par une intelligence qui nous dépasse mais n'en est pas moins réelle et bien questionnante !