Without a doubt, one of the most important processes of expression and communication of mankind was writing. The latter appears as something that has always existed and, therefore, denies any notion of the invention of a syllable and its corollary, the spelling. Could the linear alphabetic writing, the Kaabaean, not have been used immediately as soon as man appeared at a very remote time that the scientific community called prehistory? The diffusion of Scripture is a long process that has taken place for tens of thousands of years as has been the one of human migration from its point of origin. Thus, throughout these tens of millenia BC, along with migratory movements, scripture had spread geographically in cultural areas that would become very different between them and, therefore, very distinct from its Original frame.
"La Politique est l'art d'agir par excellence du Diable" La Politique n'est-elle pas un ensemble de moyens, de procédés imaginé le Diable et par lesquels il aménage la société humaine ? Ne conduit-elle pas à une certaine fin, à permettre à la diablerie d'atteindre un résultat évident en modifiant la nature humaine dans un but d'adaptation à son usage : "semer le Désordre sur Terre" ? Par extension, ne s'agit-il pas d'un éventail de règles, de procédés, de pratiques ayant pour objet la réalisation de divers projets diaboliques ? La Politique s'estime être un Système très parfait à travers l'esprit de ses guides suprêmes, les politiciens et leurs académies, les partis ; elle s'imagine même être mue par l'Inspiration absolue. Pour les gens doués d'intelligence, la Politique n'est pas comme on pourrait le penser la réponse à la conduite des actions humaines, des affaires publiques dirons-nous. Le déclin des sociétés, la déliquescence de l'Ordre (de la nature, de dieu) qui en soutenait l'existence, l'essor de l'entreprise de la Financratie et de la notion du symbolisme que les politiciens et les partis propagent dans leur sillage, tout concourt à porter le vocable "Politique" au nombre des mots clés de la société humaine du XXIe siècle. C'est un concept toujours à la mode et sans cesse mis en à jour qui circule avec prétention et qui tourmente la conscience collective en déclenchant des passions irraisonnées chez les populations qui se font l'écho des idéologues qui le prônent. Mais qu'est-ce que la Politique sans la conviction qu'elle est la seule véridique ? Par une escroquerie intellectuelle irréversible, elle va se substituer à la conscience commune en inventant l'opinion publique. Le règne de cette invention pour expliquer le mythe unitaire de la population est l'une des idéologies de la Politique. Or celle-ci diffère-t-elle d'une secte ? N'est-elle pas comme elle une pensée et un comportement autoritaires, une domination de quelques individus (parti) sur la collectivité ?
Les travaux des fondateurs de l'Agronomie berbéro-andalous les premiers à englober tous les domaines agronomiques révèlent un magistral corpus de littérature qui décrit un système agricole révolutionnaire qui connut un énorme succès car il devint le fondement des systèmes agricoles des sociétés pré et postindustrielles ; et qu'il reste encore à être découvert car il demeure toujours avant-gardiste et ô combien élaboré ! A condition que l'on daigne s'y intéresser, on pourrait en faire usage pour l'avenir des générations futures et cela bien au-delà de ce XXIe siècle !
L'exposé énoncé tout au long de cet ouvrage sur les principes et pratiques générales de cette science imposante qu'est l'Agronomie est née du génie prodigieux de quelques hommes qui ont mis en place l'agriculture durable moderne telle qu'elle a été appliquée en Andalousie. Ceci démontre qu'il s'agissait d'un système intensif, biologique et mixte qui a été au service d'une population la plus nombreuse du monde et d'une civilisation florissante pendant des siècles en Andalousie, au Maghreb et dans leur sphère d'influence. Ce système agricole s'est construit et s'est développé sans l'aide de produits agrochimiques ou de l'une des soi-disant avancées de l'agriculture scientifique actuelle insatiable en émissions de carbone.
L'oeuvre des fondateurs de l'Agronomie berbéro-andalous mérite notre grande admiration et doit faire l'objet d'une grande réflexion. Tout autant, ces savants illustres doivent requérir de la part de l'Humanité redevable une profonde considération et un hommage des plus élogieux.
Ce livre est un modeste témoignage qui établit d'une manière rigoureuse des faits indéniables retraçant l'épopée de la création de l'Agronomie et des fondements sur lesquels reposent cette discipline scientifique !
« Et Iblis a très certainement rendu véridique sa conjecture à leur égard. Ils (Humains) l'ont suivi donc (...) ».
« Et quand on leur dit : « Ne semez pas le Désordre sur la terre », ils disent : « Au contraire nous ne sommes que des réformateurs ! » Une salle hypostyle monumentale ornée de somptueuses fresques aux couleurs chatoyantes qui parcourent les parois à l'infini. Un éclairage tamisé échappant de la voûte diffuse sa clarté sur une table de macassar luisante entourée de sièges convexes noirs entrelacés de signes sibyllins. D'énigmatiques personnages les occupent tapis dans l'ombre.
Une aura empreinte de mystère est le lieu de sinistres exposés sociétaux, de terrifiantes dispositions pour l'avenir de l'Humanité !
L'Homme est dans l'incapacité d'échapper à la question de son origine et de sa finitude. Cette interrogation fondamentale appuie les conceptions relatives aux rapports de l'Homme à sa nature organique, le Corps.
Pendant des millénaires guérir fut l'apanage des prêtres, des sorciers et des chamans. Les pratiques magiques, les systèmes philosophiques ou métaphysiques s'efforçaient de répondre aux besoins et aux angoisses de l'homme malade avant de trouver dans le rationalisme scientifique du VIIe siècle qui devait conduire aux progrès gigantesques et décisifs que sont ceux de l'époque contemporaine [essor des procédés de diagnostic et multiplication des moyens efficaces de traitement].
La Médecine au sens moderne du terme date du début du VIIIe siècle. On ne peut dans cet ouvrage qu'esquisser à larges traits les étapes essentielles, en citant pour chacune d'elles les figures et les découvertes dominantes. En mentionnant dans cet ouvrage les oeuvres et les grands noms des Sciences médicales, c'est faire preuve de justice à leur égard, eux qui ont construit l'édifice de la Médecine. Ces prodigieux artisans du progrès médical, au service de l'Humanité, ne devraient-ils pas être reconnus et ne plus demeurer dans l'anonymat ? Eux les fondateurs à juste titre des Sciences médicales ?
The Retabulism is a current of thought that formally asserts that History and Historiography commonly accepted, have been established for centuries on distorted foundations, garbled, or just completely fabricated. These [History and historiography] originate in the Middle Age, then set in printing in the Renaissance, become institutionalized in the quiet lounges during the Enlightenment, are prescribed in the chancelleries in the industrial era ; Finally, they popularized in all media in contemporary era.
The Orthodox History [or formal] has long been a first set of "events" chronic collections to strategic goals [political, mercantile, hegemonic, etc.] that uses and abuses of facts that were never produced. Therefore, the Retabulism protests against this spirit of deceit, prefabricated. Beyond preconceived events, the retabulist action describes the circumstances of their production and even, it should reveal what really happened by using all the means that science makes available to discover the reality so the historical truth.
Indeed, history is first retabulist knowledge of authentic events, then search their consistency [Harmony logical connection, no contradiction in their sequence, etc.] which exceeds the pure historiographical succession to form a coherent discourse: approximation, comparison, establishing causes chains, etc.
The Retabulist shows that history has logic and the latter is that of a reality that is built up to its source and not endlessly reproducing historiographical artificial content.
Beyond the dogmatic or historical dogmatism History [History orthodox or official and Historiography], can we glimpse the Retabulism a Counter-History, ie an overhaul of Humanities substrate ?
L'idée première des fondateurs de la Zoologie et de la Médecine vétérinaire est que l'animal est un objet d'études et de sciences. Le fait de s'intéresser à l'animal avait pour eux plusieurs objectifs. Le premier est d'acquérir un maximum d'informations pour le connaître de manière critique et d'en établir une répartition systématique (taxonomie) notamment dans le but d'en faciliter son observation et sa prospection (Sciences). D'autre part, de lui (animal) prodiguer des soins, car rétablir sa santé c'est également préserver celle de l'homme. Enfin, un animal en bonne santé représente un important enjeu économique et de santé publique. En effet, l'animal malade expose l'homme à de graves dangers. Tous ces éléments réunis s'inscrivent dans une logique réflexive, celle de créer une médecine particulière et explique donc l'émergence d'une science que l'Agronomie a engendrée et qui sera dans une relation, un état d'autonomie : la Médecine vétérinaire. Un tel avènement concourt à transformer la perception communément admise de l'animal, lequel devient une créature digne d'un grand intérêt et de diverses attentions. Les fondateurs de la Zoologie et de la Médecine vétérinaire ne conduisent-ils pas à la réhabilitation de l'animal par un long processus de vulgarisation intelligente, à le sortir de l'animalité la plus pure, de la bestialité et de la brutalité la plus radicale ? La Zoologie et la Médecine vétérinaire, dès leurs débuts, ont convaincu de leur utilité et de la teneur scientifique des travaux de leurs fondateurs. Ainsi, l'animal est devenu sujet de grande attention révélant par là un enjeu capital tant sur le plan scientifique, économique, médical qu'ontologique.
Dès les débuts, au IXe siècle, l'idée de la botanique se trouve associée à la pensée rationnelle : rendre intelligible l'origine, la constitution et le devenir d'une plante.
Cette science est née dès lors qu'il a été nécessaire de saisir le réel directement par les sens, par l'intelligence et de les confronter à l'expérimentation. Un tel résultat n'est pas obtenu en se basant sur des mythes cosmologiques, la magie ou des puissances surnaturelles, mais en postulant avant de le confirmer par l'expérience que la nature est régie par des lois constantes, que toutes les réalités obéissent à un ordre, que l'émergence ou la succession des phénomènes n'est aucunement due à l'action du hasard ou de processus d'une quelconque évolution.
La botanique sous-entend, d'une part, une notion biologique, à savoir l'étude de l'ensemble de végétaux identifiés en familles, genres et espèces vivants sur un espace géographiquement délimité ; ces espèces vivent en harmonie (symbiose ou mutualisme) ou s'isolent pour constituer des types de végétation tellement variés.
L'avènement des monographies botaniques traitant de groupes systématiques (famille, genre, etc.), des catalogues, énumérations commentées traitant des taxons connus sur une zone géographique ont été établis par des concepteurs géniaux tels que A.H. Dinawari, A. Ibn Al-Wafid, A.I.M. Al-Ghafiqi, A.A. Al-Nabati, A.M.A. Ibn Al-Baïtar et constituent le fondement de la botanique actuelle. En effet, le rôle et l'activité scientifiques des auteurs de cette science sont à l'origine d'ouvrages qui firent autorité durant des siècles. La botanique s'est enrichie depuis et a donné les diverses branches et travaux de floristique qui ont pris un développement considérable aujourd'hui. Dès le début du IXe siècle, paraissent des traités, des corpus, des manuels illustrés qui décrivent les espèces végétales et en incorporent d'autres exotiques grâce à l'essor des voyages d'exploration à des fins botaniques. Sur le plan pratique, les fondateurs cherchaient à rendre le contenu de la botanique le plus cohérent et le plus accessible possible.
Quoi qu'il en soit, l'évolution constante de la botanique et de ses conceptions classificatoires par l'incorporation des études cytologiques, palynologiques, biochimiques et cladistiques et de l'intérêt en écologie (modifications naturelles ou provoquées par l'homme) contribue à accroître savamment notre connaissance du domaine végétal.
Connaissez-vous l'Islam ? A cette question surprenante autant de réponses étonnantes.
Inspirer l'Islam, c'est inhaler le souffle du Message divin, le plus notable événement de l'histoire de l'Humanité.
L'Islam est une voie simple et rationnelle où l'homme s'engage pour un long voyage personnelle à la quête des hauts sentiments, des perceptions supérieures, des actions et des réactions contenues dans un système de valeurs. C'est aussi échanger, produire, développer, inventer un monde, une société humaine structurée et enluminée par l'esprit de la Révélation monothéiste de l'Islam. Par son effluve, à la fois infiniment nuancé, raffiné, sensuel, esthétique, humaniste, fonctionnel, adapté, équilibré, sage ; l'Islam est adressé à tous les êtres doués d'intelligence de l'Univers.
L'Islam est simultanément et inséparablement, une croyance, une foi, un ordre social, une expérience spirituelle et temporelle.
L'Islam demeure en même temps, captivant, car tout proche de l'inspiration humaine mais déconcertante à la fois, et donc rejeté, décrié, vilipendé.
Jésus fils de Marie ou Hiyça fils de Maryam ? Qui est-il ?
Toute l'existence de cet homme charismatique est mise au service d'une foi qu'il propage. Le Message divin qu'il transmet est identique à celui que ses prédécesseurs ont promulgué avant lui.
Sa naissance, sa vie, sa détermination, la force de sa parole, l'originalité de son style et la puissance du contenu de la Révélation fait qu'en cela il se révèle comme une manifestation exceptionnelle.
Cet ouvrage dévoile la mission de ce personnage ô combien illustre à travers son histoire et ses actions !
À ceux qui prêchent la tolérance et la liberté et qui voudraient la décrire, il existe une tyrannie bien plus sournoise : la musulmophobie.
A-t-il jamais existé d'autre intolérance à l'encontre du Musulman que dans l'essoufflement d'une société, d'un pouvoir, dont l'exigence fondamentale est de limiter officiellement, et de ne rien admettre officieusement qui pût, échapper à son contrôle et menacer son autorité et de ce fait, risquer de se dresser contre lui ? Sans doute ne paraît-il pas excessif de soutenir qu'il y a musulmophobie partout où il y a intérêt, crise, pouvoir, identité, État et religion, et cela, quels que soient les accommodements que l'une ou l'autre époque aménage.
La rigueur dogmatique des sociétés tout au long des siècles, généralement solidaires d'une certaine vision du Musulman, n'a jamais toléré les écarts en fait de son interprétation. Elles ont marqué du sceau de la musulmophobie leurs intransigeances le cours de son histoire.
En ce début du XXIe siècle, les circonstances de la musulmophobie rappellent à maints égards celles du VIe siècle. Peut-être le sens d'une telle musulmophobie s'éclaire-t-il à la lumière des rapports entre l'Islam et les autres croyances dès son avènement ?
En effet, la musulmophobie religieuse paraît dérisoire en regard de la musulmophobie idéologique qui l'a remplacée. Il n'existe guère plus de salut hors de l'État - et de sa société - que naguère hors de l'Église. Entre les régimes de libertés formelles et les régimes de centralisme bureaucratique, la musulmophobie des seconds sert le plus souvent de faire-valoir à la musulmophobie des premiers.
Ceux-ci, tout en accréditant la thèse d'un Islam pernicieux, savent la gérer et la développer selon leurs intérêts. Une société, un Etat replié sur une structure protectionniste obéit facilement à des réactions de xénophobie, de ségrégation, d'exclusion surtout si l'autre est Musulman. Ainsi en va-t-il de la musulmophobie.
Mahomet ou Mouhammad ? Ce Messager divin révèle les valeurs humaines qui marquent les débuts des réformes uniques dans les annales de l'Histoire. Il s'agit de la libération de l'Humanité du joug de l'Ignorance et de l'Obscurantisme. Les croyances insensées de l'Humanité avaient des racines si profondes, les entraves de l'irrationnel et de la Tradition étaient si solides, que seule la confiance en Dieu pouvait lui garantir le succès.
Quelle est cette force qui lui permet de réussir son entreprise titanesque ? C'est l'amour de l'Humanité et le souci de sa destinée [vie ici-bas et l'au-delà] qui caractérise le plus singulièrement la vie de ce Messager illettré.
Plus que l'apparition d'un esprit critique loin des préjugés et de la superstition, c'est l'Humanité qui s'éveille au sentiment de la dignité humaine et du désir d'agir de la façon la plus noble, c'est à dire être au service de l'Humanité !
Le Judéo-Christianisme, la superstition et la mythologie peuvent être combattus par la logique et la Science. Ainsi déplacé sur le terrain du discernement par une analyse et une argumentation textuelle de ses propres écrits, le Judéo-Christianisme ne s'installe-il pas loin de la Vérité ?
Le Judéo-Christianisme est-il l'oeuvre de l'imagination et de l'habitude fixée par les us et coutumes et les croyances populaires primitives ?
Dans cet ouvrage, l'étude du Judéo-Christianisme prend un sens épistémologique décisif où l'idée d'irréalité tend à remplacer celle de réalité au sens scientifique. En théologie, comme d'ailleurs en matière de science, il importe autant d'estimer des véracités que d'exiger des démonstrations.
L'analyse, ici, consiste à ne plus conjecturer et par conséquent, à examiner scientifiquement des assemblages et des combinaisons de causes. L'idée de la probabilité que le Judéo-Christianisme est de nature divine, c'est à dire « révélée », tend-il alors à être définie comme un degré de certitude ? En procédant à une critique analytique rigoureuse du Judéo-Christianisme, que dévoile-t-il et vers où bascule-t-il ? C'est ce que tente de révéler ce livre.
Les pyramides de Kheops, de Khephren, de Mykérinos ont toujours intrigué et elles continuent à entretenir leur mystère.
Incalculables sont les spéculations qui s'opposent, mais toutes ont cela en commun : aucune n'est satisfaisante. Les chiffres, la configuration, le choix du site, la disposition et les proportions des édifices révèlent une réalité. L'équilibre règne sur ces constructions et, indubitablement, il demeure mystérieux au regard du simple observateur.
La prouesse technique extraordinaire démontre des propriétés mathématiques remarquables qui sont mises en place par leurs constructeurs. L'extraordinaire précision obtenue par ceux qui les on érigées est telle, par exemple, que leur orientation suivant les quatre points cardinaux est parfaite.
Les pyramides du plateau de Guizèh surgissent pratiquement ex nihilo, au stade final de leur apparition. Cet ouvrage invite à un voyage dans l'univers de l'invisible !
Depuis des siècles la société musulmane est complètement annihilée. Ses nobles sentiments, ses élans généreux, sa fougue civilisationnelle qui existaient en elle se sont effacés pour faire place à un état d'avilissement et de dégradation sans issue. Pendant des périodes séculaires, la société musulmane est courbée sous le joug de quelques dynasties archaïques au tempérament bestial. Elle a perdu cette caractéristique naturelle, être au service de l'Humanité, qui l'a toujours distinguée et a sombré peu à peu dans cette apathie et abrutissement où nous l'observons actuellement, et qui nous laisse perplexe.
Une problématique embarrassante et certes de taille hante d'emblée l'esprit : est-il possible que ces individus contemporains se réclamant de l'Islam puissent avoir une quelconque relation avec leurs coreligionnaires musulmans bâtisseurs de la Civilisation universelle, héritage de nos sociétés contemporaines ?
Cet ouvrage invite à découvrir les ennemis de l'Islam beaucoup plus dangereux et plus sournois que ceux que la littérature et la propagande ont l'habitude de nous présenter. Les ennemis de l'Islam ne sont pas forcément ceux que l'on croit !
Abraham ou Ibrahiym ? Héroïque dans sa querelle religieuse avec ses concitoyens. Cet homme est volontiers habité par un esprit révolutionnaire et une insatisfaction démesurée concernant la Tradition des Ancêtres. Son destin est de rejoindre en cette vie même une Vérité soustraite aux vicissitudes corrompues de l'idolâtrie et du polythéisme.
Aussi, toutes ses valeurs morales et spirituelles tendent à coexister à l'échelle d'un Absolu divin. Le Message dont il est porteur, l'Unicité de Dieu Maître de l'Univers, est chargé de significations plus précieuses que jamais.
Ce livre présente un être qui incarne si merveilleusement le monothéisme pur. Un personnage aussi illustre est à juste titre un exemple pour l'Humanité, un croyant ayant foi en l'Être Suprême.
Moïse ou Mouwça ? Ce Messager divin demeure la source vivante d'une conduite religieuse exemplaire.
Aussi, cet homme hors du commun, met-il l'accent sur l'Unicité d'un Dieu Unique, Créateur de l'Univers. Par son charisme, il déborde la sphère purement religieuse et se charge de significations politiques et sociales.
Ce livre retrace les péripéties pénibles de ce médiateur entre un Dieu bienveillant et des hommes dédaigneux.