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Myriam Thibault
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Un jeune chroniqueur télé, content de sa personne, a un coup de foudre pour une femme élégante croisée dans la rue. Il la suit jusqu'à ce qu'elle le remarque. Après quoi il se sent idiot et fuit. Attirée par le regard de cet inconnu, c'est alors elle qui décide de le suivre.
Ils finissent par se rencontrer réellement, chacun ayant décidé d'avouer son attirance, et passent la soirée ensemble. Pourtant, aucun des deux ne voudra faire un pas décisif vers l'autre, chacun restant sur son quant-à-soi, l'orgueil étant plus fort que le désir.
Au gré des rues parisiennes et des références culturelles, Myriam Thibault épingle l'incapacité à dévoiler ses envies et à avoir le courage de les vivre chez des êtres préférant passer à côté des choses essentielles plutôt que - la pire des infamies - risquer une déception.
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Le premier livre d'une très jeune fille : un recueil de nouvelles autour de l'amour de Paris.
Le titre du recueil recouvre le thème principal des dix nouvelles de la jeune Myriam Thibault :
L'amour de Paris. Les personnages, guidés par leurs relations amoureuses, leurs ambitions professionnelles ou tout simplement par le plaisir de flâner dans les plus belles rues de la capitale, voient leur destin lié à ce lieu, qui constitue le décor de leur théâtre intime.
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L'esprit des femmes ; Françoise Sagan, Marguerite Duras, Simone de Beauvoir, Colette, Madame de Staël
Myriam Thibault, Patrick Grainville, Bénédicte Martin, Jean Chalon, Lilian Auzas
- La Thebaide
- Duetto
- 12 Octobre 2017
- 9791094295137
Des auteurs prennent la plume à propos d'un grand aîné écrivain dans l'art du roman. «Françoise SAGAN fut de ces quelques écrivains qui m'ouvrirent la porte de la littérature et du théâtre. Grâce à elle, j'accédais à un nouveau monde. «Bonjour tristesse» et «Château en Suède» furent de véritables chocs littéraires. » Myriam Thibault «J'ose écrire ce portrait de Marguerite DURAS, autour de quelques promenades que nous avons faites en Normandie, mon pays natal. Elle connaissait la région comme sa poche... Marguerite me confiait mille anecdotes au débotté, intimes et féroces. Son vrai visage m'apparaissait : ses obsessions tragiques, ses peurs, ses décrets furieux, sa belle dinguerie littéraire.» Patrick Grainville «A votre Simone de BEAUVOIR, je dénouerai le chignon. Parce qu'elle chapitra à longueur de pages les femmes soumises, vassales, auxiliaires, dévouées, oublieuses d'elles-mêmes, on n'a pas voulu voir cette femme coquette qui se fendait de lettres d'amour sottement passionnelles. C'est cette Simone-là que j'aime : la grande amoureuse, la jolie capricieuse, la demanderesse d'affection.» Bénédicte Martin «Je me vois toujours en train de lire un livre de COLETTE. C'est ma drogue dont je prends, chaque matin, une dose en ouvrant, au hasard, un volume des oeuvres complètes de mon idole qui m'a aussi servi de guide pour explorer Lesbos.» Jean Chalon «Si je n'avais pas lu Madame de STAËL, ma vie aurait simplement été tout autre... Et puis cette phrase qui agit comme un précepte, une ligne de conduite littéraire : «C'est pour les malheureux qu'il faut écrire.»» Lilian Auzas
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Petit précis du conte : du rendez-vous des grandes gueules de trois pistoles au Québec
Jocelyn Berube, Wina Forget, Gabrielle Ayotte Garneau, Myriam Thibault, Vickie Vincent
- Oui Dire
- Contes D'auteurs
- 4 Février 2022
- 9782376110538
Le festival du Rendez-vous des Grandes Gueules s'est rapidement taillé une place de choix dans l'univers du conte au Québec. On y célèbre les traditions tout comme on embrasse le renouveau du conte. Un incontournable pour les artistes qui aiment y retrouver son public extraordinaire, sa convivialité et son esprit de famille. Portrait.
Vingt-cinq ans que ça dure ! Vingt-cinq ans de festival à se raconter, se rencontrer et grandir ensemble. Comment fêter ça ? Comme dans un grand banquet, se délecter de la crème de la crème des contes québécois avec les meilleures convives. Une fête de famille. Un festin de retrouvailles !
* * * Par la magie de leur verbe, conteuses et conteurs amènent leurs auditeurs et auditrices à construire et à explorer leur propre banque d'images. En ce début de millénaire, le retour du conte ne répondrait-il pas, du moins en partie, au besoin que nous avons de donner un sens à notre réalité virtuellement augmentée ?