Paris vit au rythme de l'Occupation allemande. Pour se rendre utile, Judith, fille d'immigrés russes, devient interprète au ministère de l'Intérieur. Impétueuse et pleine d'idéaux, elle tente d'avoir accès à certains secrets pour les transmettre au réseau de Résistance qui l'a recrutée. Mais la jeune femme va voir ses certitudes vaciller le jour où, lors d'une mission d'espionnage, elle rencontre Reinar, un commandant de l'armée allemande. L'homme est charmant, éduqué, intelligent. C'est le coup de foudre. Le problème, c'est que Judith est mariée. Son époux est parti au front et elle est sans nouvelles. Est-il mort au combat ? Le coeur écartelé, prise dans la tourmente de la guerre, la jeune femme va devoir faire un choix qui scellera son destin...
Dans le Paris de l'avant-guerre, le petit Joseph n'a pas assez de ses deux yeux pour absorber tous les bonheurs qui s'offrent à lui.
Quelques années plus tard, ses parents refusent de s'épingler une étoile sur le coeur et se réfugient avec leurs quatre enfants dans le Limousin.
Le jeune parisien se mue vite en un petit paysan qui vit au rythme des saisons en compagnie des autres gosses de son âge, dont Solange, son premier émoi amoureux.
Le détective privé Lenarf est engagé par un entrepreneur de pompes funèbres organisant des enterrements pour VIP et dont deux clients sont morts à intervalles rapprochés, ce qui suscite une double interrogation. Rejoint par deux pointures de la police officielle, Lenarf partira à L'île de la Réunion découvrant les dessous d'une affaire aussi dangereuse qu'étonnante. Suspens, rebondissements et beaucoup d'humour, cet enterrement a un air de fête dont seul Joseph Farnel semble avoir le secret !
Paris, 3ème arrondissement.
Quand, au petit matin, deux coups de feu claquent juste sous ses fenêtres et qu'un cadavre est retrouvé sur le trottoir, le privé Georges Lernaf s'empare de l'affaire. Il assiste son ami le commissaire Émile Dujardin, chargé de l'enquête.
Les témoins sont unanimes. La victime, mannequin de mode, a été assassinée par un fantôme. Le privé et son acolyte découvrent alors les arcanes et la face cachée de la haute couture parisienne, au sein de la maison le "Fashion Love".
Mais très vite, d'autres meurtres sont commis, selon le même mode opératoire.
6 juin 1944, les Alliés débarquent en Normandie... Une journée comme toutes les autres depuis le début de l'Occupation s'annonce pour Francine, jeune mercière d'un village corrézien. Ses pensées sont tournées vers David, maquisard rencontré quelques mois plus tôt. Le maire, qui voit dans la libération prochaine le retour au hameau des soldats partis combattre, espère un nouvel élan. Pour cette raison, il propose à Francine d'ouvrir une salle de bal et un complexe sportif afin de conserver la jeunesse sur place. Peut-être au détriment des anciens... Francine réussira-t-elle à mener de front la mission confiée par l'édile et une histoire d'amour troublante??
Ces vies obscures dont on parle rarement. On entre dans le milieu des "bougnats" des petits quartiers de Paris. Un mariage urgent avec le fils de la patronne, trois filles, dont l'une est de Monsieur Georges le client si distingué.
Le veuvage quand son mari meurt à la Seconde Guerre mondiale, un enfant juif qu'on soustrait aux rafles; et les trois filles qui grandissent, avec les amours vrais et les mauvais mariages. Quand Emilie, remariée sur le tard, regagne l'Auvergne, elle passe le flambeau à Jeannine, la plus jeune, et c'est comme si tout allait recommencer. Un roman où les destins se croisent et rencontrent l'histoire: la Deuxième Guerre mondiale, la déportation, la résistance, la naissance d'Israël, l'Algérie...
Un roman pourtant sans fioriture dont les pôles sont Paris et l'Auvergne, et les héros, des gens "ordinaires". Une belle histoire qui nous touche droit au coeur.
Une oeuvre originale aux allures de saga, mais une saga des justes.
Georges Lernaf, détective privé, et son ami le commissaire Emile Dujardin enquêtent sur la disparition de Robert Duchêne, poignardé en pleine rue, au sortir d'une garde à vue pour violences conjugales. En fouillant dans la vie de ce dernier, le duo lève le voile sur une double vie à l'opulence et au luxe inouïs ainsi que sur de nombreux autres secrets.
De faux-semblants en vrais proverbes, Joseph Farnel nous entraîne avec lui dans une enquête et cette atmosphère particulière qui fait son originalité.
Le cinéma pornographique et ses vedettes plus souvent hybrides féminin-masculin. La drogue qui circule sous le manteau. Les cadavres mutilés qui s'exposent en plein jour. Voilà à quoi est confronté le privé Georges Lernaf qui, entre les rencontres féminines et sa vélocité de résoudre une enquête où les rebondissements explosent comme un orage d'été, n'en n'oublie pas pour autant l'humour auquel il nous a habitué...
En 1935, dans un petit atelier en étage à l'angle des rues où sont construites maintenant les grandes boutiques démarrait une fabrication de prêt-à-porter. Quelques années après la guerre, deux des fils prennent l'affaire en main. À ce moment-là, les restrictions et la pénurie de matières premières se font cruellement ressentir. Ainsi la mode pour hommes consiste à se vêtir des surplus de l'armée américaine du genre battle-dress, flying-dress et autres. Qui précédera le style « Zazou ».Quand Joseph Farnel a intégré le petit atelier de son père, en 1950, pour apprendre le métier de tailleur, ses vues sont tout à fait autres : pas de vêtements tristes et lourds. Ainsi, il ira sillonner la France du textile, se glisser dans les stocks des usines et parviendra, non sans mal, à trouver des étoffes innovantes. Il dépose alors sa première marque « ORLY » l'envol de l'élégance masculine. Le succès est immédiat, les confectionneurs le suivent et, pour la première fois, le nouveau nom « Prêt à Porter » apparaît qui remplace celui de confection. Il va de nouveau sillonner la France mais cette fois pour convaincre les détaillants de l'hexagone et ça marche ! Les premiers salons européen de l'habillement masculin y contribue pour une grande part et principalement pour l'exportation... Quelques années plus tard son frère Henri le rejoint et forment à eux deux une redoutable équipe. Joseph s'occupant du style et des relations commerciales, Henri de la production. En 1965, les frères Farnel rencontrent les frères Renoma et achètent la concession. Joseph dessine une collection complète et monte un groupe réunissant tous les produits vestimentaires pour hommes. Le succès est foudroyant. Le lancement d'une ligne féminine, en 1970, qui attire des femmes célèbres, telles que Sofia Loren, madame Kennedy et beaucoup d'autres, suivi du lancement d'une nouvelle marque pour enfants, « Les enfants Terribles, qui sera suivit par « Les amoureux terribles », marque de sportwear...
Georges Lernaf ne s'attendait pas à recevoir cette Vénus venue lui demander d'enquêter sur la meilleure façon de se débarrasser de son ex souteneur « Pierrot le dingue ».
Il ne s'attendait pas non plus à ce que son voisin du dessus reçoive ce même jour une balle entre les deux yeux.
Il ne s'attendait encore moins à ce que ce soit son ami, le commandant Emile Dujardin, qui soit en charge de cette affaire.
Mais lorsqu'il apprit que la vénus était la fille de son voisin du dessus, il se rendit compte qu'il avait mis le pied dans un nid de frelons et ça, il ne s'y attendait pas du tout !
À douze ans, Michel Canouviel perd ses parents de façon accidentelle. Refusant d'aller à l'orphelinat, il s'enfuit à Paris. Ici, celui qu'on appellera désormais « Canou » fait son apprentissage auprès d'Armand, baignant dans de peu honorables activités. Au fur et à mesure des rencontres et des années, le jeune homme, dégourdi et opiniâtre, engrange beaucoup d'argent et mène une vie paisible, voire ennuyeuse.
Au point de ne pas s'apercevoir que la France sera bientôt occupée ! De cette prise de conscience va naître le nouveau Canou qui s'engagera bientôt dans la Résistance.
A la Libération, Juliette fugue, abandonne ses parents aimants pour rejoindre Alain à Paris, un résistant dont elle est tombée folle amoureuse. Pourtant, Alain n'a pas toujours été du bon côté pendant la Guerre, et Juliette découvre une vie qu'elle va rapidement adopter : l'argent, le luxe, mais aussi les magouilles... Sera-t-il trop tard quand elle ouvrira les yeux sur celui qu'elle croit aimer ?
Georges Lernaf, le privé de ces dames, n'a pas vu venir le coup.
Pourtant, ce n'est pas un débutant, ni dans la résolution des enquêtes, ni dans ses relations avec le beau sexe. On n'ignore pas qu'un train peut en cacher un autre, mais on oublie aussi qu'une créature de rêve peut en cacher une autre, et celle-là, décochée à la façon d'un missile par un des sbires de Lucifer.
C'est ainsi que, de chasseur il devient le gibier qui le fait tomber dans un piège le précipitant dans une cavale qui pourrait bien le mener en ligne droite dans les paradis carcérales de la douce France, les poignets munis de bracelets qui ne viennent pas d'un des grands bijoutiers de la Place Vendôme. Jusqu'à Dujardin, le commandant de police, et néanmoins son ami, qui doute de lui.
Alors, « il court, il court le privé » de ces dames, à la recherche d'un bois joli.et ce n'est pas joli, joli.
Georges Lernaf, le privé, et Emile Dujardin, le commandant de police, n'en oublient pas pour autant les plaisirs de la cuisine de nos grands-mères, et ne rechignent pas à la dégustation, on peut le dire comme ça, des bons petits vins de pays que nos viticulteurs soignent avec amour.
La fine équipe est de retour pour votre plaisir.À déguster, sans modération !
L'auteur : Joseph Farnel, dont certaines critiques disent qu'il est poly-écrivain, a dirigé une maison de couture de renommée internationale durant de longues années. Parallèlement à cette carrière industrielle, il a mené une activité littéraire dense, qu'il poursuit aujourd'hui. Il est l'auteur d'une vingtaine de romans dont de nombreux récompensés par des prix littéraire, parmi lesquels Le butin du Vatican (éditions Pascal Galodé) qui a obtenu le
Georges Lernaf croyait en avoir fini avec les tableaux spoliés durant la deuxième guerre mondiale. C'est pourquoi il s'étonne lorsqu'un homme d'église, envoyé par le Vatican, sollicite un rendez-vous, dans le cadre de son enquête sur un trafic occulte d'oeuvres d'arts volées, réapparaissant, bien que tachés de sang, près de 70 ans après, dans certaines collections ou ventes sulfureuses. Il acceptera de le recevoir mais le regrettera très vite. Comme il regrettera d'avoir ramassé cet étui de cuir que tenait l'ecclésiastique avant de baigner dans son sang. Etui de cuir renfermait une toile de Frans Hals, natif d'Anvers au 16ème siècle et peintre de génie. A partir de là, tout va se précipiter pour notre détective.
Découvrez Les secrets du Mossad, le livre de Joseph Farnel. Si les échecs du Mossad sont très vite rendus public, les réussites restent pour la plupart secrètes. Le 14 mai 1948, à 16 heures, Ben Gourion lit la déclaration de la naissance de l'Etat d'Israël, après avoir entonné l'hymne national. En 1949, il fonde un organisme unique visant à améliorer la coopération entre les services de sécurité déjà existants en Israël : le Mossad. Cette année-là, David Elbaum n'a pas encore deux ans. Il ne sait pas que son destin sera intimement lié à ce service secret. Et qu'il en sera l'un des piliers. Alors âgé de dix-sept ans, le jeune David est approché par un dénommé Moshé, qui conserve religieusement le mystère sur sa vie.
Moshé lui propose sans détour de devenir membre du Mossad.
Ainsi va de la nouvelle vie de David, surnommé "MM", Mossad Man. Ses missions : démanteler une cellule nazie, rapporter du pétrole en Israël, traquer les ennemis du pays, observer des mouvements de troupe égyptiens en proie à la guerre... A chaque action, il faut faire vite. Un récit qui se lit au rythme du métronome d'un compte à rebours. "Le problème ne fut pas d'obtenir le renseignement, mais de l'exploiter correctement."
Des tableaux de grands maîtres ont disparu durant la Seconde Guerre mondiale.
Quand ils réapparaissent, cinquante ans après, le miracle sent le trafic à plein nez...Georges Lernaf, détective privé de son état, se trouve mêlé à cette affaire dont il doit, avec l'aide du commandant de police Emile Dujardin, reconstituer l'écheveau d'intrigues. Les fils le mèneront jusqu'aux services spéciaux de différents pays, en passant par la passion de la peinture et de la justice... Le but ? Retrouver la collection Schloss.
Les deux compères, dont les dialogues ne manquent pas de piquant, vont s'y employer tout en évitant de laisser trop de cadavres sur leur chemin. Et ce n'est pas une mince affaire car, c'est bien connu, le monde de l'art est im-pi-toya-ble. Du suspense, de l'humour, une écriture alerte et accrocheuse pour ce polar moderne et imprégné des grands classiques du genre. Le plaisir que prend l'auteur à nous entraîner au coeur de l'action, argot et bonne franquette inclus, est tout à fait contagieux.
Flingue bien calé sous l'aisselle, dévorez cette enquête entre coups de feux et coups de pinceaux.
" Cigarettes, whisky et p'tites pépées...
" comme le chantait Eddie Constantine. Cela colle, comme une seconde peau, à Georges Lernaf, détective privé. Avec son ami, Emile Dujardin, commandant de police, qui truffe son langage de dictons approximatifs ou incomplets, il est à la recherche de têtes égarées, envolées, disparues : celles qui manquent aux cadavres que semble semer un tueur en série. C'est un ballet de nymphomanes, parfois aux goûts variés, croisant - et plus - hommes d'affaires, avocats et princes de la pègre ; et notre privé et notre commandant de police, à crocs, ne peuvent que geindre : " J'ai perdu la tête ! ".
Vont-ils la retrouver ? Quand vous aurez, ami lecteur, terminé ce livre, vous le saurez. Mais ne le dites pas à vos amis, vous vous en feriez des ennemis.