La nature nourrit, guérit et offre mille services. Mais les sols cultivables s'épuisent, les abeilles disparaissent, compromettant la pollinisation, et donc la production de fruits et de légumes. Partout, les ressources se raréfient, et ce qui était gratuit devient soudain payant. Face à notre gloutonnerie, la nature peine à suivre.Si tous les Terriens vivaient comme les Américains, il faudrait quatre planètes pour répondre à leurs besoins. Or nous n'en avons qu'une:la nôtre...
La question de l'évolution est au coeur de la biologie et au centre d'une polémique entre créationnistes et évolutionnistes. Qu'en est-il de la botanique dans ce débat? Selon la vulgate darwinienne, l'évolution est le fruit du hasard, conjugué à la sélection naturelle des mutants les mieux adaptés. Loin de contester cette théorie, la botanique attire l'attention sur d'autres mécanismes, notamment le principe d'«associativité», capables d'expliquer les phénomènes auxquels sont soumis les végétaux.Résultat de cinquante ans de recherches et de réflexions sur le sujet, ce livre ouvre de nouvelles perspectives sur la compréhension du phénomène vivant.
Quand le végétal devient un merveilleux conseiller Prenons exemple sur le monde végétal pour faire évoluer les relations entre les Hommes ! Les plantes aussi ont une vie sociale ! Comme nous, elles forment des associations, s'organisent en société, et obéissent à des lois qui régissent nos propres comportements individuels ou collectifs ; elles élaborent des stratégies sophistiquées pour se faire la guerre, sont souvent en compétition, font de la résistance et connaissent même le chômage ! Mais elles développent aussi des sentiments, et même des formes puissantes de solidarité et d'entraide dont il serait judicieux de s'inspirer : une vraie leçon de vie pour les hommes !
Jean-Marie Pelt s'attache ici à nous parler d'écologie avec une approche tout empreinte de spiritualité. Il nous convie à un retour aux origines par le biais des grands textes fondateurs de notre civilisation. Qu'il s'agisse des trois religions monothéistes, mais aussi du bouddhisme ou des cultes animistes, les écrits et paroles recueillis sont unanimes : l'homme se doit d'être proche de la nature, de la terre-mère, car c'est elle qui le porte et le nourrit.
Jean-Marie Pelt fait donc entendre ce message, qui mérite d'être médité, envoyé par nos lointains ancêtres.
Contre ce monde anxiogène et nos modes de vie en perpétuelle évolution, Jean-Marie Pelt nous propose de retrouver les chemins de la spiritualité, de se souvenir de la sagesse de la nature. Psychologies magazine.
Darwin n'a pas forcément raison lorsqu'il affirme que la « loi du plus fort » règne en maître absolu dans la nature. En vérité, celle-ci met en oeuvre des systèmes de symbioses, de complémentarités et de solidarités, qui jouent un rôle déterminant dans l'évolution de la vie : les lichens sont des êtres doubles, comme les coraux, où chacune des parties apporte à l'autre sa contribution ; les champignons nourrissent les arbres qu'ils semblent parasiter ; dans le règne animal, poissons et oiseaux pratiquent des comportements d'entraide qui témoignent d'un authentique altruisme.
C'est cette histoire trop méconnue des êtres vivants que le botaniste Jean-Marie Pelt raconte dans cet ouvrage, avec le brio, l'humour et la passion qu'on lui connaît.
Un collégien interroge le botaniste écologue sur ce que recouvre le terme d'écologisme, le lien entre croissance écologique et décroissance économique, les OGM ou encore le rapport entre science et religion.
Jean-Marie Pelt Les Langages secrets de la nature Si les vertus médicinales des plantes sont depuis longtemps connues de l'homme, l'idée d'une communication entre elles et nous - la fameuse « main verte » - passe encore bien souvent pour un mythe ou une superstition. Et pourtant, les plus récentes avancées de la biologie végétale le confirment : les plantes ont bel et bien une sensibilité, un langage, une mémoire.
Jean-Marie Pelt expose ici des faits prouvés, démontrant par exemple comment des arbres communiquent à distance, comment des fleurs réagissent à l'agression, mémorisent une expérience, connaissent la souffrance ou la sérénité. Et d'étonnantes analogies apparaissent entre le règne végétal et le règne animal ou humain.
En notre temps épris de communication et d'innovation technologique, mais dans un complet désarroi quant aux valeurs, c'est à une autre vision de la nature, de la vie, et en somme de nous-mêmes, que nous convie l'auteur du Tour du monde d'un écologiste. Il nous appelle du même coup à redéfinir la place et les interventions de l'homme dans le monde vivant.
Il y a vingt ans, Jean-Marie Pelt publiait son Tour du monde d'un écologiste. Il remet ici ses pas dans les siens, non plus pour dénoncer les déprédations subies par la planète, mais pour nous faire partager l'éblouissement du savant face à l'infinie diversité de sa parure végétale, liée à la disparité des sols et des climats rencontrés. Son périple le conduit de l'Afghanistan au Proche-Orient, où il cherche en vain la trace des roses d'Ispahan, de l'Afrique subsaharienne où, curieux du vaudou, il fait connaissance avec les pouvoirs des plantes hallucinogènes, à ces précieuses réserves que constituent les îles et archipels, des Seychelles aux Maldives, de Maurice aux Canaries, avant de rentrer, tel Ulysse, dans son canton « aux trois frontières », à deux pas de Schengen. À quatre-vingts ans passés, plus « vert » que jamais ; cet inlassable défenseur de la nature nous livre toute la mémoire de ses savoirs et de ses émerveillements.
L'ouvrage s'ouvre par L'Homme renaturé - publié en 1977 et couronné par plusieurs prix dont celui des lectrices de Elle -, qui reste d'une parfaite actualité. Il couvre l'ensemble des domaines que la pensée écologique a développés depuis sa parution.
Dans La Vie sociale des plantes, l'auteur illustre à sa manière la célèbre phrase de Leibniz : « L'analogie est le grand facteur du progrès scientifique. » Il y développe, de façon parfois surprenante, une vision originale du monde végétal qui marque sa proximité avec celui des hommes.
Dans De l'univers à l'être, c'est une fresque grandiose qui nous est présentée : celle de l'évolution, du big bang jusqu'à l'apparition de l'homme. Elle montre que, au-delà du matérialisme ambiant, l'évolution suit une direction, qu'elle a un sens et qu'elle travaille de manière identique les sociétés végétales, animales et humaines, en mettant en oeuvre les mêmes mécanismes et en soumettant tous les vivants aux mêmes lois.
Dans sa trilogie La Loi de la jungle, La Solidarité chez les plantes, les animaux et les humains et La Raison du plus faible, Jean-Marie Pelt met en évidence l'importance des phénomènes de coopération dans l'évolution et dans la vie des sociétés. Il montre les étonnantes « inventions » de la nature pour préserver son unité et son équilibre.
Dans Nature et Spiritualité, l'auteur parcourt les grands courants spirituels d'Orient et d'Occident. Il met en lumière, à travers leurs textes sacrés, leurs manières propres de concevoir les relations de l'homme et de la nature. L'auteur chrétien livre ici les fondements de sa propre spiritualité. Derrière ses compétences scientifiques indiscutables, il nous ouvre à cet arrière-monde, celui de l'esprit, qui seul permet, selon lui, d'accéder à la sagesse qui fut celle des savants, des sages et des saints de tous les temps : sagesse qui fait si cruellement défaut au monde contemporain séduit par l'hybris du pouvoir, de l'avoir et de l'explosion des technologies.
Des récits de vies de personnes connues ou inconnues portées par l'amour de Dieu, des hommes ou de la nature : visionnaires, écologistes, saints bouddhistes, indiens ou musulmans, etc.
Jean-Marie Pelt Mes plus belles histoires de plantes « S'il n'y avait plus de plantes ? Eh bien, nous ne serions évidemment pas là pour en parler. D'ailleurs, nous ne serions pas là du tout. Plus de plantes, plus d'hommes. Et plus non plus de pain, car plus de blé. Plus de fruits, plus de légumes, plus de céréales, mais plus de viande non plus, car la vache broute l'herbe qui fait sa chair. Plus d'épices, plus de condiments, plus de jus de fruits, de bière, de vin, d'alcool.
Il ne resterait que le sel et l'eau ! Bref, nous serions condamnés à nous nourrir d'eau de mer, comme les premières algues vieilles de trois milliards d'années.
Inutile de poursuivre : plus de plantes, plus rien. Et surtout plus d'oxygène. Sans plantes, nous mourrions non seulement affamés, mais asphyxiés dans un désert de sable et de cailloux.
Mais imaginons le scénario inverse ; ce sont les plantes qui parlent ; elles se disent entre elles : Et s'il n'y avait plus d'hommes ?. » J.-M. P.
Compétition pour la lumière dans la forêt, où les arbres les plus chétifs meurent étouffés par les plus forts ; conquête massive de territoires par de redoutables envahisseurs ; déploiement d'armes chimiques sophistiquées : les plantes ont mille manières de se faire la guerre. Mais nul ne dirige ces entreprises belliqueuses, car les plantes sont un monde sans chef. Les animaux s'affrontent pour la nourriture, le territoire, le partenaire sexuel ou la protection des petits. Mais, à travers l'évolution, la nature a inventé d'habiles stratagèmes visant à réguler leur agressivité ; on les voit se mettre en place et se perfectionner chez les poissons, les oiseaux et même les loups. Ils échouent malheureusement chez les rats... et les humains. En effet, nous sommes loin de nos cousins les bonobos, ces grands singes qui, fidèles
au slogan de Mai 68, font l'amour mais pas la guerre. De tout temps, les humains ont tenté de maîtriser l'agressivité qui menace si dramatiquement leur espèce, mobilisant à cette fin les philosophies, les religions, la psychologie et la sociologie. Force est de constater qu'ils n'y sont pas arrivés. Y parviendront-ils, et comment ? Peut-être en s'inspirant des modèles qu'offre la nature...
Les Vertus des plantes, Ces Plantes que l'on mange, La Beauté des plantes et des fleurs : les 3 ouvrages de référence parus aux éditions du Chêne de Jean-Marie Pelt réunis en un seul volume. Pour tout savoir sur les vertus des plantes et des fleurs, des plus douces aux plus puissantes.
La reine de Saba, Sindbad le Marin, le Calife de Bagdad, Marco Polo... autant de figures légendaires qui évoquent les mystères de l'Orient fabuleux, mais aussi ses richesses... Tandis que les Arabes sillonnent l'océan Indien, le Portugais Vasco de Gama découvre, au xvie siècle, la route maritime des Indes, la fameuse route des épices. S'engage alors une farouche compétition entre Gênes, Venise, le Portugal et, finalement, les Pays-Bas. C'est à un savant et aventurier français, Pierre Poivre - au nom prédestiné -, que revient le mérite d'avoir cassé le monopole hollandais et d'avoir ouvert le marché des épices au commerce international. Mais, au-delà de l'histoire et des légendes, Jean-Marie Pelt diagnostique ici les caractéristiques botaniques, pharmacologiques et, naturellement, culinaires de ces fameuses épices. En prime, Jean Cabodi, restaurateur, nous livre ici une vingtaine de ses recettes, délicatement épicées...
Jean-Marie Pelt, écologiste convaincu, nous invite à regarder les étoiles pour écouter le silence et contempler la nature. Avec lui, éduquons les jeunes à l'essentiel pour coopérer à l'émergence d'une autre culture.
De la nature la plus sauvage aux espaces que l'homme aime à leur aménager, les fleurs et les plantes nous prouvent chaque jour leurs multiples vertus ornementales. Chacune possède ses qualités décoratives propres et les exprime pleinement selon son environnement. Dans ce troisième opus, Jean-Marie Pelt nous conte avec son talent habituel la merveilleuse aventure des plantes qui ornent aussi bien nos parcs et jardins que nos balcons et salons. Du traditionnel géranium à la rose légendaire, jusqu'au très exotique strelitzia, l'auteur nous éclaire tour à tour sur leur origine, leurs spécificités botaniques et sur l'histoire que l'homme entretient avec chacune d'entre elles. La très riche iconographie de l'ouvrage marie des illustrations anciennes aux magnifiques photographies contemporaines de Virginie Pérocheau.
Là démarche écologique prend, peu à peu, une place jamais égalée dans la conscience collective.
Cependant, des discours contradictoires, alimentés par des mobiles économiques, politiques ou médiatiques, brouillent trop souvent la réflexion au risque de lasser l'opinion et de la détourner durablement d'un débat qui engage notre avenir. Cet ouvrage se situe résolument en contrepoint de ces dérives. Il suggère des actions simples et novatrices, adaptées aux différents contextes culturels. Invitant à une révolution des modes de vie, il élargit la réflexion à un véritable humanisme trop souvent oublié.
Le parti qui a été pris d'un entretien, au cours duquel sont abordées les questions simples que peut se poser le lecteur non spécialiste, rend l'exposé particulièrement limpide.
Le monde « progresse » à toute vitesse. Le vent souffle de même, comme on l'a vu lors des tempêtes de Noël 1999. Ici, l'euphorie économique ; là, des cyclones d'une violence jamais vue. Tandis que l'économie prospère, l'écologie dégénère.
Il est temps d'agir !
Faut-il se contenter de ranger les transats sur le pont d'un Titanic d'ores et déjà condamné au naufrage ? Ou changer carrément de cap, comme le ferait celui qui aurait pris l'autoroute à contresens ? Changer de direction et tout changer sans tout casser : tel est le message de ce livre.
Ni science-fiction ni futurologie débridée ; sont seulement suggérés les voies et les moyens susceptibles d'engendrer un puissant courant de réformes en vue de mieux protéger l'homme, la nature et la vie. De proposer de nouveaux thèmes de réflexion et d'action, à l'aube du troisième millénaire, pour laisser à nos enfants une Terre en bon état.
A cette fin, on a mis en scène un grand nombre d'acteurs, de situations concrètes, d'exemples suggestifs à la façon de notre Tour du monde d'un écologiste, paru en 1989, dont le présent ouvrage constitue une série de nouvelles étapes.
Jean-Marie Pelt
L'érosion de la biodiversité est un fait incontournable, une tragique certitude.
Au rythme des découvertes actuelles, il faudrait plus d'un millénaire pour décrire la totalité des espèces de la planète. Et l'espèce humaine ? Avec ces 7 milliards 300 millions d'individus est-elle un succès de l'évolution ? Sans doute, et pourtant... Apparue il y a moins de 200 000 ans, elle est parvenue à elle seule à déséquilibrer l'ensemble de la biosphère érodant la biodiversité, abusant des ressources, modifiant les climats et polluant la nature.
En partant de ce constat lucide et éclairé, Jean-Marie Pelt veut nous dire que nous sommes tous concernés par le devenir de notre planète et que c'est en respectant toutes les formes de la diversité que nous parviendrons à réconcilier et unir l'homme et la nature.
Il nourrit ces pages d'histoires naturelles où se côtoient à loisir l'univers animal et végétal et il nous délivre, en témoin émerveillé et formidable passeur qu'il fut, un message de vigilance, de combat et d'espoir tout à la fois Botaniste, pharmacologue, écologiste avant l'heure (il fut président de l'Institut européen d'écologie), Jean-Marie Pelt nous a quittés à la fin de l'année 2015, ce livre est en quelque sorte son livre testament. Il a publié l'ensemble de son oeuvre aux Editions Fayard.
Le « Grenelle de l´environnement » a prévu de réduire de moitié l´utilisation de pesticides à l´horizon 2018. Maintes questions se posent en effet depuis des années sur leurs effets sur la santé, et il est tout à fait probable que la disparition totale des abeilles dans certaines régions est due à leur emploi intensif. Aussi doit-on envisager dès à présent le remplacement de ces produits, que ce soit dans les vastes exploitations agricoles, dans les jardins grands et petits des « rurbains », voire dans ces cultures miniatures qui agrémentent les balcons et terrasses des citadins. De nouvelles stratégies doivent permettre à ces adjuvants de la vie, de la beauté et de la fécondité des plantes, qui font aujourd´hui l´objet d´intenses recherches (stimulation des défenses naturelles des végétaux, utilisation de produits peu ou pas nocifs, développement de plantes qui « dépolluent » les sols, symbiose avec des champignons, etc.), d´éviter le recours systématique à des produits chimiques.
Botaniste et fervent écologiste avant l´heure, Jean-Marie Pelt fait ici le point sur l´ensemble de ces perspectives prometteuses et parfois très originales dont certaines sont d´ores et déjà mises en oeuvre à travers le monde.
Ce livre, destiné à tous, est plus particulièrement dédié aux scientifiques, aux responsables politiques, aux professionnels des médias qui ont en charge la marche du progrès. Mais il s'adresse aussi aux responsables religieux qui veillent au progrès des âmes; et ce n'est pas le même progrès...Mûri durant de longues années de réflexion et de travail en vue d'ébaucher quelques éléments de synthèse dans le domaine très évolutif des relations entre la science et la foi, cet essai voudrait humblement contribuer à l'éclosion d'un nouvel humanisme: humanisme écologique éclairé comme du dedans par une nouvelle approche du problème de Dieu; humanisme de paix et de réconciliation entre Dieu et l'homme, mais aussi entre les hommes eux-mêmes, afin de préserver la notion et l'existence même d'un avenir.Saurons-nous être les ouvriers de la dernière heure à qui tout fut pardonné, y compris leur retard? En lieu et place d'un monde de compétition sans compassion ni miséricorde, dur et cruel aux faibles, saurons-nous enfin construire un monde réconcilié et convivial? J.-M. P.
Les fruits - c'est enfin avéré - sont essentiels à notre santé et à notre bien-être.
Grâce à leurs variétés de formes et de saveurs, à leurs vertus innombrables, ils se prêtent à des recettes aussi saines que délicieuses. Il n'est pourtant pas évident de s'y retrouver. Jean-Marie Pelt nous dresse un portrait clair des principaux fruits, expliquant leur histoire au fil des époques et la façon dont on peut les utiliser comme médicaments préventifs. Saviez-vous que Ninon de Lenclos se nourrissait d'oranges pour préserver sa beauté ? et pourquoi, en Suisse, on plantait un poirier à la naissance d'une fille ?
Quels aliments peuvent nous assurer à la fois santé et satiété ? Les légumes, bien sûr ! Derrière ce nom générique se cachent une infinité de plantes potagères ou sauvages, qui possèdent chacune des propriétés bénéfiques.
Jean-Marie Pelt nous guide parmi les classements savants, à travers une série de monographies qui, en plus de préciser ses qualités nutritionnelles, déroulent l'histoire du légume, l'évolution de sa culture et ses métamorphoses au fil des siècles. Alors, comment envisager les légumes de demain ? Et, surtout, lesquels faut-il consommer pour conserver un bon équilibre alimentaire ?