Jules Renard et son oeuvre, par Henri Bachelin,...
Date de l'édition originale : 1909 Comprend : Bibliographie [et iconographie de Jules Renard]Appartient à l'ensemble documentaire : UnivJeun0 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. Il publia des livres centrés sur la peinture de la vie provinciale.Dans « Sous les marronniers en fleurs », Henri Bachelin parle de son enfance qui lui apparait comme un pays merveilleux, trop rapidement traversé.Il évoque ainsi ses premières années à l'école des Frères, à travers le récit de l'arrivée d'un petit garçon, persécuté dans son ancienne école, et qui trouve la paix sous les marronniers en fleurs de la cour de l'école.Puis, le passage au Petit Séminaire lui permet d'oublier son petit camarade. Mais ce dernier, le rejoint assez vite, et semble, s'épanouir.Une seconde nouvelle, « Premier déchirement », revient sur le départ vers le Petit Séminaire. Ce petit volume est complété par une autre nouvelle « Le terrible Piquois », ainsi que par quelques contes, avant de se clôturer avec « À mon père », dans lequel un marronnier devient lui-aussi lieu de paix et de repos.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. Il publia des livres centrés sur la peinture de la vie provinciale.C'était tout paix dans le bourgLorsqu'un jour tonna le tambour...a dit saint Georges de Bouhélier en un livre de poèmes qui sont parmi les plus purement émouvants, de la guerre de 1914-1918. Cette répercussion du grand drame sur le calme, et l'étroitesse du village et, dans le village, le son particulier et pour ainsi dire l'accent local de la douleur, il appartenait de les décrire, aux écrivains qui ont le plus et le mieux aimé, connu, fait connaître la province et la campagne. L'auteur de Sous d'humbles toits a vu courir les gens du hameau vers l'affiche de la mairie ; il les a vus s'attrouper autour du tambour qui annonçait la guerre ; il a écouté leurs propos ; il a regardé partir les petits gars et les territoriaux et écouté les doléances des femmes ; il a vu revenir les premiers permissionnaires.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. Il publia des livres centrés sur la peinture de la vie provinciale et reçut le prix Femina en 1918 pour Le Serviteur, récit dans lequel il rendit un hommage très émouvant à son père.
Pendant de nombreuses années il collabora à différentes revues et journaux dans lesquels il publia des récits, des études, des critiques, des feuilletons et de nombreux contes.
Ces derniers, qui font l'objet de ce second volume, ont été publiés, pendant la période s'étalant de 1924 à 1928, principalement dans les journaux suivants : Le Journal, Le Petit Journal.
Les 160 contes, qui sont réunis ici, sont autant de petites études des moeurs des habitants des villages de la fin du XIXe siècle, ou de ceux des villes au début du XXe siècle.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. Il publia des livres centrés sur la peinture de la vie provinciale.Dans ce court roman, Henri Bachelin dresse un tableau des moeurs provinciales d'une petite ville du Morvan, en s'intéressant plus particulièrement à une jeune fille, Juliette. Celle-ci appartient à une famille d'ouvriers aisés, où l'on se laisse vivre en dehors de toute idée religieuse, et de morale.Henri Bachelin, dans Juliette la Jolie, observe avec sincérité et affection de petites gens qui mènent une vie sans éclat, mais émouvante dans ses tourments familiers, au fond d'une bourgade de province.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. . Il reçut le prix Femina en 1918 pour Le Serviteur, récit dans lequel il rendit un hommage très émouvant à son père.
Pendant de nombreuses années il collabora à différentes revues et journaux dans lesquels il publia des récits, des études, des critiques, des feuilletons et de nombreux contes.
Ces derniers, qui font l'objet de ce volume, ont été publiés principalement dans les journaux suivants : Gil Blas, L'Humanité, Le Gaulois, Le Journal, Le Matin, Le Petit Journal et Messidor. Quelques courts écrits, contes, scènes humoristiques, poésies provenant de l'hebdomadaire Le Rire sont aussi présentés dans ce volume, ainsi que trois nouvelles, extraites de revue, et écrites aussi pendant la période s'étalant de 1906 à 1923.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. En 1911, il décida de se consacrer exclusivement à la littérature.
Pendant de nombreuses années il collabora à différentes revues et journaux dans lesquels il publia des récits, des études, des critiques, des contes et quelques feuilletons.
Ces derniers, qui font l'objet de ce volume, ont été publiés, pour la plupart, dans le quotidien Le Journal. On y trouvent des couples qui s'entrecroisent, qui entrent dans la voie de la dissimulation où nous poussent, malgré nous, les convenances sociales ; un récit écrit pendant la Grande Guerre, dès 1915, qui raconte quelques souvenirs de la vie dans les tranchées ; ainsi que trois courts romans, publiés dans les années 1930, se déroulant à Paris et sa proche banlieue, et mettant en scène , de jeunes oisifs, insouciants, des couples qui se séparent, qui se rapprochent, quelques éléments perturbateurs, des enfants terribles.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. Il publia des livres centrés sur la peinture de la vie provinciale, et reçut le prix Femina en 1918 pour Le Serviteur.
Pendant de nombreuses années il collabora à différentes revues et journaux dans lesquels il publia des récits, des études, des critiques, des feuilletons et de nombreux contes.
Ces derniers, qui font l'objet de ce troisième volume, ont été publiés, pendant la période s'étalant de 1929 à 1934, principalement dans les journaux suivants : Le Journal, Le Petit Journal.
Les 178 contes, qui sont réunis ici, sont autant de petites études des moeurs des habitants des villages de la fin du XIXe siècle, ou de ceux des villes au début du XXe siècle.
Henri Bachelin, né le 27 mars 1879 à Lormes (Nièvre) et décédé à Paris le 21 septembre 1941, est un écrivain français. Il publia des livres centrés sur la peinture de la vie provinciale. Il reçut le prix Femina en 1918 pour Le Serviteur.
Pendant de nombreuses années il collabora à différentes revues et journaux dans lesquels il publia des récits, des études, des critiques, des feuilletons et de nombreux contes.
Ces derniers, qui font l'objet de ce quatrième volume, ont été publiés, pendant la période s'étalant de 1935 à 1940, principalement dans les journaux suivants : Le Journal, Le Petit Journal.
Les 155 contes, qui sont réunis ici, sont autant de petites études des moeurs des habitants des villages de la fin du XIXe siècle, ou de ceux des villes au début du XXe siècle.
" Le village n'a point de rues. Des chemins aboutissent à la route qui le traverse, quand il n'est pas situé au beau milieu des champs ou sur la lisière d'un bois. On y use plus de sabots que de bottines. On y mange plus de légumes que de viande. On y boit plus d'eau que de vin. " Ce village, c'est les Vernes. Aux Vernes, point d'auberge, de boutique, d'école ou même de clocher ; seulement une poignée de maisons et de fermes jetées au milieu des champs, et où vivent quelques familles. Il y a les Vincent ; le père, un type bien qui accepte l'attirance de ses fils pour la grande ville ; sa seule ambition à Vincent, c'est d'économiser assez pour pouvoir acheter le pré de Bourgadier, une assurance pour ses vieux jours. Il y a aussi Colinot : il habite dans une cabane délabrée avec toute sa famille, qu'il nourrit par le braconnage et quelques larcins. Il y a Rond, un brave homme, qui est devenu alcoolique... Il y a encore les Blandin, puis les Galreux. Le roman nous fait découvrir l'intimité de ces familles et nous dévoile la vie paysanne des années 1890 et 1900. Le témoignage d'une époque, avant la grande guerre, quand nos campagnes voyaient se densifier le chemin de fer et arriver les toutes premières moissonneuses mécaniques.