Voici le cri d'un homme qui, aux prises avec le cancer, découvre en lui la force insoupçonnée de la joie.
De ce récit personnel, émouvant, drôle parfois, Guy Corneau a fait un livre d'amitié où il partage avec ses lecteurs son expérience de la maladie. 2007: le célèbre psychanalyste n'est qu'un patient anonyme dans une salle d'hôpital. Il reçoit la terrible nouvelle: un cancer de grade 4, le plus élevé. 2008: " M. Corneau, je ne sais pas ce que vous avez fait mais ça a marché!", lui annonce son oncologue.
2009: Yanna sa compagne d'âme, meurt d'un cancer qui s'est généralisé. 2010: la vie de Guy refleurit. Entre ces dates, l'épreuve est rude et l'issue, incertaine. L'auteur relate sa traversée du cancer, durant laquelle il a allié médecines traditionnelles et énergétiques à une démarche psychologique. Sans donner de leçons ni de recettes, en observant son propre parcours avec humilité et humanité, il nous encourage à ne pas nous laisser réduire à notre maladie.
Il nous incite à en découvrir le sens psychologique et spirituel, et à trouver en nous et autour de nous les ressources pour célébrer la vie. Pour le malade, l'ami ou l'accompagnant que nous sommes ou que nous serons à un moment de notre vie, ce livre est une inspiration de chaque instant.
Père manquant, fils manqué et, chez Robert Laffont, N'y a-t-il pas d'amour heureux ? (1997, 100 000 exemplaires), La Guérison du coeur (2000, 60 0000 exemplaires), Victime des autres, bourreau de soi-même (2003, 100 000 exemplaires) : livre après livre, Guy Corneau confirme sa place parmi les auteurs les plus populaires d'ouvrages de psychologie.
Indubitablement, il existe un " style Corneau ". Son talent est de nous donner l'impression qu'à chaque page, c'est de nous qu'il parle. Il met la psychanalyse à la portée de tous. Son ton simple, intime, mêle le témoignage personnel et l'expérience du thérapeute. D'une manière à la fois pédagogique et vivante, il explique sans ennuyer, convainc sans prêcher, raconte sans lasser...
Médiocres, limités, ordinaires... Trop souvent, l'image que nous avons de nous-même est enfouie dans un fatras de conditionnements et de doutes. Et pourtant, le meilleur est à venir...
Première étape : parvenir à entrer en contact avec son potentiel caché. Mais sait-on ce que cela signifie exactement ? Dans son nouveau livre, Guy Corneau nous invite pour commencer à redécouvrir cet être caché au fond de nous, dont les aspirations peuvent réveiller notre goût de la vie : nous-même.
Les conflits avec les autres : une souffrance, une occasion.
Lequel d'entre nous n'a pas eu de ces bagarres qui semblent se répéter dans la vie amoureuse, professionnelle ou amicale ? De ces discussions qui paraissent n'avoir aucun sens, se répètent sans cesse et ne débouchent sur rien ? Guy Corneau nous apprend à les décoder et à les saisir comme des occasions qui nous sont offertes de communiquer avec le " meilleur de soi ".
Apprendre à se libérer : du dépassement des entraves à l'épanouissement de la vie créatrice.
La vie quotidienne - notre vie dans sa banalité - nous offre en réalité de nombreuses situations où nous pouvons accéder à ce " meilleur de soi " où nous exprimons enfin - et joyeusement - les possibilités qui somnolaient en nous. Dans cet ouvrage qui poursuit et complète Victime des autres, bourreau de soi-même, il sera ainsi question d'amour et de paix, mais aussi des idéaux, des talents et des dons, des goûts et des rêves...
Cet ouvrage ne traite pas seulement de l'absence physique du père; il s'interroge sur le silence qui isole aujourd'hui le père de son fils et qui donne au fils l'impression d'avoir été mal paterné.
Et si ce père manquant avait engendré un fils manqué ? cette question cruciale a amené guy corneau à se demander pourquoi l'homme d'aujourd'hui est si mal dans sa peau, pourquoi il a peur de l'intimité, pourquoi il redoute à ce point l'agressivité qu'il refoule au plus profond de lui-même, pourquoi il se sent obligé de jouer le héros, l'éternel adolescent, le séducteur ou le bon garçon... pourquoi est-il si difficile de devenir un homme à part entière dans une société qui ne pratique plus aucun des rites initiatiques de l'adolescence ? ce livre est important parce qu'il rompt enfin le silence.
Et pour le fils manqué, sortir du mutisme est la seule manière d'en arriver à guérir le père blessé en lui.
L'absence ou le silence d'un père a des répercussions sur l'univers psychologique d'un enfant. Ce premier livre de Guy Corneau a été un événement dans la littérature psychanalytique sur le rôle du père.
Cet ouvrage ne traite pas seulement de l'absence physique du père, il s'interroge sur le silence qui isole aujourd'hui le père de son fils et qui donne au fils l'impression d'avoir été mal paterné. Et si ce père manquant avait engendré un fils manqué ?
Cette question cruciale a amené l'auteur à se demander pourquoi l'homme d'aujourd'hui est si mal dans sa peau, pourquoi il a peur de l'intimité, qu'il redoute à ce point l'agressivité, qu'il se sent obligé de jouer le héros, l'éternel adolescent, le séducteur ou le bon garçon.
Qu'il est difficile d'aimer , chante Gilles Vigneault. En effet, rien de plus difficile que l'amour, rien de plus complexe que la vie à deux. Les relations parents-enfants conditionnent directement nos choix affectifs et viennent se répéter sur le terrain amoureux. Ainsi, le silence d'un père peut produire une femme qui aime trop ou l'excès de sollicitude maternelle fabriquer des hommes qui ont peur d'aimer. Lorsque ces deux-là se rencontrent, c'est le couple impossible, l'impasse.
Alors, n'y a-t-il pas d'amour heureux ? Si, répond Guy Corneau, mais à condition d'accepter que les conflits soient autant d'occasions de prendre conscience de nos blessures et d'en guérir. Tel est l'enjeu de l'amour : pour parvenir à être unis en continuant d'être deux individus à part entière, être deux sans cesser d'être unis , chaque être doit d'abord construire sa propre individualité sur des bases solides. L'amour est une alchimie complexe qui ne peut prendre que lorsque chacun a conquis une véritable intimité avec soi-même.
Ce livre débute par une impressionnante description : celle d'un homme qui se laisse progressivement glisser dans la maladie et la mort.
Cet homme, c'est guy corneau lui-même. ainsi nous indique-t-il clairement le chemin : ce n'est pas un maître qui s'adresse à nous, mais un homme, riche de son expérience, lourd de ses propres souffrances. guy corneau nous montre en quoi la maladie nous donne une extraordinaire occasion (même si elle est douloureuse) de relire notre propre histoire et d'aller plus loin que la répétition permanente de nos misères et de nos handicaps.
Au fil des pages nous découvrons comment médecins, scientifiques, psychologues abordent aujourd'hui la question de la " vraie " guérison : celle qui ne se limite pas à faire cesser l'apparence du mal, celle qui s'attaque à ses racines en nous faisant revivre nos vieilles peurs, nos sensations d'abandon, notre angoisse de n'être pas aimés, pas reconnus. qu'y a-t-il au bout de la route ? peut-être un mot tout simple : le bonheur.