Ce livre raconte tout ce qui se passe réellement dans une école primaire au fil de l'année avec ses aléas, ses joies, ses peines, ses difficultés, tout cela vu du côté d'un directeur ( l'auteur) et aussi à travers le regard de l'élève qu'il était autrefois.
Les abeilles accompagnent la vie des hommes depuis toujours et leur rôle dans la nature n'est plus à démontrer. Passionné par cet insecte remarquable, Bernard Soulier met sa plume d'écrivain et son expérience d'apiculteur à son service pour lui rendre hommage, et nous invite à entrer dans l'univers fabuleux des abeilles : leur histoire, leur diversité, leurs amours, leurs ennemis, leur rôle dans la pollinisation, l'organisation fascinante de la ruche et les codes qui la régissent...
Ode à la nature ainsi qu'aux savoir-faire ancestraux, ce livre raconte aussi le métier d'apiculteur, acteur au quotidien de leur incessante activité, et nous fait vivre ses joies lors de l'installation d'une nouvelle ruche ou de la première récolte de miel, mais aussi ses difficultés devant les aléas climatiques ou sa lutte contre les impressionnants frelons asiatiques.
Ce texte magnifique, accessible à tous, est illustré par les photographies étonnantes et d'une grande poésie de Laurence Barruel, qui capte au plus près les moindres faits et gestes de ces sentinelles de l'environnement.
Aujourd'hui, alors que les menaces de disparition de cet insecte interpellent le public, voici un beau livre à butiner sans modération .
31 août 1914.
Jean-Pierre Vidal, mobilisé au début du mois, leur sur le front, au champ d'honneur.
Sa femme Amélie, enceinte de sis mois, doit alors s'occuper seule de la ferme de la Boriette en Margeride ainsi que de ses deux enfants, maintenant sans père.
C'est alors que se présente Frédéric, un ouvrier de ferme avec un drôle d'accent...
Mais qui est-il donc ? Et que fait-il ici ?
La bête du Gévaudan a été un fait divers très important du dix huitième siècle, sous le règne de Louis XV, car il a rapidement pris des dimensions nationales et même internationales. Dès le début, le pouvoir central s'est intéressé à l'affaire. Le nombre des victimes, les conditions des attaques, la non identification de l'agresseur ont fait que les meilleurs chasseurs du royaume ont été mis à contribution. La presse de l'époque a rapidement saisi l'occasion de monter ce qui peut être considéré comme le premier coup médiatique de l'histoire de France. Les colporteurs, en vendant gravures et complaintes ont aussi participé à la médiatisation de l'affaire, notamment dans le peuple des campagnes.La vraie nature de la bête n'est pas encore à l'heure actuelle complètement élucidée, c'est d'ailleurs ce qui fait tout l'intérêt de cette histoire.
De nombreux auteurs, chercheurs, historiens, scientifiques ou simples passionnés continuent de traquer la bête du Gévaudan pour tenter d'en percer les derniers mystères, elle est encore de nos jours la source de plusieurs publications annuelles, une gazette reprenant l'actualité de la bête est publiée chaque année, un musée lui est consacré à Saugues, une exposition est mise en place chaque été à Auvers. À notre avis la vérité, si elle sort un jour, ne pourra venir que des documents d'archives, car jusqu'à preuve du contraire, ceux qui sont les plus aptes à en parler sont bien les gens de l'époque qui ont vécu ce drame en direct.
C'est donc la raison pour laquelle nous essayons toujours de nous baser sur les écrits et les actes authentiques. La plupart des dépôts d'archives publics ont été explorés à maintes reprises mais certains détails ont pu être oubliés, certaines pistes négligées, d'autres documents peuvent être retrouvés, notamment dans des archives privées.
Cet ouvrage, de 232 pages, abondamment illustré et en couleur, est le douzième publié par le Centre d'histoire sociale de la Haute-Loire. Il comprend neuf études, sur des sujets variés, qui ont trait à l'histoire des gens de ce département. Auteurs : Benard Soulier, René Dupuy, Jacques Mialhe, Maryse Tort, les amis de Léotoing, Raymonde Prat, Camille Fabre, Raymond Vacheron.
L'histoire de la Bête du Gévaudan.
Si la Bête du Gévaudan ne fait plus couler de sang, elle n'a pas fini de faire couler de l'encre car son mystère reste entier.
Mais pour la première fois, un ouvrage documentaire destiné aux enfants lui est consacré. S'appuyant sur des archives historiques véridiques, Bernard Soulier a rédigé le mémoire disparu de jacques Portefaix, un jeune garçon qui l'a combattu en 1767. L'ouvrage est ponctué d'illustrations représentatives de la manière dont les gens s'imaginaient la Bête à l'époque.
Terre d'eau où fusionnent Provence et Languedoc, la Camargue est à l'origine d'une mythologie aux symboles forts. Incarnant à la fois la puissance, la liberté et le courage, le trio emblématique - taureau, cheval et gardian - de cette région vit en osmose avec une nature hostile depuis des temps immémoriaux. L'association de l'homme et du cheval a permis, sinon la domestication, du moins l'élevage extensif dans son milieu naturel du taureau de Camargue. Au fil des siècles, le travail avec ce bovin au comportement sauvage a donné naissance à une équitation spécifique que l'on ne retrouve nulle part ailleurs... Transmises oralement selon un mode compagnonnique, les règles coutumières de cette équitation privilégient l'efficacité, la sécurité des bêtes comme des hommes, et une grande liberté au cheval. C'est une équitation de travail "à la française" qui utilise un matériel de conception simple favorisant le confort et la mobilité du gardian. Pour la première fois, les techniques de l'équitation camargue sont réunies dans un ouvrage à vocation didactique. Ce livre divulgue une synthèse des traditions équestres camarguaises que fauteur a collectées puis formalisées en collaboration avec les plus importants acteurs de cette spécialité. Toutes les opérations gardianes sont passées en revue, depuis la quête de la monture dans le pays jusqu'aux exercices destinés à développer les qualités naturelles du cheval camargue et aux différentes disciplines de compétition.