Est-il possible et souhaitable de réinvestir le signifiant « communiste »? Pour en débattre, voici un ouvrage collectif et polyphonique qui réunit les plus grandes voix de la pensée critique contemporaine. Avec les contributions de Alain Badiou, Etienne Balibar, Paul Chemetov, Pierre Dardot, Alain Deneault, Bernard Friot, Christian Laval, Chantal Mouffe, Irène Pereira, Michel Pinçon, Monique Pinçon-Charlot, Michèle Riot-Sarcey, Françoise Vergès, Sophie Wahnich et Slavoj Zizek.
Le 23 avril 2017, Jean-Luc Mélenchon rassemblait 19,58% des voix lors du scrutin présidentiel, réalisant le meilleur score d'un candidat situé à la gauche du PS depuis 1969. À quoi tient cette réussite ? Comment expliquer la chute électorale qu'a ensuite connue son mouvement ? La France insoumise peutelle rebondir en 2022 ? Manuel Cervera-Marzal s'est immergé trois ans durant au sein de ce parti et en aborde ici toutes les facettes (genèse, programme, stratégie, discours, idéologie, fonctionnement interne, base militante, direction et électorat).
Au fil de l'enquête, on comprend que, loin de constituer une exception, la France insoumise s'inscrit dans une dynamique internationale qui, après la crise de 2008, a vu émerger le populisme de gauche. À l'instar de Bernie Sanders, Jeremy Corbyn, Pablo Iglesias ou Alexis Tsipras, Jean-Luc Mélenchon a redéfini les règles du jeu politique, obligeant la gauche à se défaire de ses vieux réflexes. L'objectif : mettre un terme aux politiques néolibérales. Les moyens : délaisser les symboles traditionnels du mouvement ouvrier (le rouge, l'Internationale, etc.), réinvestir des thèmes traditionnellement accaparés par la droite (l'ordre, la nation, la souveraineté), se doter d'un leader charismatique, insuffler plus d'affects en politique et prendre appui sur les mobilisations sociales.
À partir de données empiriques d'une grande richesse, Manuel Cervera-Marzal propose ainsi une définition innovante du populisme de gauche et des clés de compréhension des enjeux politiques contemporains.
Ce roman évoque la période de la guerre civile espagnole et se prolonge sur les années d'après guerre. Le père d'alfons Cervera, républicain, commit des actes de résistance qui, aujourd'hui encore, restent un mystère pour l'auteur.
Il ne parlait pas davantage de son travail, des raisons de l'errance familiale de village en village, ou de son talent reconnu pour le théâtre.
Pris dans le tourbillon du quotidien, des cours, des évaluations, des articles, des projets et des rapports rendus à la hâte, l'enseignant-chercheur a rarement l'occasion de s'interroger sur ce qui fait, ou qui devrait faire, l'utilité de son métier. À quoi sert la science politique ? Les étudiants qui nous écoutent et les concitoyens qui nous financent ont, à mes yeux, le droit de nous adresser cette question.
De toute façon, c'est une question que je me suis souvent posée à moi-même. Je crois aussi peu au total désintéressement de l'activité intellectuelle qu'à l'art pour l'art. Si on produit du savoir, c'est pour en faire quelque chose.
À travers un parcours personnel, parsemé de doutes, de joies, de rencontres, j'aborde ici les questions qui me taraudent et me dépassent : comment bien faire son métier quand les conditions d'exercice se détériorent ? Comment ne pas sombrer dans le découragement face aux attaques venues du sommet de l'État ? Pourquoi persévérer lorsqu'on est condamné à la précarité ? L'étude des phénomènes politiques doit-elle être neutre ? Est-ce seulement possible ? Comment inventer des formats d'écriture qui dressent une passerelle entre littérature et sciences sociales, sans nier l'autonomie respective de ces deux domaines ? Peut-on être à la fois philosophe et sociologue ? Peut-on articuler une approche critique et une approche pragmatique ? Quels rapports puis-je déceler entre mes choix théoriques, épistémologiques, méthodologiques, et mon histoire personnelle, sociale, familiale ?
À travers ce récit, aussi sincère que possible, je n'ai eu qu'un seul souhait : donner à penser.
Dans cette biographie romancée, Alfons Cervera raconte la mort de sa mère. L'occasion pour l'auteur de revenir sur sa vie, ses souvenirs, ses sentiments, une histoire personnelle qu'il lie à l'histoire de l'Espagne, et notamment à la guerre civile et ses règlements de compte qui condamnèrent le père - anarchiste- dans les geôles franquistes.
À travers Ces vies-là, c'est toute l'histoire récente de l'Espagne qui refait surface. Une mémoire familiale qui exhume une mémoire collective, et dont on commence seulement à parler : celle des vaincus.
Esas Vidas a été retenu en sélection finale du Premio de Narrativa española 2010 et a reçu le Premio Náufrago en 2011.
La Couleur du crépuscule a pour cadre le petit village rural de Los Yesares, situé dans la zone montagneuse de la province de Valence, et met en scène une femme de cinquante ans, Sunta, qui est sur le point de se marier et a donc décidé, avant de changer de vie, de consigner dans un cahier d'écolier les souvenirs de son existence. Ce que le récit recrée, au gré de la plume malhabile et touchante de Sunta, ce sont les aléas du quotidien - rencontres, amours, naissances, morts, luttes, sou. rances, privations - tels que les a. rontent les habitants du village, au long d'une période douloureuse qui plonge ses racines dans le franquisme triomphant d'après la guerre civile espagnole. Que les choses soient vues à travers le regard innocent de la Sunta enfant ou depuis la perspective nostalgique de l'adulte qu'elle est devenue, ce qui importe est de redonner vie, par la magie du souvenir et de l'écriture, aux êtres qui ont participé à une histoire à la fois personnelle et collective, et puis en ont inexorablement disparu.
« Les histoires de fiction surgissent toujours d'un lieu donné. Inventer, c'est fouiller dans ce qui existe, l'exhumer et construire d'une autre manière ce que l'on a trouvé. Le croisement de la réalité et de la fiction. Elles sont presque toujours une seule et même chose. Elles sont soeurs jumelles dans les pages d'un roman. [.] Mes romans naissent à partir d'un territoire moral qui est le lieu où je suis né, la maison où je continue de vivre tant d'années après, les personnages qui, avant d'être des êtres de fiction, ont été et sont mes amis de toute la vie. » Les lieux comme un leitmotiv, au fil de chacun des romans d'Alfons Cervera Comme l'évoque le titre, Les Chemins de retour, Alfons Cervera revient sur les lieux qui sont à la fois contexte, inspiration et personnages de son oeuvre. On les retrouve régulièrement au fil de son travail. Rapprochant réalité (les vrais lieux, les lieux référentiels) et fiction (tels qu'ils apparaissent dans l'univers romanesque), comparant le passé (les lieux tels qu'ils étaient) et le présent (ce qu'il en reste), confrontant « vérité » et souvenirs, c'est à nouveau une exploration de la mémoire, ses distorsions, ses pièges que mène Alfons Cervera.
Une réflexion à voix haute sur l'envers du décor dans la littérature Les photos prises par l'auteur lui-même attestent de cet univers réel ; cadrées par son oeil, elles sont déjà une reconstruction de la réalité. Elles ont en elles cette imprécision qui fait reconnaître sans vraiment reconnaître. Ce livre sur les lieux si importants pour l'écrivain est comme une mise en abîme. Ce n'est pourtant pas un ouvrage technique, mais plutôt une réflexion philosophique.
La nuit immobile est dernier volet de la trilogie qu'Alfons Cervera consacre à la mémoire des vaincus de la Guerre civile. Si la trilogie est une chronique d'un village de la province de Valence sous le franquisme, chacun des romans le fait depuis le point de vue d'une génération : La couleur du crépuscule montre le point de vue des enfants, Maquis celui des parents, et La nuit immobile se centre sur la génération des grands-parents.
Le vieux Félix et María ont perdu un fils, mort de pneumonie à son retour de la guerre du Maroc. Depuis María est devenue sourde, et Félix vit une longue nuit immobile, restant assis sur le seuil de sa porte, à converser avec sa petite-fille Sunta (l'héroïne de La couleur du crépuscule) et avec les amis qui lui rendent visite, ou bien dont il entend les voix.
Un roman sur la mémoire et ses traces, l'oubli et les distorsions historiques, sur les blessures qu'ont laissées les exils, les fuites, les pertes.
Les travailleurs migrants espagnols : réfugiés, éxilés de la guerre Alfons Cervera aborde le phénomène de migration des Espagnols vers le Sud de la France qui s'est traduit par deux vagues successives : L'exil républicain qui suivit la victoire de Franco en 1939 et la migration économique des années 1960. Deux migrations que connurent de nombreux villages, quasi désertés, ravagés et dévastés par la guerre.
Cervera raconte l'histoire de quelques habitants du village de Los Yesares, dont les émigrés reviennent pour assister aux funérailles de Teresa, le personnage principal de Ces vies-là (La Contre Allée, 2011). Leur retour déclenche un flot de souvenirs et de nouvelles au sujet de ces vies qui ont fini par suivre des destins très différents.
"Tant de larmes ont coulé depuis parle précisément de ce vide qui se produit dans les endroits et aussi dans les gens qui parlent de ces endroits." Alfons Cervera
Politique de la non-violence entend introduire de manière synthétique mais problématisée aux idées éthiques et politiques de Gandhi. L'attention du public s'est longtemps focalisée sur son action en tant que leader de la décolonisation indienne et sur sa pensée religieuse. Ce livre vient ainsi combler un manque en remettant la non-violence au centre d'une réflexion sur la politique.
La politique de Gandhi est aux prises incessantes avec la question de la violence. L'engagement politique se situe dans un équilibre instable entre violence et conflit : comment s'opposer sans se massacrer ? Comment assumer le conflit politique, porteur d'un monde plus juste et plus humain, sans pour autant céder à l'usage de la violence ? Comment aborder autrui comme un adversaire à convaincre ou à contraindre mais jamais comme un ennemi à éliminer ? Où trouver la force de lutter sans armes face à un adversaire qui en dispose et n'hésitera pas, s'il le faut, à s'en servir ? En outre, si la politique est guidée par la quête de vérité, comment éviter d'opprimer en son nom ? Si elle n'implique pas par elle-même un refus radical de la violence, la vérité risque fort d'entraîner ses défenseurs vers des actes d'une grande atrocité. La confrontation entre Gandhi (pour qui « la fin est dans les moyens comme l'arbre dans la graine ») et Machiavel (auquel est couramment attribué la maxime selon laquelle « la fin justifie les moyens ») éclairera à nouveau frais la nature des liens entre éthique et politique.
La suite de l'ouvrage est plus spécifiquement consacrée au problème de la désobéissance civile. Dans un régime manifestement non démocratique, où les droits de l'homme et les libertés individuelles sont systématiquement bafoués, il semble admis que la désobéissance est sinon nécessaire, du moins légitime. La question s'avère autrement plus difficile quand elle concerne la légitimité de la désobéissance civile en démocratie. En effet, dans ce cas, la désobéissance risque d'affaiblir l'État de droit, elle constitue une infraction au principe de majorité et un refus d'utiliser d'autres moyens - légaux - d'expression et de protestation. Il s'agit donc de rechercher, au sein de la pensée gandhienne, des réponses à ces objections et des pistes de légitimation. La désobéissance civile vise à protéger la démocratie contre ses dysfonctionnements et non à l'affaiblir. En outre, sa contribution à la défense des valeurs et des institutions démocratiques est d'une efficacité incontestable.
Cet ouvrage de sciences humaines propose une réflexion autant qu'un état des lieux de la pensée politique autour du thème de la désobéissance civile et de la non-violence. Comment et pourquoi peut-on désobéir dans une démocratie, alors que les lois sont, théoriquement, l'émanation de la volonté du peuple ? S'appuyant sur la pensée de Gandhi, Martin Luther King et Henry David Thoreau, et sur plusieurs de leurs écrits inédits en français, Manuel Cervera-Marzal explore les différentes possibilités qui s'offrent au citoyen d'une démocratie de s'opposer, par la désobéissance, à une situation qu'il juge injuste et contre laquelle les institutions démocratiques n'ont pas permis de lutter.
Il montre ainsi que l'acte de désobéissance ne peut être justifié par le contexte politique, mais par la manière dont on désobéit. À partir de la pensée de Gandhi et King notamment, il analyse les manifestations contemporaines de désobéissance civile, comme celles du mouvement des " faucheurs volontaires " luttant contre les essais transgéniques et les cultures d'OGM.
Cet ouvrage de théorie politique, écrit dans une langue accessible à tous, est destiné à un public large, des étudiants en sciences humaines, aux personnes impliquées dans l'action publique, mais aussi à toute personne désirant mieux comprendre les théories de la non-violence
Maquis est la chronique d'un village de la province de Valence durant les premières années d'après la guerre civile. Il reste encore des poches de résistance au pouvoir. Des soldats égarés, qui ne peuvent rentrer au village, sont traqués comme des bêtes. C'est une époque très dure pour les vaincus, humiliés et maltraités, par les vainqueurs.
Contexte historique, états d'âme, exigences du corps et ambitions unissent, dans ces dix récits, des êtres mus par une fiévreuse vitalité et capables du meilleur comme du pire. Il s'agit du récit de personnages dont le destin fut à la fois lumineux et sombres. Des profils de ce que l'on a tendance à appeler aujourd'hui des "loosers" mais finalement à la loterie de la vie qui ne l'est pas ? Des sous-sols de la vieille ville qu'hantent les typos aux mains noires aux salons de jeux où les tables tournent, des publicistes ambitieux aux nostalgiques des avant-guerres, de la réserve pudique aux scandales de la notoriété, le théâtre de la vie se saisit ici de personnalités qui tentent de surmonter la fugacité de la condition humaine, étonnamment proches de nos émotions.
Afi n d'expliquer la montée des forces populistes - Trump, le Brexit, le Front national, Orban... - les experts invoquent l'avènement de la « post-vérité ». Ce concept connaît une infl ation galopante, couronnée par le titre de « mot de l'année 2016 » décerné par le prestigieux Dictionnaire d'Oxford, lequel défi nit ainsi la post-vérité : « Des circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d'infl uence pour modeler l'opinion publique que les appels à l'émotion et aux opinions personnelles ».
Ceux qui utilisent cette notion considèrent que le monde est entré dans une nouvelle ère au cours des années 2000 :
L'empire des fake news. Cette ère se caractérise selon eux par la multiplication des contre-vérités outrancières professées par les dirigeants politiques (séquence inaugurée par le fl acon de Colin Powell) et par l'indifférence des peuples à l'égard de la vérité. Extrêmisme, complotisme et populisme seraient les preuves irréfutables que la vérité est en train de s'éroder.
Faut-il croire cette analyse ? Pas selon Manuel Cervera-Marzal.
Ce livre retrace la généalogie de cette notion, aujourd'hui très prisée par les élites progressistes, et pourtant forgée par la droite américaine dans les années 1970 afi n de discréditer la nouvelle gauche. Il fournit une analyse des usages politiques, médiatiques et académiques de la « post-vérité », en montant que cette notion nous en apprend davantage sur les préjugés de ceux qui l'utilisent que sur les phénomènes qu'elle est censée décrire. Et il prend à contre-pied le discours dominant, en soutenant une thèse forte : il ne faut pas craindre l'avènement de la post-vérité mais au contraire s'en réjouir. Car la première vertu d'un citoyen est de savoir mentir, de déformer la réalité afi n de la transformer. On comprend ainsi que la post-vérité - et son frère jumeau : le populisme - ne constituent pas une menace pour la démocratie mais la possibilité de sa régénération.
Apparu dans l'antiquité grecque et, particulièrement, dans la démocratie athénienne, reformulé et enrichi, après une longue éclipse, à partir de la Renaissance et dans le mouvement des Lumières, le projet d'autonomie, affirmait Cornelius Castoriadis il y a quarante ans, est « une plante historique à la fois vivace et fragile ». Ce constat est, aujourd'hui encore, d'une puissante actualité. Des « révolutions arabes » aux mobilisations turques, grecques, espagnoles ou même états-uniennes, du « réveil indigène » en Amérique latine aux expérimentations sociales menées dans les ZAD, on observe un renouveau des résistances démocratiques au désordre établi du capitalisme mondialisé. Face à cette vivacité renaissante, la fragilité du projet démocratique effraie : l'emprise démultipliée de l'imaginaire néolibéral, le fantasme de maîtrise illimitée porté par la technoscience, mais aussi la montée des droites extrêmes et l'essor des intégrismes religieux en témoignent sinistrement. Au vu des risques contemporains qui planent sur le projet d'autonomie, il importe plus que jamais de prêter attention aux processus qui conduisent les sociétés à se dessaisir de leur capacité à se donner leurs propres lois. Ce livre, qui prend le temps d'éclairer les principaux concepts de la pensée de Castoriadis, s'appuie sur la grande fécondité de ses travaux pour interroger les logiques multiples de domination et d'aliénation qui travaillent nos sociétés. Il montre que celles-ci ne pourront maintenir leur autonomie qu'a condition de désirer faire de son exercice collectif le fondement permanent de leur ordre politique.
Manuel Cervera-Marzal et Éric Fabri ont dirigé cet ouvrage. Outre les leurs, il réunit les contributions de Philippe Caumières, Antoine Chollet, Yohan Dubigeon, Olivier Fressard, Romain Karsenty, Nicolas Poirier, Arnaud Tomès, Stéphane Vibert, Audric Vitiello, Jean Vogel et Sophie Wustefeld.
Cette collection d'apprentissage de la grammaire est fondée sur les recommandations du Cadre Europeen de référence pour les langues et des Niveles de referencia para el espanol élaboré par l'instituto Cervantes.Le cd audio inclus dans le manuel propose des dialogues illustrant le contenus.
En se fixant comme horizon provocateur la disparition des intellectuels en tant que catégorie sociale privilégiée, ce livre ouvre la voie à la figure d'un intellectuel utopique oeuvrant à la mutualisation démocratique des savoirs.
"Cet ouvrage est une invitation à penser avec plutôt que sur Miguel Abensour, philosophe de l utopie. Sa pensée est une force vive, une source d'interrogations continûment renouvelées, une puissance intempestive inquiète de l'ordre des choses et pourtant qui ne s en accommode jamais. Composer avec elle, c'est recomposer notre façon d'envisager le monde. C'est préserver le souffle de ce qu'il a transmis : le souffle insurgeant de la démocratie, le souffle imaginatif de l'utopie, le souffle révolutionnaire de l'émancipation, le souffle vivant de la philosophie."
Le symbole azuréen, synthèse de cultures et de beauté, a-t-il valu aux femmes, dans notre région, une place spécifique, un chemin d'émancipation mieux tracé qu'ailleurs ? Anonymes des premiers temps de l'Histoire, saintes de légende, épouses, mères, princesses, laborieuses et discrètes, elles sortent de l'obscurité à partir du XVIIIe siècle.
Femmes du peuple, des élites, des salons, des affaires, de l'art, du plaisir ou du sport composent un bouquet varié, original et moderne, image que les écrans renvoient au monde entier. Hors des sentiers battus, une équipe de chercheurs a réuni ces portraits en forme de dictionnaire, prêts à satisfaire et stimuler toutes les curiosités.
Cette collection d'apprentissage de la grammaire est fondée sur les recommandations du cadre europeen de référence pour les langues et des niveles de referencia para el espanol élaboré par l'instituto cervantes.
Le cd audio inclus dans le manuel propose des dialogues illustrant le contenus.
Un enfant naît et le malheur d'être homme commence. L'enfant est malade. Son cerveau est soustrait de l'histoire commune.
L'histoire est longue, prolongée peut-être car les médecins s'acharnent et, à plusieurs reprises, le sauvent. L'enfant est très puissant dans ce qu'il crée de lien sauvage, sans mots ni langage, ou tellement infinitésimal. Nés avec l'enfant, la souffrance, la séparation et surtout le non-dit. Ce livre pour tous les enfants du nom-dit.
Pour avoir des perspectives, il est nécessaire de passer par l'introspection. La négociation, au-delà des techniques et méthodes, c'est tout d'abord une aventure humaine. Ce livre, au rythme d'un voyage, vous amène à vous découvrir afin de mieux connaître l'autre. Le succès d'une négociation ne se résume pas à la signature d'un contrat ; c'est plutôt l'établissement d'un lien fort entre les deux partenaires commerciaux, outil indispensable de survie dans un monde ultra-concurrentiel.