> Votre panier (0 articles)
Vous êtes ici : Accueil > Catalogues > /catalogues/6 > Dictionnaire des auteurs > MOYES, Patricia
[IRLANDE] (Dublin, 1923 – Virgin Gorda, Îles Vierges, 2000). Pat Moyes. Romancière et traductrice (Jean Anouilh).
LIVRES (Traductions)
— Thé, cyanure et sympathie (Murder a la mode, 1963), roman, traduit de l’anglais par Jean-André et Claudine Rey. [Paris], Librairie des Champs-Élysées, « Le Masque. Les Reines du crime », n°1914, 1988, 192 pages, épuisé.
— Le Dernier témoin (Who Saw Her Die ?), roman, traduit de l’anglais par Pierre Nicolas. [Paris], Éditions Mondiales, « Nous Deux », n°361, 1976, 218 pages, épuisé.
— Vol sans retour (Johnny Under Ground, 1966), roman. [Paris], Éditions Mondiales, « Nous Deux », n°397, 1979, 218 pages, épuisé.
— L’Homme à la chemise rouge (Helter Skelter, 1968), roman, traduit de l’anglais par Marie-Louise Navarro. [Paris], Librairie des Champs-Élysées, « Le Masque », n°1543, 1978, 192 pages, épuisé.
— Comme une noix de coco (To Kill a Coconut, 1977 ; publié aux États-Unis sous le titre The Coconut Killings, 1977), roman, traduit de l’anglais par Jean-André Rey. [Paris], Librairie des Champs-Élysées, « Le Masque », n°1565, 1979, 192 pages, épuisé.
— La Dernière marche, roman, traduit de l’anglais par Jean-André et Claudine Rey. [Paris], Librairie des Champs-Élysées, « Le Masque. Les Reines du crime », n°1824, 1986, 192 pages, épuisé.
— Qui a peur de Simon Warwick ? (Who Is Simon Warwick ?, 1978), roman, traduit de l’anglais par Jean-André et Claudine Rey. [Paris], Librairie des Champs-Élysées, « Le Masque. Les Reines du crime », n°1856, 1986, 192 pages, épuisé.
— La Mort en six lettres (A Six-letter Word for Death, 1983), roman, traduit de l’anglais par Jean-André et Claudine Rey. [Paris], Librairie des Champs-Élysées, « Le Masque. Les Reines du crimes », n°1865, 1986, 216 pages, épuisé.
Haut de page >
Haut de page >
Certains livres défient les lois des classifications littéraires établies. Ni récit, ni roman, peut être un peu tout cela à la fois, donnant ainsi le sentiment au lecteur d’un livre qui s’écrit sous ses yeux, au gré des associations et rapprochements suggérés par l’auteur. Emblématique de ces textes, « Le livre des Passages »(Cerf) de Walter Benjamin, rédigé entre 1927 et 1929, se voulait une exploration rêveuse et inachevée des figures du XIXe siècle à travers des thèmes aussi divers et variés que l’oisiveté, l’ennui, les expositions universelles ou Baudelaire, figure incontournable de cette modernité naissante.
11 janvier 2021