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[BRÉSIL] (Rio de Janeiro, 1973). Auteur, traducteur (Harold Pinter, Gregory Motton, Richard Maxwell), metteur en scène, acteur et professeur d’histoire du théâtre, il est le créateur de près d’une vingtaine de pièces représentées à Rio de Janeiro, São Paulo, Córdoba, Paris et Lausanne. Aux côtés d’Antônio Araújo du Teatro da Vertigem et d’Enrique Diaz, il incarne une nouvelle génération de metteurs en scène de théâtre brésiliens. Il vit aujourd’hui à São Paulo où il dirige la compagnie Club Noir, consacrée aux œuvres d’auteurs contemporains.
* Tapuscrit : Quel que soit le salut (Qualquer espécie de salvação, écrit en 2004), traduit du portugais (Brésil) par Angela Leite Lopes (2005).
ANTHOLOGIES / REVUES (Traductions françaises)
* « Déplacements, réinventions du sens, et croyance dans le pouvoir de création (de temps, d’espaces, de sujets et de réalités) par les mots », dans OutreScène, n°13, Théâtre de la Colline, novembre 2011.
LIVRES (Traductions françaises)
ISBN — Il faut parfois un poignard pour se frayer un chemin (À vezes é preciso usar um punhal para atravessar o caminho, 2003), théâtre, traduit du portugais (Brésil) par Angela Leite Lopes. [Besançon], Éditions Les Solitaires Intempestifs, « Mousson d’été », 2005, 80 pages.
La révolution n’est pas une matinée dans une salle multiplex ! Elle doit être réalisée comme une vraie œuvre d’art, une œuvre littéraire, un dessin, une peinture, une sculpture, un geste. L’artiste c’est le terrorisme, l’œuvre c’est l’attentat, parce que le terrorisme est la seule forme d’art possible dans le monde contemporain !
Des terroristes déguisés en personnages de Walt Disney décident d’assassiner dix personnalités du show business brésilien. A travers ce texte, Roberto Alvim propose une réflexion ludique sur le culte de la célébrité et sur les formes que peuvent prendre les révolutions aujourd’hui. (Présentation de l’éditeur)
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Certains livres défient les lois des classifications littéraires établies. Ni récit, ni roman, peut être un peu tout cela à la fois, donnant ainsi le sentiment au lecteur d’un livre qui s’écrit sous ses yeux, au gré des associations et rapprochements suggérés par l’auteur. Emblématique de ces textes, « Le livre des Passages »(Cerf) de Walter Benjamin, rédigé entre 1927 et 1929, se voulait une exploration rêveuse et inachevée des figures du XIXe siècle à travers des thèmes aussi divers et variés que l’oisiveté, l’ennui, les expositions universelles ou Baudelaire, figure incontournable de cette modernité naissante.
11 janvier 2021